Vous avez sans doute déjà entendu parler de ce qu’ils appellent les « intérêts négatifs » au sujet des intérêts bancaires.
Cette expression est volontairement mensongère : un intérêt bancaire ne peut pas être négatif. Il représente toujours le montant que vous doit celui qui vous emprunte de l’argent, ce qui correspond généralement à un % de la somme empruntée sur une durée (par exemple 1 an).
C’est ainsi que les banques vous facturent des intérêts en cas de prêt bancaire ou si votre compte courant est à découvert, c’est-à-dire qu’elle vous a permis de dépenser plus d’argent qu’il n’y a sur votre compte en banque.
L’inversion du sens des mots pour inverser les valeurs !
Il n’y a pas qu’en médecine ou en politique et philosophie que les mondialistes changent à volonté et avec constance la signification des mots que nous utilisons quotidiennement pour nous exprimer (ce qui s’appelle « opérer une inversion des valeurs »).
Cette inversion touche maintenant le secteur bancaire, et ce n’est pas pour notre bien !
Désormais, lorsque les banques empruntent de l’argent, elles sont payées pour cela (alors qu’elles devraient payer des intérêts) et lorsqu’elles déposent de l’argent, elles payent pour cela (alors qu’elles devraient toucher des intérêts).
En revanche, lorsque vous empruntez à votre banque, vous continuez à payer des intérêts, mais ce n’est pas le pire et le plus grave, face de ce qui nous attend, c’est-à-dire les « intérêts négatifs ».
Que se cache-t-il derrière ces « intérêts négatifs » dont vous allez de plus en plus entendre parler ?
C’est simple, à chaque fois que vous déposerez de l’argent sur votre compte en banque, la banque vous le facturera, elle vous en prendra un pourcentage (très faible au début, puis ensuite ce sera selon leur bon vouloir).
La raison qu’ils ont trouvée pour nous imposer cela est simple, la Banque centrale européenne fera désormais payer les dépôts d’argent des banques alors qu’elle devrait rémunérer avec des intérêts ces dépôts.
L’inversion des valeurs est là : la Banque centrale européenne paye les banques pour qu’elles lui empruntent de l’argent et elle les fait payer si elles déposent de l’argent sur ses comptes.
Cela ne s’applique qu’aux banques qui, elles, continueront à vous faire payer des intérêts sur l’argent que vous empruntez (prêts ou découverts) et qui très vite vous feront également payer des frais pour vos dépôts (salaires, prestations sociales, retraites, etc.).
La fin de la monnaie papier signera à jamais notre condition d’esclaves !
Oui, mais me direz-vous, la parade est simple : il suffit de retirer en espèce l’argent que nous avons sur notre compte et le tour est joué.
Seulement voilà, ils ont anticipé, ils vont supprimer la monnaie papier (ainsi que les pièces) et imposer l’€ numérique, ainsi seuls les gouvernements et les banques pourront disposer à souhait de notre argent.
Quant à nous, nous pourrons seulement de notre argent ce qu’ils voudront bien nous autoriser à faire.
Les paroles de leur musique sont déjà écrites, et vous allez de plus en plus en entendre parler : « il faut sortir du Moyen-âge économique », « la monnaie papier c’est l’Ancien Monde », « l’€ numérique permet de supprimer la fausse monnaie et la fraude fiscale », etc.
Évidemment, tout cela est mensonger. Rien ne changera de ce point de vue. Les politiciens professionnels et les hauts fonctionnaires n’auront aucun mal pour piocher dans les caisses de l’€ numérique et pour échapper aux impôts et taxes.
Une arme mortelle de l’ingénierie sociale !
Changer la signification communément admise des mots est une des armes préférées des politiciens professionnels et les hauts fonctionnaires. Cela permettrait de semer le trouble et la confusion dans les esprits, ce qui rendrait obéissant aux autorités étatiques une grande majorité de la population.
Des poisons deviennent des « médicaments » et des « vaccins », et les vrais médicaments deviennent des poisons !
Cette inversion du sens des mots n’est pas une simple figure de rhétorique, c’est une véritable arme qui tue.
Pour s’en convaincre, il suffit de se rappeler comment ils ont transformé l’Hydroxychloroquine en poison interdit à la vente et aux soins (alors que c’est un médicament efficace, sans danger, qui permet de soigner les pneumopathies associées à des virus), tout en appelant « médicament » les poisons que sont le Remdesivir® et les « vaccins » aux mortels cocktails d’ARNm au graphène et à l’Hydra vulgaris.
Injections obligatoires de mortels cocktails chimiques et biologiques et € numérique, c’est le monde que les néonazis psychopathes de Davos ont organisé minutieusement pour nous. Cela vous tente ? Pas nous !
* |