109 milliards par ci, 500 milliards par là… Les projets d’investissements dans l’IA se multiplient depuis quelques semaines et les sommes annoncées ont de quoi donner le tournis. Mais si tous ces capitaux n’étaient, en réalité, pas aussi nécessaires que certains le laissent penser ? L’arrivée de Deepseek pourrait en effet changer la donne…

À l’occasion du sommet international sur l’IA qui s’est ouvert lundi 10 février à Paris, plus de 120 médias issus de douze entreprises de la presse française ont dévoilé Spinoza, un outil d’intelligence artificielle (IA) destiné aux journalistes. Un outil qui fonctionne selon les conclusions d’un rapport suite leur participation à cette expérimentation montrent qu’il fonctionne.  Centré sur les enjeux climatiques, le prototype repose sur un système de recherche et de synthèse, conçu pour assister les journalistes et non les remplacer, selon plusieurs principes éthiques

Les conséquences de l’intelligence artificielle sur l’emploi est au cœur des débats qui ont lieu, hier et aujourd’hui, à Paris au Sommet pour l’action sur l’IA. Beaucoup s’inquiètent des licenciements que pourraient provoquer les nouveaux outils aujourd’hui disponibles sur le net. Stéphane Mallard est prospectiviste et spécialiste des nouvelles technologies a un avis tranché sur ce thème. Cet expert croit dur comme fer que nous allons tous perdre notre boulot -lui y compris- dans un avenir très proche. Alors info ou intox ? À vous de juger…

Vous l’aurez compris, l’intelligence artificielle est au cœur de notre actualité. Ipsos n’échappe pas à la règle et interroge les Français sur leur connaissance et usages de l’intelligence artificielle générative et les principaux risques liés à ces technologies.

Si l’IA peut se montrer une alliée des consommateurs pour leur recommander des produits, elle est à manier avec précaution. Car, si le consommateur veut bien être conseillé, il ne veut pas être manipulé. Ni se sentir espionné.

8 Français sur 10 souhaitent que les entreprises indiquent clairement avoir eu recours à l’IA pour générer leurs communications, 55% des sondés affirment que l’IA engendre une communication de qualité moindre, 76%  estiment qu’il est impossible de connaître avec précision les données personnelles détenues par les entreprises à leur sujet et l’usage qui en est fait… Méfiance donc, selon l’étude Quadient, réalisée par le cabinet Opinium, spécialiste indépendant en études de marché.

Free devient ainsi le premier opérateur en France à proposer un assistant IA à ses offres mobiles. Cette annonce concerne les abonnés mobile Free qui pourront profiter de cette offre gratuite en exclusivité pendant douze mois.