| | | | | Les actus qu'il ne fallait pas louper | Nous y sommes : ce vendredi commence le grand chambardement des vacances fait de valises entrechoquées, de trains bondés et d’enfants chahutés. Un début d’été sous le signe du stress pour qui aurait l’étrange idée de prendre l’avion - pour savoir si votre vol est concerné par la grève des contrôleurs aériens, nous vous avons fait un petit récap ici. Alors, avant de partir, emportez votre ELLE spécial été avec vous. Du pratique, du cool et léger, du grave et captivant, et même des jeux : autant d’astuces pour faire redescendre la pression et prendre son mal en patience. |
|
| | Par Gaël Vaillant | Chef des rubriques société et psycho-sexo |
|
|
| L’INFO | « LA FEMME LA PLUS HAÏE DE FRANCE» | | Christine Villemin, la mère de Grégory inculpée brièvement avant d’être mise hors de cause. ©Chesnot/Sipa | Il y a quarante ans, le 5 juillet 1985, Christine Villemin était inculpée par le juge Lambert pour le meurtre de son fils Grégory, avant de bénéficier, huit ans plus tard, d’un non-lieu pour absence totale de charges. Victime d’un lynchage médiatique et judiciaire, elle reste un cas d’école du traitement sexiste réservé aux mères dans les affaires criminelles. Ses détracteurs, bien aidés par un texte de Marguerite Duras qui l’a dépeint une maternité imposée comme mobile du meurtre, ont fait d’elle « la femme la plus haïe de France », expression utilisée à l’époque par le « Sunday Times ». Christine Villemin n’a pas seulement payé le prix du soupçon : elle a subi celui d’un sexisme d’époque. Le traitement médiatique et judiciaire qui lui a été réservé puise ses racines dans une misogynie tenace. « C’est le mythe de la sorcière, de l’ogresse qui cache bien son jeu sous son air angélique », résume pour ELLE la journaliste Patricia Tourancheau. | LIRE NOTRE ARTICLE |
|
| LE MOT DU MOMENT | « EXCISION » | « Les vacances, c’est fait pour s’amuser, pas pour être mutilée. » Le ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes a lancé, juste avant les vacances scolaires, une campagne de sensibilisation pour alerter sur les dangers des mutilations sexuelles féminines. « Pendant les deux mois d’été, les enfants, dont les parents sont souvent d’origine étrangère, retournent dans leur pays d’origine, nous explique la sociologue Isabelle Gillette-Faye, spécialiste du sujet. C’est une période malheureusement assez propice à ce type de pratiques. » | LIRE NOTRE INTERVIEW |
|
| | | | LA QUESTION FASHION | LA VENUE DE L'AVENIR | | Meryll Rogge entourée de modèles portant ses créations. ©Presse | On ne remporte pas le Grand Prix de l’Andam par hasard. Encore moins lorsqu’on refuse de se fondre dans le bruit ambiant. En sacrant Meryll Rogge cette année, le jury du prix parisien a choisi une créatrice qui fait rimer mode avec singularité. Cette nouvelle star, qui fuit les stratégies TikTokisées pour se réfugier dans des références des années 1930 ou 1970, a fait du maniement des volumes sa marque de fabrique. Cela passe par des jupes qui s’arrêtent là où on ne les attend pas ou des blouses twistées de détails inattendus - fronce exagérée, motif second degré, ou texture savamment dissonante. | LIRE NOTRE ARTICLE |
|
| LE TUTO BEAUTÉ | SAUVONS NOS COULEURS | Soleil, chlore, sel de mer… En été, les cheveux colorés sont mis à rude épreuve. Alors pour éviter le fiasco capillaire, on adopte quelques bons gestes avant le départ en vacances. D’abord, il faut éviter de refaire sa couleur ou son balayage juste avant de partir au soleil. Et en cas de force majeure (si on a des racines ou des cheveux blancs à cacher), mieux vaut choisir un demi-ton plus foncé que d’habitude, les cheveux mettant à peu près une semaine pour éclaircir. Il est ensuite recommandé de faire un shampoing et un masque hydratant avant de s’exposer au soleil, de façon à bien refermer les écailles et empêcher que les UV ne décolorent les cheveux. Une fois en vacances, on se contente de faire un à deux shampoings par semaine pour éviter de fragiliser les cheveux et d’estomper un peu plus les pigments. Le reste du temps, on utilise du shampooing sec.
