Plus les élections présidentielles aux États-Unis approchent alors que Donald J. Trump est toujours en vie et candidat, plus les risques de déclanchement d’une guerre entre les pays membres de l’OTAN et la Russie augmentent, ainsi que le risque, réel, de nous voir définitivement privés de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales. Les mois de septembre, d’octobre et de novembre 2024 vont être décisifs : ils gagneront ou ils perdront, et cela sera sans doute définitif.
Les milliardaires mondialonazis adeptes de la dépopulation de la Planète peuvent-ils imaginer perdre la partie sans que cela n’ait de conséquences sur leur liberté, voire sur leur vie ?
Trump est un vrai miraculé. Sa réaction instinctive, celle de lever le poing, le visage ensanglanté, et de défier ses ennemis du regard en les interpellant avec un « Fight » (ou avec un « Fuck » comme il nous a semblé l’entendre, comme à d’autres présents sur place), alors qu’il venait quand même de prendre une balle dans l’oreille droite, révèle sa vraie nature.
Donald J. Trump est un homme, un vrai. Un homme fort prêt à combattre ses ennemis, aussi nombreux et puissants soient-ils, jusqu’à son dernier souffle de vie, et quel que soit son âge.
Donald J. Trump et les dizaines de millions de citoyens des États-Unis se sont fait voler l’élection de 2020 par les cliques de dégénérés des milliardaires qui dirigent et financent le Parti démocrate et ses politiciens corrompus et qui tentent d’imposer le wokisme à tous les pays occidentaux.
Dans l’hypothèse, peu probable en fait, où Donald J. Trump puisse se présenter à l’élection de novembre 2024 et la remporter officiellement, comment imaginer qu’il puisse laisser ensuite dormir sur leurs deux oreilles ceux qui ont voulu l’assassiner, ceux qui ont organisé et commandité la tentative d’assassinat à laquelle il a miraculeusement échappé ?
Que peuvent les cliques de Bill Gates et de George Soros pour gagner ?
Les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète dont Bill et George sont les plus connus, sont puissants. Ils sont très puissants et ils ont à leur disposition l’intégralité des organisation internationales importantes, comme l’OMS, et aux États-Unis ils contrôleraient les directions actuelles de la CIA, du FBI, du DOJ (ministère de la Justice), sans oublier une grande partie de celle des Services secrets censés protéger Donald J. Trump. Que peuvent-ils faire pour gagner et imposer aux pays occidentaux l’Agenda 2030 ? Ils peuvent faire beaucoup de choses pour éliminer définitivement Donald J. Trump de l’élection présidentielle de novembre 2024… Ils peuvent faire beaucoup de choses, parmi lesquelles : • Réussir à faire assassiner Donald J. Trump. • Refaire le coup de 2020 en lançant une nouvelle fausse pandémie qui justifiera de nouvelles mesures privatives de liberté avec injections à ARNm obligatoires, et ce qui leur permettra également de prendre de nouveau le contrôle des urnes et des bulletins de vote le jour de l’élection présidentielle. • Déclencher une guerre entre les pays membres de l’OTAN et la Russie, ce qui leur permettra de suspendre tous les processus électoraux dans ces pays, États-Unis compris.
1. Donald J. Trump peut se faire assassiner, et la probabilité est importante.
Plusieurs agents actifs des Services secrets auraient contacté des membres du Congrès à Washington en demandant de bénéficier du statut protecteur de lanceur d’alerte, et ils auraient déclaré que plusieurs projets d’assassinats de Donald J. Trump étaient connus des dirigeants des Services secrets et que tout semblait être fait pour qu’au moins l’un d’entre eux réussisse, c’est-à-dire que Donald J. Trump se fasse assassiner.
2. Ils peuvent refaire le coup de la fausse pandémie de 2020, en y impliquant l’OTAN et les forces de police des pays occidentaux.
