Me croyez-vous ?
Peu importe, je n’ai rien à prouver. J'ai juste à signer des affaires pour servir mes clients et nourrir ma famille.
Oups, je ne vous ai pas tout dit.
Le coquin, il nous cache des choses…
Quand je parle de 70%, il s’agit d’offres préparées et présentées en BtoB.
Depuis 20 ans (lire ces 3 mots avec une voix chevrotante, trémolos et lenteur), je suis consultant libre. Je me suis adressé à 2 grands marchés : celui du BtoB et celui du BtoC.
Dans le BtoB, il s’agit d’appuyer sur les boutons de la rationalité, même s’il faut y mettre un zeste de séduction. L’interlocuteur décide à partir d’arguments clairs et précis, ne va pas investir son propre argent. C’est l’argent « corporate ». Quand l’offre est bien construite, quand la démarche commerciale a consisté à trouver le prospect en dehors de toute concurrence, alors le taux de transformation est très élevé.
Dans le BtoC, c’est le bouton de l’émotion qui pousse le prospect à signer. Là, c’est une autre affaire. Cela demande d’aller chercher plus profondément en soi au moment de la proposition, prendre le risque de demander une décision immédiate. Dans 100% des cas en BtoC, quand un prospect conclut « je vais réfléchir », sans me dire de quel délai de réflexion il a besoin, il ne signe pas.
Bref, le business en BtoC est très difficile. Le « C » engage son argent personnel. Dès qu’on lui fait une proposition, elle vient en concurrence avec les vacances de la famille, la rénovation de la cuisine, les frais de scolarité.
A titre personnel, j’ai du puiser profondément pour trouver plus d’une trentaine de clients en BtoC (pour de très nombreux entretiens) depuis que je suis rentré de 120 jours bloqué au Maroc en début de pandémie. Un exercice passionnant car j’ai fait de magnifiques rencontres, et un exercice très difficile.
C’est aussi pour cela que j’ai lancé la cohorte « consultant libre » (prochain webinaire d’information ce jeudi 1er septembre à 18h (France), 12h (Québec) => lien d’inscription à la réunion : https://is.gd/XNy3vF).
Je vais partager quelques clés du métier de consultant libre et proposer un accompagnement intensif qui démarre le 5 septembre. Cet accompagnement s’adresse à tous les #freelance qui souhaitent développer leur activité de #consultant, #formateur ou #coach.
Pour tout avouer, devant la difficulté à développer en BtoC, j’ai repris le bâton du BtoB, toujours avec la même méthode.
J’interviens actuellement pour 5 entreprises de secteurs très différents (nucléaire, construction, évènementiel, optique, bilans carbone) en France et au Québec. Ma méthode est inoxydable, ne demande ni site internet, ni mailing agressif, ni publications particulières.
Depuis 20 ans, le taux de transformation reste le même… si ça vous intéresse d’en savoir plus, venez au webinaire (gniaf, gniaf).