Plan banlieues :
  pas d'argent sans bilan !  

 

 
NON AU PLAN BANLIEUES D'ELISABETH BORNE

Le gouvernement d’Elisabeth Borne a émis l’idée le 30 juin 2023 d’un énième plan banlieues pour répondre aux violentes émeutes qui frappent le pays.

Media 20 minutes
Media Marie France
Pétition Plan banlieues

 

Ecoles, bibliothèques, mairies, voitures de police, bus, tramways…

Autant d’infrastructures financées avec l’argent des contribuables réduites en fumée par la faute des délinquants.


 Un tramway c’est 3 millions d’euros.

‍ Un tramway c’est 3 millions d’euros.

‍Rame de tramway calcinée à Clamart le 29/06/2023

Un bus c’est 200 000 euros.

Un bus c’est 200 000 euros.

Bus parti en fumée à Villeurbanne, 30/06/2023

Une voiture de police c’est 15 000 euros.

Une voiture de police c’est 15 000 euros.

Ecole sainte Clotilde incendiée à Tourcoing le 29/06/2023

Une voiture de police c’est 15 000 euros.

Une voiture de police c’est 15 000 euros.

Commissariat ravagé par les flammes à Neuilly-sur-Marne le 29/06/2023

Les images de ces émeutes, d’une violence inouïe, sont en train de faire le tour du monde…


Pour les contribuables, c’est la double peine : nous allons devoir payer pour reconstruire ce qui a été détruit et les éventuels investisseurs étrangers vont fuir.


Le moins que l’on puisse dire, c’est que les contribuables ont été généreux. Depuis 50 ans et le premier plan banlieues du gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing, les gouvernements successifs jusqu’à Emmanuel Macron ont distribué des centaines de milliards d’euros pour doter en infrastructures ces quartiers. Avec les résultats que l’on voit aujourd’hui.

 

 

 

Rien que l’année dernière, ce sont au bas mot plus de 37 milliards d’argent public qui ont été investis par l’Etat dans ces quartiers et ce sans compter les investissements des villes, des départements et des régions !


Toutes ces années durant, les gouvernements successifs (Valls, Ayrault, Castex, Borne…) ont mis la poussière sous le tapis et voilà que tout nous revient dans la figure !


La Seine-Saint-Denis est un département plus riche que la Lozère et pourtant aucune insurrection lozérienne n’a été observée…


Dans nos locaux mardi dernier, le criminologue Xavier Raufer a rappelé que les milliards d’euros consacrés à la politique de la ville n’ont fait qu’alimenter un système délictuel.


Le comble… après tous ces milliards payés par les contribuables, on ne compte pas moins de 62 quartiers en France inclus dans le programme de « reconquête républicaine ».


 

Combien de programmes nationaux de rénovation urbaine et de rénovation des quartiers ont déjà été engagés à coups de milliards d’euros de nos impôts pour améliorer les conditions de vie des habitants pour un résultat presque invisibles. La peinture n’est pas encore sèche que tout est déjà dégradé.

 

 

 

Comme en 2005, certaines personnalités politiques vont défiler sur les plateaux télés pour demander encore plus d’argent pour les quartiers.


Encore une fois ce sont les contribuables qui subissent ces émeutes et qui vont devoir payer la casse. C’est un scandale.


Ce sont inéluctablement les honnêtes citoyens, les familles, les travailleurs qui se lèvent tôt qui vivent dans la peur et baissent la tête finissant par accepter cette violence comme une fatalité.

Media Le monde

Mais personne n’a encore eu le courage d’admettre des dizaines d’années d’erreurs et de taper du poing sur la table pour dire STOP !


STOP à l'argent de nos impôts, déversé dans les banlieues pour alimenter les émeutes, les règlements de compte, les trafics de drogue, les violences urbaines, les viols, les dealers, les trafics d’armes, les pouponnières d’islamistes…


STOP au déversement de l’argent de nos impôts dans les banlieues pour financer des zones de non-droit où la police, les pompiers, les médecins, les infirmières… ne peuvent plus mettre les pieds sous peine de se faire agresser.


Car c’est bien de cela dont il s’agit. L’État préfère acheter la paix avec nos impôts plutôt que faire la guerre aux délinquants.


Et je vous le dis, les bénéficiaires des aides de la « politique de la ville » ont bien compris que c’était le tonneau des Danaïdes ; le jackpot absolu dans toutes les régions de France, payés par les honnêtes gens !


Plus un centime d’impôts ne doit aller à la « politique de la ville » tant qu’un bilan n’aura pas été dressé pour avoir une vue d’ensemble claire et chiffrée de ces millions d’euros dépensés.


Cela fait des années que Contribuables Associés alerte sur les dangers d’une politique de la ville incontrôlée. Nous avons été les premiers à dire stop. Mais pour faire bouger les lignes nous devons être quelques millions à manifester notre colère à Elisabeth Borne.


Mais pour cela j’ai absolument besoin de vous et de votre soutien à cette pétition.


Elisabeth Borne doit savoir que nous sommes des centaines de milliers de contribuables décidés à ne plus se laisser plumer sans réagir.


Si nous ne le faisons pas maintenant, la France finira dans le chaos total !


Le contribuable n’est pas une vache à lait.

 

Alors je vous demande de signer cette pétition en cliquant ici (ou sur le bouton ci-dessous) que je remettrai dans les plus brefs délais à Elisabeth Borne.

Je signe la pétition plan banlieues
Benoît Perrin signature

 

Benoît Perrin

Directeur de Contribuables Associés

Benoît Perrin

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