Une pièce inspirée par la statuaire grecque, représentant le mouvement des corps, l’expression des sentiments, la passion et le désir. Jean Bosphore cultive cet imaginaire de l’idéal, sa douceur mais aussi sa froideur : marbre blanc, lisse, immaculé, impénétrable et malgré tout si palpable. Il transforme ces garçons en statues, figées par le temps. |