La révolte du Pangolin.Après l’humoristique révolte du serpent à plume. La révolte de la nature maltraitée. Le Pangolin serait le réservoir de virus du Coronavirus. Ce petit mammifère est un des animaux les plus chassés particulièrement en Chine, et en voie d’extinction. Ne pourrait-on pas voir ce qui arrive comme une forme de réaction de défense contre son prédateur d’une espèce fortement attaquée ? Au-delà d’un certain niveau de danger d’extinction, elle libère des toxines contre ses prédateurs. Ce processus est connu, nous savons qu’en cas de feu de forêt les pommes de pin des conifères explosent pour envoyer au loin leurs graines. De nombreuses plantes sécrètent des molécules appelées lectines dont la fonction est d’attaquer leurs prédateurs pour éviter la surconsommation de ces plantes. Moyen simple d’assurer une régulation. Cela a été mis en évidence par un cardiologue américain Steven Gundry dans son livre «The plant paradox » (Lien FNAC : https://livre.fnac.com/a11768679/Steven-R-Gundry-Le-paradoxe-des-plantes?) Le gluten a une fonction semblable. Découvrir le Pangolin, animal persécuté s’il en est, comme réservoir de virus est donc à ce niveau très intéressant. Cela nous renvoie à une nature qui tente désespérément de se défendre face à la folie humaine. Après les incendies en Australie qui continuent de ravager de pays, mais dont plus personne ne parle. C’est bien pratique aussi une épidémie de Coronavirus. Concrètement, même si elle pose des questions très importantes, cette épidémie avec 1500 morts reste très en deçà d’une banale grippe hivernale. |