On a du mal à imaginer que la pédo-criminalité puisse prospérer comme elle le fait sans que cela soit, pour le moins, couvert pas de hauts fonctionnaires et quelques politiciens professionnels au pouvoir. À ce sujet, et même si elle date de 1959, l’affaire Le Troquer, encore appelée « affaire des ballets roses », est là pour nous rappeler cette réalité.
Plus près de nous, une autre affaire permet de mettre en évidence des « dysfonctionnements », qui n’en sont sans doute pas, « policiers » et « judiciaires » que seuls des ordres politiques donnés au plus haut niveau de l’État permettraient de comprendre.
C’est l’affaire dite du « fichier de Zandvoort », qui défraya la chronique alors que Jack Lang était président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale (1997 - 2000), puis ministre de l’Éducation nationale du gouvernement Jospin (2000 – 2002), poste auquel il fut nommé avec l’accord de Jacques Chirac, alors Président de la République.
« Zandvoort, le fichier de la honte »
Une vidéo consacrée à cette affaire, et mise en ligne sur la chaîne YouTube de Karl Zéro, est ainsi présentée : « Dans tous les dossiers de pédo-criminalité et de disparitions d’enfants, le nom de « Zandvoort » n’est jamais très loin, telle une hydre, un serpent de mer… Fantasme ? Non. Contrairement au Loch Ness, les CD Rom de Zandvoort ont l'affreux mérite d'exister. Preuve irréfutable d'un trafic épouvantable de photos et de vidéos d'enfants violés, martyrisés. Cette enquête, ou plutôt cette quête de vérité (et si possible un jour de "justice") vous conduit dans un monde dont on ne ressort pas indemne, loin de là. »
Une vidéo mise en ligne par KLA revient sur l’affaire Dutroux
La présentation de cette vidéo nous promet des révélations sur « l’implication de la Justice dans les cas d'abus sexuels graves sur des enfants et de meurtres dans sept pays (États-Unis, Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Belgique, France, Suisse). Mais, sans même parler de la tapageuse et manifestement injustifiée mise en cause de Donald J. Trump dans l’affaire Epstein (lui qui n’a jamais fréquenté l’île d’Epstein et qui n’est jamais monté à bord du « Lolita Express », contrairement à Bill Clinton ou Bill Gates), la promesse est loin d’être tenue, excepté, toutefois, au sujet de l’affaire Dutroux.
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Les mondialonazis ne se contenteraient pas d’offrir les nouveau-nés à Big Pharma et de fragiliser ainsi considérablement leur immunité et leur santé, ils organiseraient également l’impunité judiciaire des pédophiles et permettraient à la Justice des principaux pays occidentaux de jouer un rôle actif dans toutes les horreurs et monstruosités qui caractérisent la pédophilie…
N’en doutez pas : si la Justice est impliquée dans des cas d’abus sexuels, c’est parce que des politiciens professionnels au pouvoir le sont également. Cette implication de la Justice permet de mieux évaluer les objectifs masqués derrière un vocabulaire de circonstance des « Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité », car tout cela ne serait mis en œuvre que pour mentalement nous préparer à l’horreur absolue : légaliser la pédophilie, sous une forme ou une autre.
Reposons la question : « L’École, les pouponnières, les crèches, les écoles maternelles, les écoles primaires, les collèges, les universités sont-ils des lieux où des enseignants doivent parler (et/ou pratiquer) de « sodomie », de « fellation » et autres activités sexuelles qui relèvent de la sphère strictement privée et de la vie intime des adultes ? » |