Le site « The Peoples Voice » rapporte que Peter Hotez, professeur et doyen à la « National School of Tropical Medicine » du « Baylor College of Medicine » ainsi que co-directeur du « Center for Vaccine Development » au « Texas Children's Hospital », Bill Gates et Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui dirige l’OMS (avec lequel Hotez collaborerait étroitement), seraient en passe de réussir à impliquer l’OTAN et à militariser le déploiement et les injections du prochain vaccin à ARNm dans les pays occidentaux.
On apprend également qu’aux États-Unis, Bill Gates souhaite utiliser à convenance les ressources de la Sécurité intérieure, du DOJ (ministère de la Justice), du DOD (ministère de la Défense) afin de « contrer la rhétorique anti-vax ».
Pour résumer, Bill Gates et l’OMS demandent que ceux qui refusent de se faire injecter leurs poisons soient arrêtés par les militaires ou les policiers des pays occidentaux concernés afin qu’ils soient injectés de force lorsqu’ils annonceront une nouvelle « fausse » pandémie.
Le « New Zealand Pandemic Plan »
Dans la version provisoire de juillet 2024 du « New Zealand Pandemic Plan » disponible sur le site du ministère de la Santé de Nouvelle Zélande(lien en « sources »), il est prévu en page 125 d’accorder des « pouvoirs spéciaux » aux forces de police. Cela est conforme aux souhaits de Bill Gates, et cela doit nous inquiéter au plus haut point, car ce qui sera imposé aux Néozélandais, s’ils ne se révoltent pas, le sera également aux populations des autres pays occidentaux et donc aux Français.
Quels sont ces « pouvoirs spéciaux » ?
On peut lire dans la version provisoire de juillet 2024 du « New Zealand Pandemic Plan » que des « pouvoirs spéciaux sont autorisés par le Ministre de la Santé ou par un avis épidémique ou s'appliquent lorsqu'une urgence a été déclarée en vertu de la Loi sur la gestion des urgences de la Défense civile de 2002 ». Sont ensuite énumérés les « pouvoirs spéciaux » suivants : • « Le pouvoir de détenir, isoler ou mettre en quarantaine permet à un agent médical de santé de demander que des « personnes, des lieux, des bâtiments, des navires, des véhicules, des avions, des animaux ou des objets soient isolés, mis en quarantaine ou désinfectés » (section 70 et 71). » • « Le pouvoir de prescrire un traitement préventif permet à un agent médical de santé de demander aux personnes de rester là où elles sont isolées ou mises en quarantaine jusqu'à ce qu'elles aient été examinées médicalement et jugées exemptes de maladie infectieuse, et jusqu'à ce qu'elles aient suivi le traitement préventif [il s’agit des injections à ARNm] prescrit par l’agent médical de santé » (section 70 et 71). • La section 71 A stipule qu'un membre de la police peut « faire tout ce qui est raisonnablement nécessaire [y compris l'utilisation de la force], pour aider un agent médical de santé ou toute autre personne autorisée par l'agent médical de santé dans l'exécution de pouvoirs ou fonctions qui lui sont attribués en vertu des sections 70 ou 71 [imposer une injection à ARNm]. »
3. Ils peuvent déclencher une guerre entre les pays de l’OTAN et la Russie.
Dans une vidéo (voir lien en « Sources »), Caroline Galacteros affirme que lors du week-end des 27 et 28 juillet 2024, plusieurs drones partis de Finlande ont frappé la péninsule de Kola (Russie), détruisant un bombardier supersonique russe (il s’agirait donc d’un Tupolev Tu-22M3M, également connu sous le nom de « Backfire », bombardier stratégique à longue portée capable de missions à haute vitesse). Outre qu’il s’agirait de la première destruction d’un tel bombardier sur le territoire russe, le fait que ce bombardier eût été détruit par des drones qui auraient vraisemblablement décollé de la base militaire arienne finlandaise située à Rovaniemi, soit à près de 415 km de la péninsule de Kola, serait extrêmement préoccupant.
Précisons que les 27 et 28 juillet 2024, la Finlande a participé à des exercices militaires aériens avec les États-Unis afin, officiellement, d’améliorer « l’interopérabilité des forces armées finlandaises avec leurs partenaires », notamment dans le cadre de la coopération avec l'OTAN. |