Les Echos Week-End Les Echos Samedi 24 septembre 2022
 
 
 
 
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Son nom, Ruben Östlund, n’est pas facile à retenir : ce cinéaste suédois est pourtant un des plus talentueux de son époque, gagnant deux fois de suite la Palme d’or à Cannes. Avant la sortie de son dernier opus, « Sans Filtre », en salle la semaine prochaine, Adrien Gombeaud l’a rencontré et ausculté pour la cover de notre magazine. Guillaume Poitrinal aurait tout aussi bien pu y prétendre : Il y a huit ans déjà, alors le plus jeune patron du Cac 40, il surprenait le tout-Paris du business en annonçant qu’il abandonnait son poste de PDG d’Unibail-Rodamco, et le confortable salaire qui allait avec, pour se lancer dans la construction en bois. L’ex-icône d’HEC voulait oeuvrer à une économie plus durable . Aujourd’hui, avec sa nouvelle entreprise Woodeum-WO2, ce manager surdoué est devenu le premier promoteur européen bas carbone. D’autres réussites récentes vont dans ce sens : celle de Grand Frais, cet enseigne privilégiant les produits de proximité qui bouscule la distribution ou de NetZero, pionnier du « charbon vert ». Preuves qu’économie et écologie ne s’opposent plus : une leçon à retenir par le maire écologiste de Grenoble, dont nous dressons le bilan pour le moins contestable après huit ans de mandat. Bon Week-End !

 
 
 
 
 
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Culture : les choix de Philippe Chevilley
 
 

Après quatre ans d'absence, le festival America a pris ses quartiers jusqu’au 25 septembre à Vincennes. L'occasion de faire entendre les « voix » multiples d'une littérature américaine bouleversée. De Richard Ford à Leila Mottley, focus sur dix grandes plumes d'aujourd'hui et de demain.

Rendez-vous ensuite au musée Jacquemart- André, pour découvrir une oeuvre qu'on montre peu en France : celle de l’artiste Heinrich Füssli. Comment un prêtre défroqué créa en Angleterre une peinture à sensations représentant l'horreur, le sublime, les fantasmes et les punitions célestes.

Enfin, place au théâtre avec Stéphane Braunschweig qui retrouve son auteur fétiche, le Norvégien Arne Lygre, pour « Jours de joie », comédie humaine existentielle dans laquelle la farce le dispute au drame. 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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