Savoir ce qu’il faut faire en ce moment pour être un “bon citoyen” n’est pas évident.
Le plus important, sûrement, est de parvenir à garder le moral pour soutenir ses proches !
Entre ceux qui vous recommandent la désobéissance civile, ceux qui vous demandent de vous écarter sur le marché si vous êtes à moins de deux mètres d’eux, et ceux qui n’osent plus sortir de chez eux, on se demande quelle attitude il faut adopter pour pouvoir continuer à frayer avec ses semblables.
Le coronavirus divise le monde plus qu’il ne fait de morts.
Débat sur la mortalité
Si au mois de mars dernier, certains épidémiologistes nous ont promis un carnage, la réalité est bien différente1.
Elle ressemble davantage à ce qu’avait prévu le Pr Didier Raoult qui rappelait que, chaque année, il y avait un pic de surmortalité au printemps et qu’à la fin de l’année “on ne verrait pas la différence avec les autres années”2. Il estimait que ce virus, en termes de létalité, était comparable à celui de la grippe. Les faits lui ont donné raison.
De leur côté, les médias officiels expliquent à longueur de journée que nous vivons une hécatombe. Ils se font ainsi l’écho de nos responsables politiques3.
Pourtant, il n’y a presque plus de morts en France et le chiffre reste stable, c’est-à-dire une quarantaine de décès quotidiens sur 1700 décès en moyenne.
Selon l’INSEE, toutes causes de mort confondues, la mortalité sur l’année, en septembre 2020, est identique à celle de 2019. Elle est de 1% plus élevée qu’en 2018. Elle est, pour l’instant, plus faible qu’en 20173…
Du point de vue de la grande faucheuse, 2020 n'a rien d’une année exceptionnelle.
L’être humain n’est pas immortel...
Ces statistiques devraient nous rassurer.
Mais ce n’est pas toujours le cas.
Autour de moi, les gens ont peur.
Ils sont toujours aussi vivants, ils ont toujours autant d’amis, ils n’ont pas perdu de proches de moins de 80 ans dans les six derniers mois, mais ils sont encore terrifiés.
C’est comme si soudainement, l’idée que nous étions mortels avait fait son chemin.
Et il est vrai que c’est bien la première fois dans l’histoire des médias que la télévision nous le rappelle si souvent !
Mais que vous soyez mortels ou que je le sois n’a rien d’un scoop. Cela fait longtemps que l’humanité parvient à vivre avec cette idée ! Cela n’a jamais empêché nos ancêtres de construire des royaumes, des villes, des cathédrales, des écoles...
Vive la vie !
Certes il y a la mort.
Mais avant il y a la vie. Il y a la joie, le chant, le partage, la discussion, le rire, le jeu, le sport, le rêve, l’amour, les échanges fraternels, les victoires et les désillusions, les apprentissages, la danse, etc.
Toutes ces activités sont désormais suspectes !
L’idée de partager des moments avec d’autres est devenue tabou.
C’est pourtant ce pourquoi nous sommes faits.
Nos vies n’ont de sens que si elles sont tournées vers les autres. La vie est là.
Voir pousser des barrières imaginaires entre chaque être qui m’entoure alors que la réalité de nos vies et les chiffres officiels montrent que la vie en 2020 n’est pas plus dangereuse que d’habitude est invraisemblable.
Seuls les cœurs ont changé. Ils ont peur.
Une année étrange
Je ne vais pas faire le bilan de l’année avant l’heure, mais on sait déjà que 2020 aura été loufoque, bizarre, inimaginable.
Yves Rasir, journaliste scientifique, fondateur de la revue Néosanté parle du “Corona Circus” pour désigner la crise sanitaire et politique que nous traversons5.
C’est une formule pleine de justesse.
Toutes les informations que nous recevons des médias officiels ou des institutions de santé sont incohérentes, exagérées, hystériques.
Une parole publique discréditée
La parole scientifique et médicale a perdu de sa valeur, tout comme celle des responsables politiques et des médias.
Cela est dû aux contradictions, aux exagérations, aux supercheries et aux changements d’avis réguliers des uns et des autres.
