| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au programme ce samedi, la possibilité de voir Lionel Messi débarquer à Paris qui a pris de l’épaisseur ces dernières heures et les suites de la mise en place du pass sanitaire, avec les questions qu’il suscite encore mais aussi parfois la colère. Dans l’actualité également, nos conseils pour rouler moins cher en ce week-end de chassé-croisé, les inquiétudes des scientifiques autour de l’instabilité du système de courant majeur de l’océan Atlantique et évidemment, la médaille d'argent des basketteurs français cette nuit et les autres chances de médailles d’or des tricolores à Tokyo. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Messi aux portes de Paris. Jeudi, le clan du sextuple Ballon d’or a repris contact avec le PSG afin de discuter de son transfert. Les dirigeants parisiens sont en train d’établir un plan financier afin de faire signer Lionel Messi. Libre de tout contrat depuis l'annonce de son impossible prolongation à Barcelone, le n°10 argentin «n'est pas heureux» de ce départ, «mais il a d’autres propositions», a confirmé hier le président du club catalan, dont les supporters sont évidemment abattus. ● Un pass sanitaire et beaucoup de questions. Après la validation de son extension par le Conseil constitutionnel, le pass sanitaire va donc largement entrer dans le quotidien des Français à partir de lundi. Une source d’inquiétude, parfois, et un degré d’organisation supplémentaire pour beaucoup de foyers. D’autant que certaines dispositions ne sont pas toujours évidentes à comprendre… Mais pas de panique, nous faisons le point et répondons aux questions que vous vous posez encore. ● L'Allemagne serre la vis. L’institut de veille sanitaire allemand Robert Koch (RKI) a annoncé hier que les voyageurs français en provenance du sud de la France et des territoires ultramarins devront se soumettre, à compter de demain, à une quarantaine de 5 à 10 jours s’ils n’ont pas de pass sanitaire. L’institut a décidé de classer ces régions dans les zones à «haut risque». ● Mort de Cédric Chouviat. Dans un courrier adressé au ministère de l’Intérieur fin 2020, les avocats de la famille de ce livreur décédé lors de son interpellation à Paris en janvier 2020 demandaient la suspension des policiers mis en examen dans cette affaire. Le 21 juin 2021, Gérald Darmanin leur a adressé une fin de non-recevoir, malgré les premiers éléments de l’enquête accablants pour les fonctionnaires. Un «cruel dédain», selon les proches de ce père de famille. ● Le bilan des incendies s’alourdit en Grèce. Toujours confronté à dizaines de feux, le pays a enregistré hier son premier mort depuis le début de cette terrible vague d’incendies sur fond de canicule : un homme de 38 ans, vivant au nord d’Athènes, est décédé après avoir été percuté par la chute d’un poteau électrique. La Grèce déplore aussi une quinzaine de blessés. Par ailleurs, 82 pompiers français sont arrivés sur place pour prêter main-forte. |
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| «Une semaine de rodage» | Gabriel Attal Le porte-parole du gouvernement a confirmé hier la souplesse dont feront preuve les autorités pour permettre aux professionnels de s'adapter aux nouvelles dispostions du pass sanitaire | |
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1 minute pour comprendre | | Le système de courant majeur de l'océan Atlantique instable et proche du seuil critique ? | Les faits. Selon une étude menée par un climatologue de l’Institut de Potsdam (Allemagne), publiée jeudi dans Nature Climate Change, des signaux précoces de l’effondrement du courant majeur de l’océan Atlantique (Amoc), dont le Gulf Stream fait partie, auraient été détectés. Que dit l’étude ? L’affaiblissement progressif de l’Amoc observé au cours des dernières décennies est « susceptible d’être associé à une perte de stabilité », annonce l’auteur de l’étude, qui a analysé des données remontant à 150 ans. Or si l’Amoc s’affaiblit jusqu’à un certain seuil, la circulation pourrait s’arrêter. Un tel événement aurait des conséquences catastrophiques dans le monde entier. Ses conclusions. L’étude montre que « l’Amoc est très fragile, que le système climatique n’est pas stable », explique au Parisien l’océanographe et climatologue Julie Deshayes. « Si, en plus, le système est perturbé par l’homme, alors on se met dans une position de grave danger. Comme on sait que les émissions de CO2 ont un impact fort sur le climat, ça doit nous mobiliser à les réduire. » Ses limites. L’étude se base sur des « observations indirectes », soulignent les scientifiques que nous avons interrogés. En outre, les données utilisées « ne sont pas récentes ». « Il n’y a rien d’urgent dans cette étude, la nouveauté réside dans le fait qu’elle a été publiée maintenant », constate Julie Deshayes. | |
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