Comment se manifeste le syndrome de l’imposteur ? Peut-on y échapper ? Existe-t-il des contremesures ? L’imposteur a-t-il raison ? Pourquoi est-il important d’être accompagné ?
Cette nuit, j’ai fait un rêve, non pas étrange et pénétrant, mais très désagréable…
Alors que démarre cette grosse réunion que je vais animer avec mon équipe projet, tout semble mal se passer. L’une des dirigeantes me fait dire au dernier moment qu’elle va dans une réunion concurrente de la mienne. Un autre, qui ressemble comme 2 gouttes d’eau à l’un de mes clients, quitte ma réunion dès le début.
Un participant retient l’attention de l’assistance avec une espèce de tablette révolutionnaire. Moi-même, champion de la préparation, je me retrouve avec des quantités de feuilles à la main, trop de mots, l’impression de ne rien maitriser. Je cherche une anecdote pour introduire le meeting. J’ai une idée moyenne, « plate » comme on dit au Québec.
La réunion démarre mal, désorganisée. Je fais un tour dans la salle d’à coté où démarre l’autre. Je reviens dans ma salle, prend la tablette et essaie de l’utiliser sans y parvenir. Je me retrouve sur une moto appartenant à mon fils…
Le rêve, angle d’attaque pour le syndrome de l’imposteur
Pourquoi je raconte ça ?
Parce que mon interprétation est que le syndrome de l’imposteur est à la manoeuvre. J’ai plusieurs nouvelles missions qui démarrent. Je dois créer des animations originales pour aider mes clients à s’élever.
Alors l’ami imposteur pointe son nez. Par tous les moyens, il va tenter de me faire peur, me flanquer la frousse. Pourtant, je suis consultant depuis 20 ans et j’ai de très bons feed-back de mes clients. Avec l’expérience, j’ai mes contre-mesures pour débouter l’imposteur.