Les autruches ont beau s'enfouir la tête dans le sable, l'immigration incontrôlée nous rattrape toujours, comme on a pu l'observer avec l'émotion provoquée dans tout le pays par la mort de Philippine, violée et assassinée par un OQTF dans le bois de Boulogne. Jusqu'à présent, nos gouvernants n'en continuaient pas moins de mener, les bras ballants, ce que le général de Gaulle, après André Tardieu, appelait la politique du « chien crevé au fil de l'eau ». Lire l'article |