| Pour recevoir chaque jour notre lettre d'informations, n'oubliez pas d'ajouter news@p.opportunites-technos.com à votre carnet d'adresses. | Paris, 25 Juin 2019 | ∞ Nouvelle hausse verticale en vue pour les actions cannabis ? ∞ Aérospatiale_ L'ethanol des étoiles ∞ L'oscilloscope : valeurs internet |
Le cours de l'or... multiplié par SEPT ? C'est en tout cas l'objectif fixé par Jim Rickards si cet événement se produit : cela mettrait le prix de l'once à... plus de 8 700 $. Ce n'est pas tout : Jim a identifié deux autres manières de profiter d'un bouleversement qui est en train de se produire au moment même où vous lisez ces lignes. Pour tout savoir, cliquez ici. |
| Nouvelle hausse verticale en vue pour les actions cannabis ? Par Ray Blanco Amateurs de cannabis boursier, voici une grande nouvelle. Jeudi dernier, la chambre de députés des Etats-Unis a approuvé l'amendement visant à protéger les lois locales relatives au cannabis des interférences du ministère de la Justice (Departement of Justice – DoJ). L'amendement est passé par 267 voix contre 165. Voici un bel exemple d'un sujet sur lequel chaque sensibilité politique est désormais d'accord. L'amendement précise qu'il est interdit au ministère de la Justice d'empêcher les Etats de créer et de gérer leur marché intérieur du cannabis médical ou récréatif. C'est une grande première. Le marché aussi pourrait se réveiller Et côté boursier, les actions du cannabis commencent également à se réveiller. Je pense que ce pourrait être le début d'un mouvement bien plus important. Pour la première fois depuis plus d'un an mon Penny Pot Index, un indice boursier que j'ai personnellement élaboré à partir d'un panier d'actions cannabis canadiennes et américaines, présente un signal d'achat exclusif, et propre au marché du cannabis. Cet indicateur n'a pas l'habitude de produire des "faux positifs" : la dernière fois qu'il a lancé un signal de cet ordre, les actions ont doublé. Et cela a ouvert la porte à d'énormes gains pour mes abonnés. Si vous voulez, considérez mon Penny Pot Index comme une sorte de S&P 500 (ou de Dow Jones Industrial Average) rapporté aux actions du cannabis. Je l'ai créé bien avant que le marijuana index n'apparaisse en 2015. Je l'ai mis au point afin de suivre les grandes tendances présentes dans tout le secteur du cannabis, et pour qu'il nous offre un cliché instantané global de ce qui se passe sur ce marché. Les membres de mon Cannabis Investors Club ont un accès aux données actualisées de l'indice 24 heures 24, 7 jours sur 7. Regardez donc ce qui se passe en ce moment sur cet indice : |
| Pour la première fois depuis l'automne 2017, l'indice frôle sa ligne de tendance haussière à long terme. Une première depuis 2017 Historiquement, cela ne s'est produit que quelques fois depuis que j'ai créé cet indice. Et, jusqu'à maintenant, chaque fois qu'il a testé ce niveau clé de la tendance, un rally des actions du cannabis a suivi. La dernière fois que j'ai signalé que le Penny Pot Index testait cette ligne clé, c'était le 21 septembre 2017. Le service n'était pas encore accessible en France. Cela étant, je peux tout de même vous le dire, à peine trois mois après ce signal, le Penny Pot Index avait doublé ! Il faut remonter à début et mi-2016 pour constater des mouvements semblables, presque verticaux. Entretemps, bien sûr, mes abonnés ont pu profiter de quelques tendances intermédiaires, sur le marché du cannabis (lignes en pointillés, dans le graphique ci-dessus), mais la tendance d'aujourd'hui n'a rien à voir. Elle est énorme. Et cet été, elle est testée d'une manière clé. L'histoire se reproduit rarement parfaitement à l'identique sur les marchés. Mais mieux vaut être conscient qu'il y a toujours une sorte de similitude. Et si cette similitude s'applique aux actions du cannabis, alors elle pourrait déclencher un gigantesque rally au cours des mois à venir. La correction prolongée que nous avons patiemment endurée depuis l'automne dernier ressemble énormément à celle qui a abouti à la dernière envolée de cette ligne de tendance, mais à plus long terme. |