| LIRE NOS EXPLICATIONS |
|
| LA PHRASE | « Avoir des enfants m’a permis d’avoir moins peur » | Hafsia Herzi | | ©Camilla Armbrust
| LIRE NOTRE INTERVIEW |
|
| | LA CONFIDENCE | L'acronyme du bonheur | PPP, pour « patience, prudence, pudeur ». « J’ai développé ce mantra. Ça m’aide dans chaque nouvelle rencontre », confie Marisa. Une philosophie qui lui a en effet permis de construire une relation équilibrée avec Liam. Ils se sont d’abord rencontrés lors d’une soirée déguisée. Mais alors que lui cherchait une fille musulmane pour une relation à long terme, elle ne se sentait pas concernée. Finalement, c’est un voyage commun en Laponie qui va déclencher le déclic. Entre les motoneiges et les chiens de traineau, un rapprochement s’opère entre leurs cœurs, ce qui les surprend tous les deux.
|
|
| | Il était une première fois : Patience, prudence et pudeur | ÉCOUTER |
|
| | | L'AGENDA | SUR LE PONT... | Alors que la saison des festivals bat son plein, disquaires et musées restent ouverts. | | Le cloître des Carmes à Avignon. ©Christophe Raynaud de Lage | | À ENCHAÎNER
| Les meilleurs spectacles du Festival d’Avignon, qui commence demain pour trois semaines. Voici une sélection de nos coups de cœur à ne pas rater. | | À ÉCOUTER | « Ô Guérillières », l'album de Draga actuellement dans les bacs. Ce groupe férocément féministe est porté par la comédienne Anna Mouglalis et sera en tournée tout l’été. | | À VOIR | L’exposition « Paul Poiret, la mode est une fête », qui vient d’ouvrir au musée des Arts décoratifs. Une grande et passionnante monographie sur « le libérateur du corps féminin ». |
|
| LU ET APPROUVÉ | SUR LA ROUTE DE L'ATTRAPE-COEUR |
|
| | | | Par Olivia Lamberterie | Éditorialiste et cheffe des pages livres |
|
| |
| | Cette semaine, Olivia de Lamberterie, présente « Paradise garden », d’Elena Fischer (Gallmeister, 23,40 euros). |
|
| Marika avait le don d’enchanter la vie de sa fille. À sa mort, l’adolescente saute dans une voiture avec une perruque bleue, « Sur la route » de Kerouac et l’intention de retrouver son inconnu de père. D’une langue vivante et inventive, l’Allemande Elena Fischer signe un premier roman enchanteur, attrape-cœur. | LIRE LA CHRONIQUE |
|
| | Merci d'avoir lu notre newsletter ! |
|
| Cette semaine dans ELLE | Reportages, recettes, récits… Votre premier numéro estival est arrivé dans vos kiosques. Des tests indispensables ou des conseils beauté bien pratiques, mais pas seulement : nous lançons aussi une série de questionnaires féministes, partons faire le tour des marchés chics de grandes cités balnéaires ou nous vous faisons entrer dans le vestiaire des écrivains. Bonne lecture et bonnes vacances ! | POUR S'ABONNER À ELLE, C'EST ICI | |
|
| | | | | | J'AI CHANGÉ D'E-MAIL | NOUS CONTACTER | Vous recevez cet email car vous êtes inscrit(e) à la newsletter Actu du ELLE Si vous souhaitez vous désinscrire et ne plus recevoir cette newsletter, suivez ce lien. Vous pouvez également modifier vos consentements et préférences en accédant à votre compte ou en vous créant un compte ELLE en suivant ce lien . Editeur de la Newsletter : CMI FRANCE, SAS au capital de 12 678 300 euros, immatriculée au RCS de Nanterre sous le numéro 324 286 319, dont le siège social est situé au 3/9 avenue André Malraux, 92300 Levallois-Perret. Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’opposition à l’utilisation de vos données, de limitation, d’effacement, et de portabilité dans les conditions légales et de la possibilité de définir des directives relatives au sort de vos données après votre décès, que vous pouvez exercer par voie postale en écrivant à ELLE - 3/9 avenue André Malraux, 92300 Levallois-Perret ou par voie électronique à l’adresse dpoelle@cmimedia.fr. Pour toute information complémentaire, consultez notre Politique de confidentialité. |
|
|
|
|