Avec une mission d’envergure au Cameroun, l’Université Paris-Saclay développe sa stratégie africaine |
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| Dans le cadre d’une mission au Cameroun d’une délégation de l’Université Paris-Saclay (UPSaclay) menée par sa Présidente, Sylvie Retailleau, deux Memorandum of Understanding ont été signés avec l’Université de Yaoundé II et l’Université de Douala les 26 et 27 mars 2019. Plusieurs membres et composantes de l’Université Paris-Saclay (l’Université Paris-Sud, dont l’IUT de Cachan et l’Ecole d’ingénieurs Polytech, et l’Université d’Evry-Val-d’Essonne) développent depuis ces dernières années, d’étroites relations avec l’Université de Douala et l'Institut Supérieur de Technologie Avancée et de Management (ISTAMA), en particulier pour des Licences Professionnelles liées, par exemple, aux métiers de l’industrie, de la logistique et de la maintenance. |
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| MOOC Comprendre les Nanosciences : Troisième session |
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| PHYSIQUE 7 idées fausses sur la physique quantique |
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| INTERNATIONAL Le Fields Institute (Canada) et la Fondation Jacques Hadamard renforcent leur collaboration en mathématiques |
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| PORTRAIT Membre de l'Académie des sciences : Jean-François Le Gall : un drôle de menu pour un mathématicien |
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| DESIGN La région Île-de-France devient partenaire du Prix Design & Science – Université Paris-Saclay 2019 |
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| RECHERCHE Quand les nanoparticules rencontrent la médecine et viennent enrichir les modalités de traitements. |
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| Agnès Barthélémy : la spintronique ou l’envolée exponentielle de la densité de stockage Professeur à l’Université Paris-Sud, Agnès Barthélémy a participé, juste après la découverte de la magnétorésistance géante, aux travaux d’Albert Fert, prix Nobel 2007 de physique, auprès de qui elle travaille toujours aujourd’hui au sein de l’unité mixte de Physique CNRS/Thales à Palaiseau. En 2017, elle a été lauréate du prix Lazare Carnot de l’Académie des sciences pour ses travaux de recherche novateurs en spintronique, la science qui exploite les propriétés quantiques de l’électron, et en oxitronique, l’électronique à base d’oxydes, qu’elle a contribué à développer au sein du laboratoire. C’est lors de son stage de DEA en magnétisme, dans l’équipe du futur prix Nobel de physique, au sein du Laboratoire de physique des solides (LPS – CNRS/Université Paris-Sud) à Orsay, qu’Agnès Barthélémy a le déclic pour la recherche. « J’ai eu la chance de rencontrer Albert Fert et ne l’ai plus quitté ! » observe la chercheuse, qui souligne « l’ambiance extraordinaire » qui régnait alors dans le laboratoire. Après sa thèse, soutenue en 1991, elle obtient un poste de maître de conférences à l’Université Paris-Sud et est recrutée au sein du LPS. Elle suit ensuite Albert Fert dans l’unité mixte de physique CNRS/Thales lors de sa création en 1995. Plus qu’une équipe, c’est une « famille » de recherche qu’intègre Agnès Barthélémy. |
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