L’eldorado sous-marin fait son retour, physique quantique et thermodynamique se rencontrent, et le gène qui a changé la face de l’humanité.
 
Bonjour ,
 
Cette semaine, dans Pour la Science, l’eldorado sous-marin fait son retour, physique quantique et thermodynamique se rencontrent enfin, et l’on découvre qu’un gène a changé la face de l’humanité.
Bonne lecture !
 
François Lassagne, rédacteur en chef de Pour la Science.
 
 
 
À LIRE CETTE SEMAINE
 
 
Par Hervé Le Guyader, professeur émérite de biologie évolutive à Sorbonne Université.
 
 
 
Pourquoi la face humaine actuelle est-elle plus aplatie que celle des humains archaïques ? La piste de l’autodomestication se précise…
 
 
Par Beatriz Martínez-Rius, chercheuse postdoctorante à l’université de Séville.
 
 
 
Les grands fonds marins, un nouvel eldorado à explorer ? Cette expression invoquée aujourd’hui par le gouvernement français pour lancer leur conquête l’était déjà mot pour mot à la fin des années 1960.
Rejouerait-on un scénario déjà écrit ?
 
 
Par Nicole Yunger Halpern, physicienne théoricienne à l’université du Maryland, au Centre pour l’information quantique et les sciences computationnelles.
 
 
 
Doper des machines à vapeur de l’ère victorienne avec des technologies quantiques : l’idée semble sortir d’un roman de science-fiction. Et pourtant, des physiciens développent une nouvelle branche de recherche à la confluence de la thermodynamique et de la mécanique quantique.
 
 
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L'ARCHIVE
 
 
Des carottages dans la calotte glaciaire du Groenland viennent de révéler que la température y atteint actuellement un maximum depuis au moins un millénaire. En 2008, Robin Bell, de l'institut de la Terre à l’université Columbia, aux États-Unis, détaillait la manière dont l’eau de fonte accentue la fragilité des calottes glaciaires
 
 
L'eau liquide découverte sous les calottes de glace de l'Antarctique et du Groenland fragilise leur équilibre, et suggère qu'elles sont plus sensibles au réchauffement climatique que prévu. Leur disparition provoquerait une hausse catastrophique du niveau des mers.
 
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LA REVUE DE PRESSE DE LA RÉDACTION
 
 
[tic-tac] 
 
 
Les scientifiques qui règlent chaque année l'horloge de l’apocalypse (leur Doomsday Clock est un indicateur du risque d’autodestruction de l’humanité, compté en nombre de secondes avant minuit) préviennent : il reste 90 secondes avant minuit. La guerre en Ukraine, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre et la crise de la biodiversité font avancer l’aiguille. Elle n’a jamais été si près du 12 depuis la création de l’horloge en 1947 (elle fut, au plus, éloignée de 17 minutes en 1991)
 
 
Cerveau bien emballé 
 
 
La dure-mère, l’arachnoïde, la pie-mère… et désormais (entre les deux dernières) la très fine Slym. Épaisse de quelques cellules seulement, cette quatrième barrière méningée enveloppant le cerveau, porteuse de cellules immunitaires, avait jusqu’ici échappé aux anatomistes. Ne reste plus qu’à réécrire tous les manuels d’anatomie cérébrale.
 
 
Il court, il court… le H5N1 
 
 
Les élevages de visons font à nouveau parler d’eux. En Galice, 50 000 de ces petits mammifères ont dû être abattus, affectés non pas par le SARS-Cov-2, mais par le H5N1. Il apparaît que ce virus de la grippe aviaire est désormais capable de se propager au sein des mammifères, après une première infection par un oiseau. Pour les chercheurs du laboratoire européen de référence pour la grippe aviaire, les cas espagnols sont un « signal d’alarme ».
 
 
ADN ancien trop bavard 
 
 
La paléogénétique fait parler l’ADN ancien, et retrace ainsi les mouvements passés des populations, l’évolution des maladies et du système immunitaire. Un trésor pour les scientifiques – qui a valu le prix Nobel de physiologie et médecine au pionnier du domaine, Svante Pääbo. Un trésor qui mérite réflexion et précaution pour que ni les prélèvements ni les résultats n'affectent les communautés descendant des populations étudiées. L’anthropologue Alyssa Bader propose des pistes pour savoir jusqu’où faire parler l’ADN des ancêtres.
 
 
Un authentique Raphaël – foi de robot ! 
 
 
C’est une IA qui a tranché : le célèbre Tondo de Brécy serait, à 97 % de probabilité, signé du maître de la Renaissance. Les algorithmes mobilisés par des chercheurs des universités d’Oxford et de Bradford ont, pour livrer ce résultat, comparé le tondo et La Madone sixtine, œuvre certifiée de Raphaël conservée à Dresde.
 
 
 
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