L’État se fait des milliards sur le dos des Français en difficulté. Les technocrates de Bercy jubilent. Alors ne comptez pas sur M. Macron pour vous protéger :
Le bouclier tarifaire ? C’est de la com !
Les prix de l’énergie augmentent depuis des mois. Fortement.
Et voilà que tout à coup le gouvernement limite la hausse du prix de l’électricité et bloque les prix du gaz jusqu’en avril... date de l’élection présidentielle !
Ce blocage des prix est temporaire. Et sera suivi d’un rattrapage, lissé sur plusieurs mois. On reporte la « douloureuse » dans le temps...
Ils nous prennent vraiment pour des idiots ! C’est de la tactique électorale. Du clientélisme !
Quant au chèque énergie, il est réservé aux 5,8 millions de ménages les plus pauvres. Et les autres alors... ils ne souffrent pas les autres ?
Je veux parler des agriculteurs, des commerçants, des indépendants, ou des salariés. Tous ceux qui se lèvent le matin, travaillent toute la journée, et n’arrivent pas à joindre les 2 bouts. Et les retraités !
« Nous, on est trop riche pour être aidés, mais pas assez riche pour s’en sortir ! ».
Voilà ce qu’ils pensent. Et ils représentent la grande majorité des Français.
Alors qu’est ce qu’on fait ? On reste les bras croisés et on subit ?
Non ! Résistons. Combattons cette injustice fiscale qui ampute mécaniquement notre porte-monnaie.
Vous voulez que ça change ?
Soudés et organisés, nous sommes une force de frappe décisive.
Tous ensemble, frappons du poing sur la table. Montons au créneau. Et ne lâchons rien. Signez notre pétition ici !
Il existe une solution radicale pour préserver votre pouvoir d’achat de la flambée des prix de l’énergie. Et j’ai besoin de vous pour la faire triompher :
Les énergies sont des biens de première nécessité !
Elles permettent de se chauffer. De se laver. De se nourrir. De se déplacer pour travailler. On ne peut pas s’en passer ! Ce sont des « dépenses incompressibles », essentielles pour vivre.
Comme les pâtes, les fruits et légumes, la viande, qui sont de ce fait soumis à une TVA de 5,5%.
Comme les livres, considérés comme des biens de 1ère nécessité et donc soumis à la TVA de 5,5%.
Pourquoi un traitement fiscal si diamétralement opposé pour les factures énergétiques ?