Ils auraient interdit l’autopsie des cadavres de personnes décédées du prétendu « C19 », tout en veillant à ce que les corps des victimes soient rapidement incinérés. Ils interdiraient – de fait – l’autopsie des cadavres des victimes des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. tout en veillant à ce que les corps des victimes soient rapidement incinérés. En fait, ils tentent de faire disparaître les preuves matérielles de leurs assassinats de masse. Mais faire disparaître les cadavres qui n’ont pas été autopsiés, ne suffira pas. Et ils s’en rendent compte un peu plus chaque jour…
Si la peine de mort était rétablie…
Ils s’en rendent compte, cela leur assèche la gorge, cela leur irrite le cou et cela commence à les terrifier, car dans un monde normal, ils risqueraient gros, très gros. Dans les pays de l’Union européenne, ils risqueraient leur peau si la peine de mort était rétablie (dans certains États des États-Unis, il n’est pas à exclure que certains responsables de ces massacres soient un jour condamnés à mort, tout comme dans d’autres pays, comme le Vietnam ou le Japon, par exemple). Dans un monde normal, ils risqueraient gros, très gros. Et leur crainte, leur principale crainte, c’est que le Monde redevienne normal…
Il leur a évité la mort 2D-2R du protocole de soin imposé par l’« Exterminateur » des personnes âgées et son « tueur à gages » de l’époque, Oliver Véran.
Didier Raoult a sans doute permis à des milliers de personnes, voire des dizaines ou des centaines de milliers de personnes, de ne pas être victimes d’une mort 2D-2R : Doliprane – Rem*de*si*vir - Respirateur artificiel – Décès, en leur prescrivant un médicament parfaitement connu depuis près de 100 ans, l’hydroxychloroquine.
Hydroxychloroquine dont on connaissait l’efficacité thérapeutique dans le cadre du « C19 », puisque les autorités sanitaires de Wuhan déclarèrent, en février 2020, que ce médicament, permettait aux malades de se remettre sur pied en quelques heures, y compris lorsqu’il était associé avec un antibiotique, l’azithromycine (a-t-on oublié cette « construction – déconstruction » d’un gigantesque hôpital en quelques jours à Wuhan ?).
Une clique d’assassins à l’ARNm s’en prendrait anonymement à Didier Raoult…
Donc, des assassins à l’ARNm, anonymes pour la plupart, réunis en « collectif », accusent Didier Raoult d’avoir pratiqué des « essais cliniques sauvages ». Pourquoi ? Parce qu’il a sauvé des dizaines de milliers de malades dont beaucoup étaient voués à une mort certaine s’ils avaient eu la malencontreuse idée d’aller ailleurs qu’à l’IHUM… S’ils avaient eu la malencontreuse idée de suivre le protocole de soin « 2D-2R » imposé dans les hôpitaux par de véritables « tueurs à gages » payés par Pfizer & Co.
Mais c’est quoi, au fait, des essais cliniques ? C’est évaluer l’efficacité thérapeutique d’un nouveau médicament
Dans le livre « C19 » un complot mondial contre nos droits d’êtres humains, nos libertés fondamentales, notre santé et nos vies, nous consacrons 20 pages à la présentation de ce que sont les « essais » précliniques et cliniques. « Avant 2020, ces essais servaient à évaluer, sur des êtres humains malades, l’efficacité thérapeutique d’un nouveau médicament qui avait passé avec succès les différentes phases des essais précliniques.
L’hydroxychloroquine est-elle un nouveau médicament ? La réponse est : non !
En France, la chloroquine et l’hydroxychloroquines sont mises sur le marché en 1949 et jusqu’au 13 janvier 2020, elles étaient en vente libre en France, comme c’est encore le cas dans la plupart des pays du Monde, que ce soit en Afrique, en Inde, en Asie, comme au Vietnam, ou en Amérique, comme au Mexique.
