Notre travail de recherche et de diffusion des informations que vous trouvez dans nos lettres n'est financé que par vos dons et vos cotisations d'adhésions. Si vous aimez nos lettres, si vous partagez nos valeurs, si votre combat est le vôtre, adhérez à Libre Consentement Éclairé ou aidez-nous grâce à un don. Pour financer notre combat, nous lançons une campagne de dons, cliquez sur : GoFundMe
Les dons permettront de financer le lancement du site web, la continuation de l'envoi gratuit de nos lettres d'information et la constitution de notre liste aux élections européennes.
Vous partagez nos valeurs ? Faites un don pour financer notre combat !
Pour télécharger notre bulletin d'adhésion, cliquez sur : bulletin d'adhésion. Pour télécharger nos objectifs, cliquez sur : Objectifs Pour télécharger notre bulletin d'adhésion et nos objectifs, cliquez sur : adhésion et objectifs
* * * * * L'arnaque du siècle aux (millions ?) de morts : la vaccination antivariolique ! Pour télécharger la lettre, cliquez sur : L'arnaque du siècle « Grâce à la campagne mondiale de vaccination lancée par l'OMS, nous avons réussi à éradiquer la variole de la surface terrestre ». Vous y avez cru car c'est une belle histoire ? Moi aussi. Le problème, c'est que c'est faux ! Comme le démontre la lecture de documents émanant de l'OMS elle-même, le mythe de la variole éradiquée grâce à la vaccination est le fruit d'un révisionnisme historique entretenu depuis les années 1990 par les nouveaux dirigeant de l'OMS, actuellement à la solde de l'industrie pharmaceutique vendeuse de vaccins (rappelons-nous l'affaire du vaccin contre le virus H1N1 dont la ministre française de la santé de l'époque, Roselyne Bachelot, n'hésita pas à affirmer que tous ceux qui ne seraient pas vaccinés allaient mourir) ! Petit retour en arrière sur la vaccination antivariolique La première obligation vaccinale en France concerne la vaccination antivariolique et date de la loi du 15 février 1902.
Quelques faits historiques :
- Entre 1855 et 1875, en Ecosse, le pays qui était l'un où la vaccination contre la variole était la plus importante au monde, on enregistre la mort due à cette maladie de 9 000 enfants et qui étaient pourtant vaccinés ; - En 1870 et 1871, en Allemagne, 100 000 personnes contractèrent la variole, 20 000 décèdent de la maladie alors que 96% étaient vaccinées ; En 1905, après une vaccination de masse aux Philippines, on enregistra le décès de 25% de la population, alors que ce taux était de 10 % avant la vaccination et la prise de possession de l'archipel par les USA ;Entre 1918 et 1920, après que l'armée eut vacciné 95 % des habitants, la variole emporta 54 % de la population (65,3 % à Manille, où la presque totalité de la population avait été vaccinée, et seulement 11,4 % à Mindanao où les habitants refusèrent de se faire vacciner). La révolte des populations (mais pas en France !) - Le 28 septembre 1885, une émeute éclata à Montréal contre la vaccination obligatoire de la variole. Des milliers de manifestants déferlèrent face à l'hôtel de Ville pour le saccager après détruit le Centre de santé et de vaccination et quelques vitrines de pharmacies qui vendaient des vaccins. Un écho dans la presse de l'époque (pro autorités), cliquez sur : écho dans la presse. - Le 31 octobre 1904, pour éradiquer la variole du pays, le Congrès brésilien adopta la Loi sur la Vaccination obligatoire qui autorisait la vaccination de force aux domiciles des habitants ainsi que la destruction de leurs habitations. L'opposition créa la Liga Contra a Vacina Obrigatória (Ligue Contre la Vaccination obligatoire et une révolte éclata le 5 novembre à Rio-deJenerio. Du 10 au 16 novembre, la ville devient un champ de bataille. Le 14 novembre, les élèves de l' Escola Militar da Praia Vermelha (l'école militaire) se mutinèrent. Le gouvernement suspendit la vaccination obligatoire et déclara l'état de siège. Cette contestation de la vaccination obligatoire provoqua 30 morts et 110 blessés ainsi que la déportation de centaines de prisonniers