| Si le rebond qui en résultera ressemble à une version plus étendue du rebond précédent, les investisseurs déjà positionnés sur le secteur seront incroyablement bien placés pour en profiter. [Voilà pourquoi, au fil de cette période, nous avons sélectionné avec opportunisme des actions qui avaient dégringolé. Et nous continuerons à faire exactement pareil à mesure que ce rebond prendra forme.] | REVELATION : Ce qui se cache derrière ces portes pourraient aider de nombreux investisseurs à devenir millionnaires dans les semaines à venir... | | | Cela va peut-être vous surprendre... Mais ce qui se cache derrière ces portes pourraient créer de nombreux millionnaires. Ce n’est plus qu’une question de jours. A vrai dire, tout pourrait changer dès le 1er juillet. Il faut le voir pour le croire... Cliquez ici pour connaître tous les détails. |
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| Aérospatiale_ L'ethanol des étoiles Par Etienne Henri Qui a dit que le transport spatial était condamné à être dangereux et polluant ? Ce matin, la NASA a envoyé en orbite, dans le cadre de son programme GPIM, un satellite chargé d'évaluer les performances d'un nouveau carburant vert poétiquement nommé AF-M315E. Développé en collaboration avec Ball Aerospace & Technologies (propriété de Ball Corp., US0584981064-BLL), ce nouveau combustible a pour objectif de remplacer l'hydrazine, utilisée depuis la Seconde Guerre mondiale dans les fusées et certains avions militaires. | Dernière inspection du satellite GPIM avant son envol. Crédit : Ball Aerospace/NASA.
| Un carburant très attendu L'hydrazine, composée d'azote et d'hydrogène, est idéale pour propulser les véhicules spatiaux. Liquide à température ambiante, dotée d'une bonne densité énergétique, elle a également la capacité d'être utilisée seule, ou sous forme de dérivés, en réaction avec de l'oxygène liquide. Ce carburant puissant, facile à produire et souple d'utilisation a toutefois certains désavantages : il est dangereux et toxique. Une exposition à l'hydrazine entraîne d'importants effets secondaires : irritation de la peau, des yeux et des muqueuses nasales, brûlures, œdème pulmonaire, attaque du foie, des reins et du système nerveux central, cécité, risque de cancer... Sa forte réactivité confère à la molécule des effets catastrophiques sur les êtres vivants. Vers une simplification des lancements spatiaux ? Pour éviter les accidents, l'industrie spatiale a mis en place des protocoles stricts lors de l'usage d'hydrazine, comme le remplissage des réservoirs à la dernière minute et les purges systématiques lors du retour des véhicules spatiaux. | Un scaphandre est nécessaire pour approcher un véhicule spatial ayant contenu de l'hydrazine (à gauche, un X-37R après atterrissage). Crédit : US Air Force.
| Ces précautions, coûteuses et chronophages, sont malgré tout inutiles lorsqu'un accident survient : des tonnes de ce composé toxique sont alors déversées dans l'environnement, contaminant les zones touchées pour longtemps. Au mois d'avril, une capsule Dragon a eu un dysfonctionnement sur un stand de test et a été endommagée. Alors que la NASA attendait avec impatience des explications – Dragon doit emporter des astronautes en chair et en os cette année –, SpaceX a été dans l'incapacité de commencer rapidement son enquête. La raison ? Du fait de la contamination chimique, il était tout simplement impossible d'accéder au pas de tir pour mener les investigations requises... Près de deux mois plus tard, la lumière n'a toujours pas été faite sur cet accident qui a pourtant eu lieu au sol, et le site est toujours considéré comme en cours de décontamination. | Comme les fusées de la Seconde Guerre mondiale, la capsule Dragon carbure toujours à l'hydrazine. Crédit : SpaceX.
