Face à la raréfaction des financements, les start-up qui parviennent à boucler un tour de table doivent accepter des conditions qui n'existaient pas ou peu en 2021. Avec à terme, un risque de pénaliser ses prochains tours de table ou encore repartir bredouille lors de la revente.

Créée fin 2021 par Julien Garcia, un ancien de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), cette start-up propose une mutuelle et une assurance chien chat. Elle vient de remporter l'appel d'offres « santé collective » de McDonald's en France.

Cette start-up lance lundi 7 novembre un « grand défi » durant l'hiver pour inciter les particuliers à réduire leur consommation d'énergie grâce à des petits gestes ludiques au quotidien, le tout à travers une application. Elle développe un modèle de sponsoring auprès des fournisseurs d'énergie et d'entreprises pour financer des associations.

Chez Twitter, l'acquisition par Elon Musk s'est traduite par un plan de licenciements sans précédent : la moitié environ des salariés du réseau social ont été forcés de partir. Le cas Twitter est extrême mais pas isolé. Les plans de départ se multiplient dans le secteur de la tech.

La start-up tricolore voulait ouvrir un bureau outre-Atlantique, où elle possède un quart de ses utilisateurs. Elle a mis au point en 2018 une place de marché pour mettre en relation artistes, médias et influenceurs.

Chaque année, dans un pays comme la France, le coût des défauts des logiciels varie entre 20 et 200 milliards d'euros, estime Vincent Champain. Une grande partie est liée à des problèmes de cybersécurité. La cause la plus étonnante ? Les rayons cosmiques.

[EN PRATIQUE] Certaines start-up font le choix d'ouvrir en accès libre leur plateforme ou leur logiciel. Elles doivent arbitrer entre le flux supplémentaire apporté et le risque d'être copiée.

En quelques jours, les Américains Stripe, Chime (néobanque), Chargebee (prélèvement) et quelques Européens dont le spécialiste des notes de frais Pleo ont annoncé des vagues de licenciements. Tout le secteur de la tech est touché par la crise, même les Gafas. 

C’est l’hiver pour tout le monde. Les investissements dans les start-up du secteur des crypto-monnaies ont chuté de plus de deux tiers par rapport à 2021, selon JP Morgan Chase, soit une chute de 10 milliards de dollars. Le fonds crypto d’Andreessen Horowitz a perdu 40 % de sa valeur au premier semestre.

Le Suédois et le Britannique construisent actuellement des méga usines qui vont employer plusieurs milliers de personnes. Le média Sifted revient en détail sur les missions et stratégies de ces deux pépites européennes.  

La deeptech lyonnaise Fasteesh vient d'installer son site de production à Caluire-et-Cuire, en banlieue lyonnaise, où elle compte investir une dizaine de millions d'euros d'ici à 2025 pour accompagner sa forte croissance.