Bonjour aux lecteurs et lectrices. A l’approche du 14 juillet, il y a du changement dans l’air. Les claquettes s’apprêtent à faire leur grand retour ! Tout comme Bison Futé qui voit rouge pour ce premier gros week-end de départ en vacances. Mais comment financer cette respiration estivale sans étouffer la rentabilité de vos plans d’épargne pour le reste de l’année ? En choisissant l’enveloppe adéquate. Surtout que pour la carte postale exotique, vous risquez de devoir débourser jusqu’à 250 euros en test PCR à défaut d’être vacciné. Sous le soleil de l'épargne, la tempête n'est pas loin. Si certains se questionnent sur la mort du bitcoin, dont le prix est passé de 65 000 dollars mi-avril à quelque 35 000 dollars en ce début juillet, d’autres, comme le très libéral prix Nobel d’économie Jean Tirole et l’ancien chef économiste du FMI Olivier Blanchard, veulent faire la peau à l’avantage successoral de l’assurance vie. Ainsi se termine notre série sur les niches fiscales qui posent question. Les 1% des assurés qui détiennent un quart des encours de l’assurance vie risquent de ne pas apprécier. Les épargnants ne vont pas voir d’un très bon œil, non plus, le retour de l’inflation. En juin, d’après l’estimation provisoire de l’Insee, les prix ont bondi de 1,5% sur un an, dépassant donc le taux du Livret A, boussole de l’épargne sans risque. Mais quel est vraiment l’effet de cette inflation sur le patrimoine financier ? La réponse. Bonne lecture et à la semaine prochaine ! L'équipe de MoneyVox |