| Les raisons de tourner le dos définitivement à l'hydrazine ne manquent pas. L'AF-M315E, avec sa densité énergétique supérieure et sa toxicité moindre, est par conséquent – sur le papier du moins – un remplaçant de choix. Si la mission GPIM confirme ses bonnes performances, l'industrie spatiale pourra envisager des fusées plus puissantes, des processus d'assemblage plus souples (le seul remplissage des réservoirs en atelier ferait gagner plusieurs jours sur chaque lancement), et des véhicules plus sûrs pour l'environnement en cas d'accident. Un grand moment pour l'industrie spatiale GPIM n'est pas la seule mission à avoir pris son envol ce matin. Le moteur expérimental n'est qu'un satellite parmi les 24 mis en orbite par la fusée Falcon Heavy. Outre GPIM, la NASA a également lancé une horloge atomique spatiale (une première qui ouvre la voie à un GPS interplanétaire pour localiser avec précision les sondes spatiales) ; SET, une expérience qui vise à caractériser des orbites terrestres encore peu utilisées et la manière de protéger de futurs satellites contre les dangereuses radiations cosmiques ; et E-TBEx, qui se focalisera sur les communications entre le sol et l'espace, souvent gênées par les irrégularités de la ionosphère, et les moyens de les rendre plus robustes. D'autres agences comme la NOAA (Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, très impliquée dans les surveillances météorologiques et l'étude du changement climatique), des universités et le département de la Défense (DoD) américain ont également mis leurs satellites aux côtés de ceux de la NASA dans la fusée. Ce tir était un lancement à haut risque pour SpaceX puisque la Falcon Heavy devait, pour mettre tout ce beau monde en orbite, se positionner successivement sur trois orbites différentes. Cette prouesse vise à confirmer que le lanceur est capable de mener à bien des missions partagées entre de multiples clients aux besoins différents, une caractéristique au cœur de la stratégie de fusées toujours plus lourdes imaginée par Elon Musk. Avec le premier test du carburant vert, plus d'une vingtaine d'expériences scientifiques à bord et un test grandeur nature du business model de SpaceX, STP-2 est sans aucun doute le lancement spatial le plus important de l'année. Et comme l'exige la tradition, SpaceX en assurera la retransmission en haute définition : l'occasion pour les amateurs d'images à couper le souffle de suivre en direct cette mission pas comme les autres ! |
| L'oscilloscope : valeurs internet |
| Dans notre oscilloscope du jour dédié aux valeurs d'Internet et plus largement des services numériques, notons le recul de PetMed Express Inc. (PETS) et l'essor de Sea Ltd (SE). L'aventure boursière de PetMed Express est étonnante. Cette entreprise est le leader du commerce online de produits et de médicaments à destination des animaux domestiques, à commencer par les chiens et les chats. Son cours a connu une brusque envolée début 2017, allant même toucher les 57,80 $ en janvier 2018. Depuis il a largement dégonflé ¬– il était à 15,40 $ le 24 juin – suite à un recul du chiffre d'affaires et surtout une chute des marges de l'entreprise. Elle associe ces difficultés à une intensification de la concurrence, notamment au niveau des prix. Et quelle concurrence puisque c'est Amazon (AMZN) "en personne" qui vient lui tailler des croupières suite au rachat en juillet 2018 de Pillpack, une petite pharmacie en ligne. Avec ce rachat, Amazon s'est offert la capacité à vendre des médicaments (pour les hommes ou les animaux) dans les 50 Etats américains. Car la barrière à l'entrée sur le marché était bien là : obtenir l'autorisation de vendre des médicaments dans chaque Etat. Autant dire que malgré son PER dérisoire, il semble compliqué que PETS reprenne du poil de la bête. Au contraire, Sea Ltd est en pleine phase de croissance. Elle s'est appréciée de plus de 150 % depuis le début de l'année. C'est une plateforme Internet de Singapour qui opère principalement dans le domaine du e-commerce (avec la marque Shopee), du jeu vidéo (avec la plateforme Garena), et les paiements en ligne (avec AirPay). C'est notamment son jeu Free Fire, quatrième jeu mobile le plus téléchargé en 2018, qui tire la croissance de SE. A regarder de près ses prévisions, c'est tout à fait impressionnant, puisque le groupe a prévu de multiplier par quatre son chiffre d'affaires d'ici 2021 pour atteindre 4 Mds$. Le esport est un secteur en très forte croissance s'il était encore besoin de le démontrer... E.R. | Quel est le bruit du profit ? Réponse : le discret "ting" d'un SMS arrivant sur votre téléphone ! Découvrez comment votre téléphone portable pourrait se transformer en véritable "machine à cash" – jour après jour, en toute simplicité : cliquez ici pour tout savoir. |
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