NEWSLETTER DU 21 JANVIER 2020 |
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| L’Amérique latine continue sa valse des chaises musicales enter gauche te droite. Cette fois-ci, depuis une semaine est aux manettes Alejandro Giammattei, un homme de droite qui a manifesté ses choix politiques dès sa première journée en rompant relations avec le Venezuela. Il a aussi évoqué à combattre la corruption qui infecte le pays, dont son prédécesseur Jimmy Morales achève son mandat sous le feu d'accusations de malversations après avoir promis lui aussi d'en terminer avec ce fléau. Alejandro Giammetti est un médecin conservateur âgé de 63 ans, a prêté serment comme nouveau président, une fonction qu'il a briguée trois fois en vain, avant de l'emporter au second tour des élections d'août 2019. Le Chili, pour sa part, il rentre dans la période estivale en attendant une rentrée de mars très mouvementé et résolument engagée par une majorité à manifester pour faire avances des solutions et des propositions pour un nouveau pays que la grande majorité des Chiliens réclament. Ce mois de janvier est la période de trois semaines des manifestations théâtrales traditionnel festival Teatro a Mil dirigé depuis sa fondation par Carmen Romero et une équipe engagée que participe aux activités de sensibilisation. Nous invitons à parcoirrier le site avec la magnifique programmation qui s’affiche partout sous un mot d’ordre de grande actualité : « Teatro a mil el poder d’actuar » – le pouvoir de jouer… Januario ESPINOSA Directeur de la publication |
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| GUATEMALA Corruption et migrations : les défis qui attendent Alejandro Giammatei, nouveau président du Guatemala |
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| | Ce 14 janvier, le nouveau président de droite a pris ses fonctions au Guatemala. En poste jusqu’en 2024, il a pour objectif de reprendre le contrôle sur les problèmes de pauvreté et de corruption, mais aussi sur la question des migrants mexicains voulant aller aux États-Unis. (Traduit par Fabrice Bonnefoy). |
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| La Bolivie entre dans une nouvelle décennie avec une incertitude politique encore présente |
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| | Comme dans plusieurs pays voisins, la Bolivie a vécu un chamboulement politique à la fin de l’année 2019. Pour le moment, la présidente par intérim, Jeanine Añez, continue à la tête du pays et mène une campagne contre les anciens membres du cabinet d’Evo Morales. Réfugiés dans des ambassades ou même capturés pour des cas de corruption, les proches de l’ex-président et son parti, Movimiento al socialismo, restent favoris pour les prochaines élections, dans un pays avec une vaste majorité indigène. (Nicolas BONILLA CLAVIJO)
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| Claudia López, première femme maire de Bogotá, bouscule la scène politique |
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| | Candidate d’une coalition associant le Parti Vert et le Pôle démocratique, victorieuse des élections municipales à un tour, Claudia López, 49 ans, a pris ses fonctions de maire de Bogotá le 1er janvier 2020, devenant ainsi la première femme élue dans la capitale dans un panorama politique national bouleversé depuis la victoire de la droite à la présidentielle de 2018. (Maurice NAHORY) |
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| « Je suis l’hiver » un roman de l’Argentin Ricardo Romero aux éd. Asphalte
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| | La couverture de Je suis l’hiver est superbe, elle prédit parfaitement l’ambiance qui règne dans le nouveau roman de l’Argentin Ricardo Romero. Ouvrons le livre, nous ne serons pas déçus : tout y est mystérieux mais palpable, les personnages tellement humains qu’ils nous sont tour à tour étrangers et proches, et ce qui pourrait être une enquête policière prend des allures de quête morale. Ouvrons le livre et découvrons un roman d’une originalité fascinante. (Christian ROINAT) |
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| Nicole Vitel fondatrice de Aux quatre coins du monde vient de nous quitter |
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| | Nicole Vitel a créée l’association Aux quatre coins du monde de solidarité internationale basée à Saint-Etienne. Elle était très attachée au commerce équitable avec des partenaires latino-américains. Pour ceux que nous l’avons connus on était immédiatement impressionnés, par son regard et son sourire. On sentait tout de suite qu’elle était naturellement tournée vers les autres. Son énergie, son dynamisme rayonnaient, sa force de persuasion en imposait.(Christian ROINAT) |
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