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Cher Monsieur Do,
Nino a 10 ans et vit dans l’une des quartiers les plus défavorisés d’une grande ville côtière de Géorgie. Victime d’agression sexuelle de la part d’un voisin, il lui a fallu bien du courage pour se confier. Quand notre partenaire PHF (Public Health Foundation of Georgia) l’a rencontrée, la fillette était profondément traumatisée : elle se reprochait ce qui lui était arrivé et montrait de forts troubles d’anxiété.
Heureusement, Nino a pu être accompagnée, dès son audition au poste de police, par des psychologues de PHF. Des sessions régulières ont ensuite été organisées pour aider la fillette à se reconstruire et alerter ses parents sur la nécessité d’un suivi thérapeutique.
Mais combien d’enfants victimes ne bénéficient pas d’un tel soutien ?
En Géorgie, malgré la volonté affichée de l’Etat et les réformes amorcées, l’insuffisance de moyens financiers et du nombre de professionnels formés ne permet toujours pas d’assurer une prise en charge adaptée des enfants victimes et une lutte efficace contre la maltraitance.
Il est urgent d’agir pour ces enfants, quand les répercussion de la guerre en Ukraine et de la crise économique font peser chaque jour davantage sur eux des risques de violences et négligence. |
Cher Monsieur Do, Nino a 10 ans et vit dans l’une des quartiers les plus défavorisés d’une grande ville côtière de Géorgie. Victime d’agression sexuelle de la part d’un voisin, il lui a fallu bien du courage pour se confier. Quand notre partenaire PHF (Public Health Foundation of Georgia) l’a rencontrée, la fillette était profondément traumatisée : elle se reprochait ce qui lui était arrivé et montrait de forts troubles d’anxiété.
Heureusement, Nino a pu être accompagnée, dès son audition au poste de police, par des psychologues de PHF. Des sessions régulières ont ensuite été organisées pour aider la fillette à se reconstruire et alerter ses parents sur la nécessité d’un suivi thérapeutique.
Mais combien d’enfants victimes ne bénéficient pas d’un tel soutien ?
En Géorgie, malgré la volonté affichée de l’Etat et les réformes amorcées, l’insuffisance de moyens financiers et du nombre de professionnels formés ne permet toujours pas d’assurer une prise en charge adaptée des enfants victimes et une lutte efficace contre la maltraitance.
Il est urgent d’agir pour ces enfants, quand les répercussion de la guerre en Ukraine et de la crise économique font peser chaque jour davantage sur eux des risques de violences et négligence. |
|  | | « On vit dans un climat d’incertitude et d’insécurité permanent. Cette absence de paix affecte les familles. Et par retour les enfants qui sont directement soumis au stress, parfois source de violences, de leurs parents. » | | Lia, directrice de PHF | | |
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En ce Carême, votre don répond très concrètement aux besoins de ces enfants en souffrance. Notre projet prévoit l’accompagnement de 60 enfants victimes, la formation de 100 professionnels, le suivi de 200 parents à risque de violences ainsi que de vastes programmes de prévention dans les écoles et sur internet auxquels s’ajoute la sensibilisation de plus de 4 500 parents et enfants.
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En ce Carême, votre don répond très concrètement aux besoins de ces enfants en souffrance. Notre projet prévoit l’accompagnement de 60 enfants victimes, la formation de 100 professionnels, le suivi de 200 parents à risque de violences ainsi que de vastes programmes de prévention dans les écoles et sur internet auxquels s’ajoute la sensibilisation de plus de 4 500 parents et enfants. |
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Vous le voyez, chaque euro peut aider un enfant à se relever.
Je vous remercie par avance de vous associer, par votre générosité et vos prières, à ces enfants d’Europe de l’Est et du monde, qui comme Nino, attendent un signe d’espoir pour croire à nouveau dans la vie.
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Vous le voyez, chaque euro peut aider un enfant à se relever.
Je vous remercie par avance de vous associer, par votre générosité et vos prières, à ces enfants d’Europe de l’Est et du monde, qui comme Nino, attendent un signe d’espoir pour croire à nouveau dans la vie. |
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Alessandra Aula
Secrétaire générale du BICE | |  | | | | |
 | | | Alessandra Aula
Secrétaire générale du BICE | | |
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 | | | Seigneur sois bénis pour l’eau qui étanche notre soif,
Sois béni pour l’eau qui irrigue nos champs,
Sois béni pour l’eau dans laquelle jouent les enfants,
Sois béni pour l’eau avec laquelle tu lavas
les pieds de tes disciples
et te fis le Serviteur de toute l’humanité. | | |  |
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| | | |  | | | NOTRE ACTION
EN CHIFFRES | | |  | |  | | 75 ans au service des droits et de la dignité des enfants |
| | | | |  | | 80 organisations partenaires dans plus de 30 pays |
| | | | |  | | Plus de 55 100 enfants bénéficiaires en 2021 |
| | | | |  | | | | Le Bice est labellisé « Don en Confiance » organisme de labellisation et de contrôle des associations et fondations faisant appel à la générosité publique. | | |
| | | | | | 9 rue du Delta - 75009 Paris – 01 53 35 01 00 – contact@bice.org | | | | Dans le cadre du Règlement général pour la protection des données (RGPD), vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification, de portabilité, d’effacement des données vous concernant ou une limite du traitement. Nous vous invitons à consulter la page de l’association « Mentions légales, vie privée et cookies » pour plus d’informations. Crédits photos : Anne-Cécile Fraud; BICE. |
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