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n°63

Ils recrutent avec Jobagroalimentaire

Ils recherchent des promoteurs des ventes de produits agroalimentaires

En étroite collaboration avec les professionnels du marketing et de la publicité ainsi qu’avec les commerciaux sur le terrain, le promoteur des ventes est chargé de faire la promotion de la marque. Elaborer une stratégie pour séduire le consommateur, motiver les commerciaux, faire le bilan des ventes et corriger les écarts avec les objectifs, tout en respectant le budget imposé, sont ses principales responsabilités. Il doit donc être tout à la fois rigoureux, imaginatif, autonome et persuasif, tout en restant à l’écoute. Une formation bac +2/3 (BTSA technico-commercial, Licence pro commerce-marketing…), voire un bac +5 (Master, Ecole de commerce…), est nécessaire pour accéder au métier de promoteur des ventes. 

Ils recherchent leur promoteur des ventes sur Jobagroalimentaire

Ils créent des emplois

Pour aider les entreprises (dont certaines entreprises agroalimentaires) qui ont du mal à recruter  pendant la crise, Roissy développement veut développer le prêt de main d’œuvre entre entreprises

En Vendée, certaines entreprises agroalimentaires (Maison Gendreau, Europe Snacks, Fleury Michon, Sodebo) recrutent car elles ne sont pas au complet et doivent répondre à une forte demande.

Dans le Lot et Garonne, l’entreprise Danival d’Andiran, spécialisée dans la distribution alimentaire biologique, poursuit son activité pendant la crise sanitaire et offre même plusieurs opportunités d’emploi.

Avec le confinement, Yoplait et Old El Paso (produits tex-mex) ont vu leurs ventes exploser et leurs usines tourner à plein régime. Des recrutements sont en cours.

Installée près de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne), la chocolaterie Dardenne a engagé  la construction d'un nouveau site de production à Ausson. L’investissement est de 3,6 millions d'euros et l’effectif doit être doublé d'ici cinq ans.

Parcours – carrière

Eric Diné : "dans l'agroalimentaire, il faut aimer le produit"

Au départ, Eric Diné se voyait plutôt travailler dans l’horticulture. Après un BTSA « Commercialisation des produits de l’horticulture ornementale » et une première expérience de commercial dans une entreprise horticole, il achète à 24 ans un commerce de fleurs et apprend pendant 6 ans « à tenir un centre de profit, une capacité que je voulais avoir pour plus tard » précise-t-il. Bien lui en a pris puisqu’au bout de trois ans on vient le chercher pour la direction d’un Libre Service Agricole (LISA) dans l’Oise puis d’une jardinerie en région Parisienne.

En 2002, il se voit proposer la direction générale d’un Libre Service Agricole indépendant, la SOCALI, créée par des producteurs de la région de Saint Nazaire. Très vite on lui demande de développer la vente de produits alimentaires pour les éleveurs des environs. C’est l’occasion pour Eric de découvrir l’agroalimentaire et de développer une grande complicité avec les producteurs. Une boucherie traditionnelle est rachetée sur Saint Nazaire et la SOCALI connait un bel essor. « On a remis les paysans au centre ville » lance-t-il pour appuyer sur la dimension sociale du projet. En 2015, il quitte la SOCALI, reprend une ancienne usine pour en faire un atelier de découpe multi-espèces. Mais les résultats tardant à venir, il intègre quelques mois plus tard, en tant que directeur-adjoint, les Ets Baillet (Landes), spécialisés dans les produits à base de viande. Début 2020, le PDG du Groupe SUDAGRO lui propose de prendre la direction générale de l’entreprise de charcuterie MAINJOLLE dans les Charentes. Aujourd’hui c’est la perspective de « retravailler  avec des producteurs locaux et de pouvoir leur dire ce que sont devenus leurs produits» qui motive Eric, qui d’ailleurs n’hésite pas à se définir comme « un véritable maillon de la chaine entre l’éleveur et le consommateur ». Toutes ses expériences lui ont en effet appris que ce qui lui plait dans l’agroalimentaire, outre le produit, ce sont aussi les échanges avec les gens, producteurs et clients.

A l’école de l’IAA

Ouverture d’une nouvelle unité agroalimentaire à l’EPL Agro de Lindt forme ses collaborateurs à distance avec l'IFRIA Aquitaine

Malgré le confinement, le site d’Oloron Sainte Marie (64) de Lindt a maintenu la formation de sa dixième promotion de conducteurs de machines filière agroalimentaire. La session, prévue sur dix mois, a démarré comme prévu début mars pour huit collaborateurs en contrat de professionnalisation. Pour cela l’institut de formation Ifria Aquitaine a dû « adapter le contenu et le mode d’enseignement ». En avril, plusieurs modules (QHSE , mécanique, pneumatique et électrotechnique) se sont déroulés via la plateforme Zoom. « Nous avons aussi mis en place avec l’entreprise une demi-journée en immersion, sur le poste de travail chez Lindt, afin d’aller observer les thématiques étudiées. Ce qui est observé en usine sert à alimenter les cours » précise Vincent Cherel, le directeur du centre de formation. Des travaux en sous-groupes étaient également prévus, chaque binôme pouvant échanger par téléphone et se faire aider par le formateur resté disponible par visioconférence. A l’issue de la formation, les huit stagiaires, d’anciens demandeurs d’emploi, passeront un CQP. Le bilan du dispositif mis en place pendant le confinement intéresse déjà vivement d’autres entreprises.