dans la région d'Acre. * * * * * « Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l'histoire de l'humanité : faire croire à l'efficacité et à l'innocuité de ce principe inventé par Jenner et repris à son compte par Pasteur, alors qu'il ne repose sur aucune base scientifique sérieuse. L'immunologie moderne démontre au contraire que l'acte vaccinal constitue une grave atteinte à l'intégrité du système immunitaire des personnes vaccinées, faisant de celles-ci de véritables réservoirs à virus. » Vaccination, erreur médicale du siècle Dr De Brouwer * * * * * On trouve sur le site de la Ligue Nationale pour la Liberté Vaccinale des informations cruciales au sujet de « l'éradication » de la variole que l'OMS et les laboratoires pharmaceutiques présentent comme un succès mondial de la vaccination. (http://www.infovaccin.fr/l-eradication-de-la-variole.html#notes) Ces informations sont extraites du Rapport final de la Commission mondiale pour la Certification de l'Éradication de la Variole que l'on peut télécharger en français en suivant l'un de ces trois liens : - lien 01 ; lien 02 ; lien 03. Informations officielles de l'OMS
- « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays, mais échouèrent dans la plupart des cas. » (p.32 du rapport final de la CCEV) - « En Inde, cinq ans après une campagne nationale d'éradication entreprise en 1962 (55 595 cas), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu'il ne l'avait jamais été depuis 1958. Il eut été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » « Il fut capital de réaliser que, si le premier signe de la maladie était une fièvre à plus de 40° obligeant le malade à s'aliter, il ne devenait contagieux qu'avec le début de l'éruption, 2 jours après. Ces données seront le fondement de la stratégie de surveillance et d'endiguement qui remplacera progressivement la vaccination de masse. Il fut alors procédé de la sorte : 1 - Les malades furent alors activement recherchés, en particulier par des campagnes d'affichages et en offrant même de l'argent pour tout cas signalé. Dès qu'un cas était repéré, il était isolé. 2 - Les contacts étaient recherchés et surveillés. Aux premiers signes de maladie une fièvre intense, donc avant de devenir contagieux ils étaient isolés. » « Dès lors que les varioleux étaient isolés dans une enceinte où ils n'avaient de contacts qu'avec des personnes correctement vaccinées ou précédemment infectées, la chaîne de transmission était rompue. En identifiant et en isolant immédiatement les contacts qui tombaient malades, on dressait un obstacle à la poursuite de la transmission. » (p. 22 du rapport final de la CCEV) 3 - Il fut tout aussi essentiel de constater que la maladie se propageait le plus souvent à faible distance du malade (moins de 2 mètres) par la voie respiratoire et que les contacts se recrutaient parmi les personnes ayant approché le malade, le plus souvent les proches (p.33 du rapport final de la CCEV). « La variole n'était pas une maladie qui sévissait de façon simultanée et aléatoire dans de nombreux secteurs du pays, mais une maladie à propagation lente qui, à un moment donné, ne frappait qu'une petite proportion des agglomérations. Des exceptions à la règle furent observées, mais l'observation s'est généralement révélée juste. » « Le fait que des non-vaccinés vivant sous le même toit qu'un varioleux échappaient souvent à l'infection montrait bien que la variole n'était pas aussi transmissible qu'on l'avait généralement cru. Des études minutieuses montrèrent qu'un sujet infecté contaminait généralement entre une et cinq personnes. L'idée selon laquelle la variole provoquait souvent des épidémies foudroyantes occasionnant des douzaines, sinon des centaines de cas, se révéla sans fondement. » L'exemple de l'Inde et de Java Toujours selon le rapport final de la Commission mondiale pour la Certification de l'Éradication de la Variole : - « La campagne menée en Inde révéla les limites d'une stratégie axée uniquement sur la vaccination de masse dans un pays aussi vaste