Pour attaquer la chloroquine, The Lancet, l’une des plus respectables - soi-disant - revues médicales, a osé publier une étude si manifestement frauduleuse qu’il a fallu la rétracter dans les jours qui ont suivi. Elle portait sur des malades imaginaires et réunissait des données provenant d’hôpitaux qui n’avaient jamais été sollicités6…
Olivier Véran, Ministre de la santé français, a interdit et maintenu son interdiction de la chloroquine sur la base de cette étude.
En début de crise, l’épidémiologiste anglais Neil Ferguson prévoyait une hécatombe dans son pays mais ne respectait pas lui-même les mesures de confinement qu’il avait fait imposer à ses concitoyens7.
En France, un membre du comité scientifique annonçait, au mois d’août depuis son lieu de villégiature, une catastrophe sanitaire pour la France et les Français. Lui-même semblait bien loin de toute forme d’inquiétude8.
Les responsables politiques français ont, à maintes reprises, moqué le masque et les Français qui ne savaient pas le porter pour finalement le leur imposer sous peine d’amende quelque mois plus tard9…
Ils ont interdit la chloroquine au moment même où la médecine de terrain témoignait des bienfaits de ce traitement10.
Et aujourd’hui, alors que de nombreux scientifiques indépendants constatent que l’épidémie est terminée en raison de la chute de la mortalité, le gouvernement continue à imposer des mesures restrictives de liberté de manière aléatoire11.
Tous masqués ou presque…
Ces contradictions sont reflétées dans la pratique quotidienne du port du masque.
D’une ville à l’autre, il est obligatoire ou facultatif.
Les ados le portent à l’école, ce qui leur permet de chahuter.
Les enfants sont épargnés. Ils regardent sagement leur maîtresse désemparée qui tente de leur apprendre la prononciation derrière son masque.
Elle s’étouffe en pensant au fait que les enfants ne sont pas contagieux…
Les salles de sports publiques ferment autour de chez moi, les salles privées restent ouvertes.
Dans certaines salles on porte le masque, dans d’autres, cela dépend…
À Marseille boire un verre est interdit, à Paris, il faut y aller tôt, à Strasbourg c’est encore autorisé… Mais tout peut changer demain...
Courir sans masque est possible. Manger sans masque est jouable. Manifester avec un masque serait interdit…
Si vous vous rendez à une manifestation, n’oubliez pas de le porter durant vos transports !
Tout le monde passe son temps à mettre et à enlever son masque chirurgical que chacun garde une semaine alors qu’il ne protège que pendant 4 heures...
C’est une sacrée mascarade. Le grand bal masqué !
Et pendant ce temps...
l’économie s’effondre et les plans sociaux se multiplient ;
le nombre de personnes ayant recours à l’aide alimentaires a explosé12 ;
4000 enfants ont été déscolarisés13 ;
le taux de suicide est encore monté, notamment chez les jeunes filles entre 15 et 19 ans14 ;
La morosité ambiante semble n’avoir jamais été aussi forte.
Et c’est compréhensible.
Avec autant d’informations contradictoires, personne ne peut se projeter vers l’avenir.
Les couples reportent leur mariage, leur installation ensemble, ou les naissances, les entreprises reportent leurs contrats et leurs embauches et les gouvernements… reportent les élections !
Dans l’une de ses conférences sur le sommeil, Jean Motte, acupuncteur, rappelait que la dépression, c’était le fait de ne pas pouvoir faire de choix.
Et c’est exactement la situation dans laquelle sont mis les citoyens par les autorités en donnant des instructions impossibles à tenir ou des injonctions contradictoires.
Petit à petit, une population entière sombre dans la dépression.
Mais personne ne le voit, heureusement.
Les visages sont masqués !
Il est temps de faire comme les Suédois, de sortir du confinement dans les têtes, d’ouvrir les yeux et de laisser à chacun la responsabilité de vivre comme il l’entend !
Cela n’empêche évidemment pas de prendre soin et de protéger les personnes les plus à risque.
Mais ce n’est qu’une petite partie de la population dont la protection dépend aussi de la santé et de l’activité des autres !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
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