Informations sociales

Le coronavirus en RH et droit social

Mis à jour quotidiennement en fonction des nouveaux textes et des nouvelles recommandations liées au Covid-19, ce dossier de Legisocial regroupe toutes les informations officielles en droit social et en gestion des ressources humaines. En 37  fiches pratiques et 12 textes officiels, sont abordés les mesures de prévention, les droits et obligations des salariés et des employeurs, les modalités de recours au télétravail, les aménagements au fonctionnement du Comité Social Economique (CSE), les reports d’échéances, la suspension des Négociations Annuelles Obligatoires, etc. Chaque mise à jour fait l’objet d’une alerte email ainsi que d’un commentaire détaillé. A un moment où les arrêtés, les décrets, les ordonnances et les communiqués du Ministère du Travail se multiplient à un rythme effréné, ce dossier accompagnera efficacement tout responsable RH.

Ressources Humaines

Préparer le déconfinement

Respect des nouvelles contraintes sanitaires et (re)motivation des équipes sont les deux enjeux majeurs du déconfinement. Pour les managers, il va falloir faire preuve d’ingéniosité.

S’approvisionner en matériels de protection et d’hygiène pour les salariés, définir une nouvelle organisation du travail,  réorganiser les espaces de travail pour respecter les règles de distanciation, arrêter une communication rassurante et personnalisée sont les préalables à toute réintégration. Et comme toutes les entreprises ne sont pas dotées d’un responsable de l’environnement de travail, loin s’en faut, ce sont les managers qui doivent traiter de tous ces sujets. Pour cela, ils pourront tirer profit d’un article paru récemment dans la Tribune.

Mais le déconfinement, c’est aussi « récupérer » des salariés dont certains craignent pour leur santé en allant travailler et d’autres ont mal supporté la réclusion. Difficile dans ces conditions pour les managers de rebooster les équipes, alors qu’il faudrait retrousser les manches et rattraper le retard. Deux articles, l'un d’Alixio Change Management, l'autre de Cadreo, tentent de donner quelques clés pour aborder cet exercice périlleux.

Actualités

En Bretagne, le dispositif Agil/Agro limite le chômage partiel

Avec la crise sanitaire, certaines entreprises agroalimentaires doivent pratiquer le chômage partiel tandis que d’autres ont besoin de recruter. L’Association Bretonne des Entreprises Agroalimentaires (ABEA) a donc accéléré le dispositif de prêt de main d’œuvre prévu au sein d’Agil’Agro, une association de 14 entreprises mise en place avant la crise et destinée à favoriser la mobilité des salariés entre les adhérents. La démarche est triplement bénéfique : pour les salariés, pour les entreprises et pour l’Etat qui n’a pas à supporter la charge de l’activité partielle des salariés concernés.

Pour Agrial « être un multispécialiste se révèle être un atout considérable ».

Comme beaucoup d’entreprises, le groupe coopératif normand subit l’impact du Covid-19. « Il faut réduire la voilure pour passer la tempête » explique son directeur général. Pour cela, chômage partiel, réduction des charges fixes et limitation des investissements sont à l’ordre du jour. Mais l’entreprise a aussi l’avantage d’être multisectorielle, ce qui est « un atout considérable pour faire face à la crise ». Sans compter qu’avec le regain d’intérêt des consommateurs pour les circuits courts et les produits locaux, il y a une carte à jouer, le statut coopératif assurant une grande proximité avec les producteurs.

Vient de paraître

Un guide pour la reprise d'activité des entreprises alimentaires

Résultat de la collaboration entre les organisations patronales et cinq organisations syndicales de salariés de l’agroalimentaire, ce guide répond aux questions concrètes que se posent les entreprises du secteur en cette période de transition. Ces questions sont au nombre de quatre :

  • Comment assurer la sécurité des salariés ? 
  • Comment intégrer le traitement des stocks dans l’organisation de la reprise d’activité ? 
  • Comment anticiper sa capacité de production en fonction de l’incertitude de son marché ? 
  • Comment planifier sa reprise d’activité en harmonie avec celle de ses clients et de ses fournisseurs ? 

D’une vingtaine de pages, le guide se veut un outil simple et didactique pour envisager tous les aspects du déconfinement et la mise en place d’un plan de continuité d’activité.

Télécharger le guide

Salons

Tech&Bio
Du 9 au 10 septembre à Villers Paters

CFIA
Du 29 septembre au 1er octobre à Rennes

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Rédacteur : Philippe PELVET
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