Quelques mots sur Michael Fumento, l’auteur de « Le Mythe du sida hétérosexuel ».
Ancien parachutiste formé aux opérations spéciales (Irak – Afghanistan), Michael Fumento est avocat, écrivain, journaliste d'investigation et chroniqueur (« Washington Times », « Forbes », « The Atlantic Monthly », etc.). Il est mondialement connu pour ses travaux sur des sujets de santé publique (sida, obésité, produits chimiques industriels), de science et de technologie.
Né le 10 juillet 1957 à Champaign, dans l'Illinois, Fumento a étudié à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, où il a obtenu un diplôme en sciences politiques. Par la suite, il a poursuivi des études de droit et a obtenu son diplôme de la faculté de droit de l'Université de l'Illinois. « Le Mythe du sida hétérosexuel » publié en 1990 est son ouvrage le plus connu, dans le monde entier.
Les principaux points de contrepropagande contenus dans le livre « Le Mythe du sida hétérosexuel ».
Alors que la propagande mondiale de Big Pharma et des gouvernements occidentaux de gauche affirmait que tous les êtres humains, depuis leur naissance, étaient menacés par le VIH, Michael Fumento révéla une tout autre réalité.
Prévalence du VIH (SIDA) à la fin des années 1980 aux États-Unis :
La prévalence est une mesure épidémiologique qui représente la proportion d’une population qui est atteinte d’une certaine maladie ou d’une condition particulière à un moment donné ou sur une période spécifique.
Elle est généralement exprimée sous forme de pourcentage ou de nombre de cas pour une population donnée. La prévalence est une mesure clé en santé publique, car elle aide à comprendre la charge globale d'une maladie dans une population, ce qui est essentiel pour planifier les services de santé et les interventions.
- Prévalence du VIH parmi les homosexuels masculins à la fin des années 1980 aux États-Unis : • 30 % des homosexuels masculins étaient victimes du SIDA.
- Prévalence du VIH parmi les utilisateurs de drogues injectables à la fin des années 1980 aux États-Unis : • Entre 10 % et 60 % des utilisateurs de drogues injectables (hommes et femmes) étaient victimes du SIDA, selon les régions.
- Incidence du VIH dans la population générale à la fin des années 1980 aux États-Unis : • Moins de 1 % des personnes ne se déclarant ni homosexuelles ni consommatrices de drogues injectables étaient atteintes du SIDA. Toutefois, il serait utile de connaître, parmi elles, le pourcentage de transfusés (affaire du sang contaminé) et celui des personnes qui ne se déclaraient ni homosexuelles ni consommatrices de drogues injectables alors que c'était effectivement le cas.
- Proportion des cas de SIDA attribués à la transmission hétérosexuelle à la fin des années 1980 aux États-Unis : • 5 à 10 % des cas de SIDA étaient attribués à la transmission hétérosexuelle par des personnes ayant eu des relations sexuelles avec des homosexuels et/ou avec des consommateurs de drogues injectables.
- Taux de transmission du VIH par acte sexuel hétérosexuel à la fin des années 1980 aux États-Unis : • Moins de 1 %, c’est le taux de transmission qui était alors estimé pour un seul acte sexuel vaginal non protégé avec un partenaire infecté par le VIH.
- Comparaison des taux de transmission par sexe : • Les femmes étaient environ deux fois plus susceptibles que les hommes de contracter le VIH par rapport à un acte sexuel hétérosexuel avec un partenaire infecté.
À la fin des années 1980, la majorité des cas de SIDA aux États-Unis étaient concentrés dans des zones urbaines des villes comme New York, San Francisco, et Los Angeles. D’ailleurs, le SIDA était la principale cause de décès parmi les hommes âgés de 25 à 44 ans dans plusieurs grandes villes américaines, où l'épidémie était particulièrement sévère : • New York • San Francisco • Los Angeles • Miami • Washington, D.C.
Ces villes représentaient les épicentres de l’épidémie aux États-Unis durant les années 1980, en raison de facteurs sociaux spécifiques, tels que la consommation de drogues injectables et les rapports sexuels non protégés entre hommes, qui ont contribué à la propagation rapide du VIH dans ces régions.
Le lien avec la fausse pandémie de la « variole du singe » ?
Sur X, l’excellent Martin Zizi, ancien professeur de neurophysiologie, affirme que la fameuse « variole du singe » concernerait principalement : - les travailleurs du sexe - les HIV positifs (50 % des « cas » en Afrique) - Les personnes en contact direct et intime avec un malade infecté de la variole du singe ou avec la peau de personnes manifestement infectées (vésicules).
Étranges similitudes, mais est-ce seulement des similitudes ? N’y aurait-il pas plutôt un lien avec les injections à ARNm, dont on sait qu’elles déclenchent chez certaines personnes le SIDA ? Est-ce que le statut « va xi nal » des victimes de la « variole du singe » sera un jour publié ?
Précisons également que Martin Zizi affirme que « les cas hors Afrique sont soit faux, soit qu’ils concernent les membres de la communauté LGBT... ».
Toujours est-il que comme avec le SIDA, la « variole du singe » est donc loin d’être une menace pour tout un chacun, et seules les personnes à risque, qu’il convient de ne pas stigmatiser, comme le souligne Martin Zizi, devraient retenir l’attention des autorités sanitaires.
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Rappel : Ne faut-il pas dès maintenant leur faire savoir que nous désobéirons, que nous refuserons l’inacceptable et que nous ne nous soumettrons pas ? Les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète ne peuvent pas se permettre de perdre la partie, nous non plus. |