Bonjour à toutes et à tous, Comment un gouvernement peut-il résoudre le problème d’un pays alors que le problème du pays, c’est son gouvernement ? Et c’est reparti, la manipulation, la terrorisation, le confinement… et ça y est la dictature. Avec l’objectif énoncé cette fois-ci « tenir jusqu’au vaccin cet été ». Au moins, c’est clair. Le confinement ne sert à rien, il n’est pas efficace, sauf à imposer la vaccination à tout prix. A imposer le business modèle ultra-libéral de Big Pharma. Les chiffres sont totalement manipulés. On les gonfle exprès à la veille de l’intervention de Macron qui ment aux français en pleine connaissance de cause. Tout était prévu depuis août, les médias mainstream récitent docilement leur copie. Une partie encore importante de la population reste soumise et terrorisée, mais de plus en plus de voix s‘élèvent contre cette manipulation. « Il ne faut pas prendre les gens que pour des cons » Coluche. Je pense qu’avec le discours de Macron mercredi, nous sommes entrés en dictature. C’est sûrement ce moment que retiendra l’histoire pour le basculement. Comme en 1933, l’incendie du Reichstag, de triste mémoire, prétexte aux mesures de limitation des libertés. Nous ne pourrons pas dire "nous ne savions pas". Des mesures sans commune mesure. La peur utilisée comme moyen d’asservissement et d’anéantissement. Nous avons simplement, comme tous les hivers, des vagues épidémiques, avec comme tous les hivers des services hospitaliers débordés, mais moins cette année que les années précédentes. Bien sûr, on pourrait utiliser des mesures efficaces, permettre largement l’utilisation du traitement du Pr Raoult, mettre les médecins généralistes en première ligne avec des consignes efficaces, avoir profité de l’été pour préparer le système hospitalier en augmentant massivement le nombre de lits (alors qu’on en a supprimé 69 000 en 30 ans). Mais soyons clairs, cela ne permettrait plus de terroriser la population et de faire ce qui est prévu : « imposer une vaccination, détruire l’économie française et briser toute forme de résistance au pays de droits de l’homme ». E.A. |