et densément peuplé que l'Inde. » « En revanche, lorsque des programmes de surveillance active et d'endiguement efficace entrèrent pleinement en action, l'Inde fut en mesure de réaliser l'éradication dans un délai relativement bref." (p.47 du programme de la CCEV). En 1970, les lobbys pharmaceutiques ne semblent pas avoir encore pris le pouvoir à l'OMS si l'on en croit une recommandation de son Conseil exécutif en janvier 1970 : « Notant l'importance que présente la surveillance dans l'état actuel des programmes et estimant qu'il est désormais souhaitable de mettre beaucoup plus fortement l'accent, dans tous les pays, sur le dépistage, les enquêtes et les mesures d'endiguement afin de parer à tous les cas et poussées épidémiques de variole » 1971-1972 - L'Angleterre, les USA et le Canada cessent d'imposer ou de conseiller la vaccination antivariolique. En France, M. PONIATOWSKI, ministre, renforce les amendes (décret du 27/05/1973) qui deviennent 200 fois plus chères. 1973 - Le professeur George DICK, docteur en médecine et ès sciences, directeur de la Fédération des Instituts supérieurs d'Enseignement médical en Grande-Bretagne, et épidémiologiste de renommée mondiale, déclare que : « lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole avaient été vaccinés ». 1974 - En janvier paraît le livre « Abolir la vaccination antivariolique, pourquoi ? » de F. Delarue et préfacé par le professeur Georges DICK. Le 26 novembre, une conférence de presse se tient à Paris avec l'auteur du livre et le professeur DICK qui condamne la pratique de la vaccination antivariolique de routine. Mais la France attendra encore 5 ans pour suspendre la primo-vaccination, et 10 ans pour les rappels ! Pourquoi ? Sinon pour maintenir les revenus divers liés à cette vaccination ? 1977 - Après un siècle de vaccinations de masse obligatoire et des (millions ?) de morts dus à la vaccination, le journal Le Monde du 21 décembre 1977 publia un article de F.J. TOMICHE, chef des services de presse et de publications de l'OMS, qui affirme alors : « Sur le plan stratégique, l'abandon de la vaccination de masse en faveur de l'approche dite « de surveillance-endiguement » revêtit une importance capitale. Avec ce type d'approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l'incidence variolique était élevée et les taux d'immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d'endiguement immédiates, c'est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d'arrêter la transmission. » Les lobbys pharmaceutiques remontent au créneau (il y a tellement d'argent facile à se faire) En 2001, les lobbys pharmaceutiques mettent la pression sur l'OMS pour relancer la vaccination obligatoire de masse et le 26 octobre 2001 le directeur général de l'OMS, le docteur Gro Harlem Brundtland, déclarera en effet : « L'efficacité des vaccins existants est prouvée ; mais on observe une forte incidence des effets indésirables. La probabilité de ces réactions est suffisamment élevée pour ne pas procéder à la vaccination de masse tant que le risque d'exposition est faible, voire inexistant. L'OMS confirme que la meilleure méthode pour enrayer une épidémie de variole, si elle devait se produire, reste la même : recherche et confinement. Cela signifie de rechercher les personnes atteintes, d'identifier celles qui ont été en contact et de les vacciner. La vaccination préventive de l'ensemble de la population induirait un nombre substantiel de décès et de séquelles » * * * * * Pour en savoir plus sur cette meurtrière vaccination antivariolique, visitez L'excellent blog du mathématicien Bernard Guennebaud en cliquant sur : blog de Bernard Guennebaud.
* * * * * « Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu'ils contractèrent après avoir été vaccinés. » The Vaccination Superstition: Prophylaxis to Be Realized Through the Attainment of Health, Not by the Propagation of Disease; Can Vaccination Produce Syphilis? Dr. J.W. Hodge Publié en 1909 Ne baissons pas les bras, résistons ! Bien amicalement. Pierre Lefevre
|