Rappelons que l’hydroxychloroquine, tout comme la chloroquine, sont des dérivés de la « quinoléine » (un composé organique aromatique présent dans l’arbuste « quinquina »), que les Français Caventou et Pelletier découvrent en 1820 et qu’ils nomment « quinine » (c’est le chimiste allemand, Hans Andersag, qui synthétise la chloroquine à partir de la quinoléine en 1934, il y a 89 ans, et pour un nouveau médicament, il fait un peu « ancien », non ?).
L’hydroxychloroquine : un médicament essentiel ! Pas pour Didier Raoult, mais pour l’OMS…
La chloroquine et l’hydroxychloroquine sont classées dans la liste des médicaments « essentiels » à l’humanité par l’OMS. Notons que cette organisation, devenue criminelle depuis l’ère Bill Clinton, a publié un communiqué en mars 2020 qui recommande ne pas utiliser la chloroquine et l’hydroxychloroquine dans le traitement du « C19 ». Problème : ces recommandations s’appuient sur des études de Pieds-Nickelés, toutes rétractées par les revues dans lesquelles elles avaient été publiées…
Par ailleurs, le 29 févier 2020, Jianjun Gao, Zhenxue Tian et Xu Yang publient un article dans « BioScience Trends » qui conclut : « La chloroquine a montré une efficacité apparente dans le traitement de la pneumonie associée au COVID-19 dans des études cliniques ».
Par ailleurs encore, le 6 mars 2020, un article est publié sous la responsabilité de LU Hongzhou dans le « Journal of Zhe Jiang University », il s’intitule « Une étude pilote sur l'hydroxychloroquine dans le traitement de patients atteints de COVID-19 modéré », et il conclut : « Le pronostic des patients COVID-19 modérés [traités avec l’hydroxychloroquine] est bon. »
Faire diversion grâce à l’inversion accusatoire, cela ne les sauvera pas !
Toute la politique de santé publique liée à la fausse pandémie de « C19 » est criminelle, car elle a débouché sur, très vraisemblablement, des centaines de milliers de décès, rien qu’en France, et ceux qui l’ont promue, à un titre ou à un autre, sont des assassins.
Tout comme sont des assassins ceux qui ont promu, à un titre ou à un autre, les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.
Les plus grands assassinats de masse commis en France, depuis Clovis, et en Gaulle depuis Vercingétorix…
Les attaques actuelles contre Didier Raoult ne tiennent absolument pas la route, ni en faits, ni en droit (il ne s’est rendu coupable d’aucun des faits qui lui sont reprochés, il n’a pas organisé des « essais cliniques » pour un nouveau médicament).
Elles ne visent qu’à une chose : masquer les coupables des plus grands assassinats de masse commis en France, depuis Clovis (les historiens retiendront, peut-être, qu’Adolph Hitler était un petit joueur face au duo Emmanuel Macron / Olivier Véran).
La variole du singe ayant fait pschitt, la guerre en Ukraine étant en passe d’être perdue (et fort heureusement) par les armées de l’OTAN (une autre organisation internationale criminelle), la sécheresse asymptomatique qui devient de plus en plus mouillée, nos assassins vont devoir sans cesse trouver de nouveaux thèmes pour cacher leurs responsabilités et leur participation à ces assassinats.
S’attaquer à Didier Raoult est un pari, qui s’il est gagné par ses ennemis, qui sont également les nôtres, leur donneront de l’espoir : celui, illusoire, de pouvoir s’en tirer en faisant diversion.
Quant à Didier Raoult, de ce que nous savons, il a simplement soigné, avec succès, les malades qui se présentaient à lui. De ce que nous savons également, et à nos yeux, il est coupable, incontestablement, mais pas de ce dont ces assassins l’accusent.
Par ailleurs, parler des « essais cliniques », c’est bien, mais avec les nouveaux « médicaments » (les « va x ins » sont des médicaments), d’autres essais sont extrêmement importants pour notre santé et la préservation de l’espèce humaine : les essais « précliniques » qui comprennent 7 phases d’études très précises et très réglementées. Et, avant 2020, leur durée était généralement de plus de… 10 ans.
Luttons, informons, résistons, tenons bon, vivons et n’oublions rien !
Pierre Lefevre
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