Un embrasement du Moyen-Orient, devenu plus certain, provoquerait un choc d'offre. Le Brent, dont le cours a connu cette nuit l'une des flambées les plus spectaculaires depuis les années 90, pourrait encore augmenter de 60%, selon la banque privée Oddo BHF, ce qui bénéficierait aux majors pétrolières et en particulier à Repsol. Chez GaveKal Research, on explique que « les frappes menées aujourd'hui par Israël étaient agressives et préventives », rien à voir avec les attaques et contre-attaques de représailles de 2024, d'où la « violence » de la réaction sur les marchés pétroliers.