Pourquoi nous avons décidé de nous consacrer à la sphère privée (1/3)
De Youghal, en Irlande... Alléluia et faites couler la Guinness ! Comme le Royaume-Uni et l’Espagne, l’Irlande a décidé de revenir à la normale. Les restrictions mises en place pour lutter contre la pandémie de COVID-19 ont été quasiment toutes levées. L’humeur était aux réjouissances samedi soir. Le couvre-feu a été levé et les gens se sont réunis dans les pubs pour faire la fête. C’était comme la fin de la prohibition aux Etats-Unis. On pouvait entendre des rires et des chants. Les jeunes et les moins jeunes se réjouissaient de leur liberté retrouvée et de pouvoir trinquer sans craindre une arrestation. L’Irlande avait mis en place une politique stricte de port obligatoire du masque, de vaccination et de suivi des cas contacts. Quasiment toute la population est vaccinée. L’Irlande étant une île, il lui est un peu plus facile de refuser l’accès aux visiteurs indésirables. Mais cela n’a pas empêché le variant Omicron de déferler sur le territoire. Les cas de COVID-19 ont flambé. Mais les cas mortels ont été tellement peu nombreux que le gouvernement est revenu à la raison et a jugé inopportun de poursuivre le combat. La guerre est finie ! Pendant ce temps, aux Etats-Unis, la guerre continue. Lénine déclarait : « Il y a des décennies où rien ne se passe ; et il y a des semaines où des décennies se produisent ». Quelle semaine. Et quel week-end ! Le Nasdaq connaît son pire début d’année depuis 2008. A l’époque, il avait dévissé de 13,6 % sur les quatorze premières séances boursières de l’année. Vendredi dernier, il affichait une baisse de 11 % depuis le début de l’année. Si cette tendance se poursuit, il s’agira du pire mois de janvier depuis le lancement de l’indice en 1971, d’après Dow Jones Data. Le bitcoin vous sauvera-t-il ? Cliquez ici pour lire la suite…
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