Vaccin anti-Covid: les boss des labos ont déjà empoché le jackpot Un montant de plus d'un milliard de dollars, en surfant sur la bulle et en revendant opportunément leurs stock-options. Les vaccins ne nous sauverons peut être pas mais il y en a qui ont déjà tiré les marrons du feu. A une époque on appelait cela des profiteurs de guerre. Pendant que vous êtes inquiets et que les gouvernements se mobilisent, qu’ils investissent des millions voir des milliards pour aider la recherche sur les vaccins, les boss des labos s’en mettent plein les poches en vendant leurs stock-options. Est il bien juste de confier notre vie à de telles personnes aussi avides et mercantiles. Pas sûr. « Alors qu'on n'attend pas de vaccin contre le Covid-19 avant 2021 selon le meilleur des scénarios, les dirigeants des start up qui sont en train de les développer ont déjà encaissé des profits substantiels. Selon le New York Times, les hauts cadres des onze principales entreprises de biotech impliquées dans les recherches ont déjà empoché plus d'un milliard de dollars [850 millions d'euros] depuis le mois de mars ». Ces comportements flirtent parfois avec les limites de la légalité: les bénéficiaires des stock-options sont en principe tenus de les conserver un certain temps avant de les revendre. Tout cela repose sur des effets d’annonce et rien ne prouve qu’on jour cela tiendra ses promesses. Les vaccins sont vraiment devenus une affaire de business. On comprend pourquoi beaucoup, et de très riches, ont intérêt à faire croire à la seconde vague. Pas pour vous, mais pour s’enrichir eux. « Malgré leurs assertions, Moderna, Regeneron, Novavax ou Inovio n'ont pas la moindre preuve concrète qu'elles parviendront à mettre sur le marché un vaccin dans un court délai ». On réalise alors que les effets d’annonce sur les progrès d’un super vaccin ont pas mal de rôles, et en particulier de faire monter le cour de la bourse et d’empocher des plus values. Quant à l’article précédent ont voit la réalité… tout cela sent la malhonnêteté. Lire la suite. |