Le syndicat des homéopathes répond après les attaques de l’Européan Académies Science Advisory Council. EASAC.La lecture de cet article montre vraiment à quel point l’EASAC a un parti pris anti homéopathique. Il élimine toutes les études positives, et se base sur des études menées par des médecins liés à des groupements anti homéopathie mais cachant leurs conflits d’intérêts. Le syndicat dénonce une sélection parcellaire des travaux réalisés en homéopathie. L’homéopathie fonctionne, n’a pas le cortège des effets secondaires de nombreux remèdes allopathiques et a un cout économique faible. Et en plus, elle remet le sujet au milieu de sa vie et de sa responsabilité et en fait des personnes conscientes et responsables. Intolérable pour une industrie pharmaceutique qui fait du fric pour du fric. Vous verrez plus bas que dans le même temps un autre article nous dit que la plupart des nouveaux anticancéreux n’ont pas fait la preuve d’efficacité réelle supplémentaire. Lisez en détail cet article et les extraits. « Les conclusions de quatre méta-analyses (analyse globale de plusieurs travaux de recherche) effectuées sur l’ensemble des études randomisées en double aveugle, effectuées en homéopathie, étaient positives. La conclusion de la quatrième (Klaus Linde, Lancet, 1997) était que « l'homéopathie est significativement plus efficace que le placebo ». Quand la malhonnêteté s’en mêle, lisez encore ceci. « L’EASAC se réfère également à un rapport australien parvenant à des conclusions négatives sur les preuves de l'homéopathie. Or cette étude est extrêmement contestable. Elle a été réalisée à deux reprises, la première, plus favorable à l’homéopathie, n’ayant jamais été publiée. Elle compte seulement 176 études évaluées au lieu de 1800 annoncées. Elle écarte de l’analyse toutes celles comptant moins de 150 participants (soit 171 essais ignorés), sans la moindre raison scientifique. Le Pr Peter Brooks, président du comité du NHMRC (National Health Medical & Research Council australien), a omis de déclarer qu’il était membre du groupe de pression anti-homéopathie (Friends of Science in Medicine). Enfin, ce travail n’a associé aucun expert en homéopathie à son comité. » Au congrès de l’IPSN Florian Petitjean directeur des laboratoires Weleda, a passé en revue les études autant sur l’homéopathie que l’allopathie, selon les critères de l’allopathie, et montre que l’homéopathie obtient des résultats largement aussi bons, voir meilleurs. Maintenant si on utilise les critères adaptés à l’homéopathie (des critères généraux de santé globale) le résultat est encore meilleur. |