Non au financement public des syndicats


Chère Amie, Cher Ami,

Savez-vous que chaque année, les syndicats touchent plusieurs milliards d’euros payés avec nos impôts ?
Et ce, sans que nous ayons notre mot à dire.

Autant vous le dire tout de suite, ils sont partout : à l’Éducation nationale, dans les administrations, les transports, les ports, les médias, et j’en passe ! En un mot, telle une pieuvre, ils se sont infiltrés partout.

Vous savez comment ? Avec notre argent ! Car ils sont très forts.

En 2011, le député Nicolas Perruchot a lancé une commission d’enquête à l’Assemblée sur le financement des syndicats. Plusieurs mois d’investigations : ce qu’il a découvert était explosif ! Tellement, que sous la pression, le rapport n’a jamais pu sortir officiellement.

Il a été décidé en haut lieu que les exemplaires devaient être détruits !

À l’époque, la peur du scandale était telle que les chiffres ne pouvaient être rendus publics !

Contribuables, payez et circulez, il n’y a rien à voir…

Mais à force de pression, les montants ont fuité.

C’est plus de 4 milliards d’euros qui sont généreusement versés tous les ans aux syndicats ! Sans que vous n’ayez votre mot à dire.

Les élus prennent dans votre poche pour acheter la paix sociale à coup de subventions.

La réalité, c’est que 50.000 fonctionnaires affiliés sont détachés auprès de syndicats !

Pour représenter qui, je vous le demande ?

Sûrement pas les salariés du privé : d’ailleurs, ça ne leur pose pas de problème aux grévistes de la SNCF, que des millions de Français soient bloqués par les grèves tournantes ! Et pour cause, ils arrivent à se faire payer.

Voilà pourquoi il est grand temps de mettre un terme au financement public des syndicats !

L’argent, c’est le nerf de la guerre ! À ce petit jeu, les syndicats n’ont rien à envier au grand capitalisme qu’ils dénoncent par ailleurs.

Et c’est là le problème : les syndicats, qui ne sont plus financés par leurs adhérents, ont fini par déraper ! Ils font désormais de la politique, la leur !

Ils disent qu’ils défendent le pouvoir d’achat ! Mais en empêchant les salariés d’aller travailler ! En réalité, ils défendent leurs privilèges ! Personne n’est dupe.

Alors ça suffit.

Non aux syndicats politisés gavés d’argent public !

Oui aux syndicats représentatifs choisis par les salariés.

La défense syndicale est un droit, respectable et respecté.

Chez Contribuables Associés, cela fait des années que nous réclamons la mise en place du chèque syndical.

Qu’est-ce que c’est ?

Vous ne le savez peut-être pas, mais depuis le 1er janvier 2016, en plus de l’argent public, les syndicats de salariés et du patronat ont réussi à se faire financer par une nouvelle contribution obligatoire : elle est calculée sur chaque euro brut payé à chaque salarié de France.
Autrement dit, un pourcentage du salaire est versé aux syndicats.

Oui, vous avez bien lu. Regardez sur votre bulletin de paye si vous êtes encore en activité.

Et tout ça pour quoi ? Pour être bloqué par des syndicats que personne n’a choisis et qui nous empêchent de prendre le train le matin pour aller travailler, ou encore pour bloquer les départs en vacances de ceux qui l’ont durement mérité.

C’est insupportable !

Nous proposons ceci pour mettre fin à cette mascarade :

 
> La mise en place du chèque syndical qui remplacera cette taxe obligatoire.
 
Chaque salarié se verra attribuer en début d’année un chèque de 5 ou 10 €. Chacun sera libre alors de choisir le syndicat qui le représente le mieux : cela permettra la création de nouveaux syndicats, qui seront bien obligés de défendre leurs adhérents s’ils veulent percevoir l’année suivante leur chèque.

> Le résultat, c’est quoi :
  • L’émergence de nouveaux syndicats.
     
  • Des syndicats en concurrence pour un meilleur service de leurs syndiqués.
     
  • Une baisse de moitié de la facture syndicale payée avec nos impôts,ce qui nous donnera du pouvoir d’achat.
De nombreux experts sont d’accord pour dire que c’est le meilleur système à mettre en place.

Oh, je ne suis pas naïf !

C’est que les syndicats, et surtout la CGT, sont prêts à tout pour défendre leurs privilèges même si pour cela ils doivent bloquer le pays.

Depuis des décennies, la politique jusqu’au-boutiste de la CGT saccage l’outil de travail, détruit des centaines d’entreprises, laisse sur le carreau des travailleurs par milliers !

Et c’est sans parler des syndicalistes qui se payent grassement sur les fonds publics.
Dernier exemple : des délégués syndicaux, à la tête de la fédération du bâtiment de la CFTC (Bati-Mat-TP CFTC), qui touchent près de 17.000 euros par mois pour l’un, et plus de 16.000 euros pour l’autre.

Vous avez bien lu : près de dix Smics pour récompenser leurs nombreux mandats syndicaux.

Ces syndicalistes vous représentent ? Vous défendent ?

Non !

Il est grand temps de libérer l’action syndicale. Il faut donner la liberté de choix aux salariés en mettant en place le chèque syndical.

Nous avons tous à y gagner.

Pour la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, « le sujet n’est pas clos mais la proposition est un peu en avance sur l’évolution de la société ».

Alors à vous et à moi de la forcer à accélérer.

C’est pourquoi je vous demande de bien vouloir appuyer ma demande
auprès de Muriel Pénicaud, en signant votre pétition ici.


Mobilisons-nous ensemble.

Signez vite votre pétition et transférez ce message à vos amis.


Un grand merci par avance de l’aide que vous pourrez nous apporter
dans ce combat.
signez la pétition

 
Eudes Baufreton
Eudes Baufreton
DIrecteur


 

 

 
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