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n°65

Ils recrutent avec Jobagroalimentaire

Ovogallia, société de conditionnement d'oeufs bio et plein air

L’entreprise est installée au cœur de la Bretagne, près de Pontivy. Elle conditionne et commercialise chaque année 18 millions d’œufs provenant d’une douzaine d’ateliers de production de la région. L’application d’un cahier des charges strict, certifié par un organisme officiel, permet de proposer sur le marché un œuf 100 % breton et de grande qualité. Ovogallia compte 8 salariés pour faire tourner ses chaines de conditionnement et est régulièrement amenée à recruter pour assurer le développement de son activité . Pour cela elle fait appel aux services de l’APECITA et à son site Jobagroalimentaire pour la diffusion des offres d’emploi. Pour trouver les candidats qui lui conviennent, « avec un peu d’expérience, si possible en agroalimentaire, mais surtout l’état d’esprit et les qualités humaines indispensables pour s’intégrer dans la petite équipe » comme le précise Philippe André Richard, le fondateur et responsable de l’entreprise, ce dernier n’hésite pas à confier à la délégation Bretagne de l’APECITA la rédaction des offres, la validation des candidatures par entretien téléphonique et la passation de tests. Pour trouver la bonne personne, « un regard extérieur est toujours préférable, ne serait-ce que pour valider ou invalider les candidatures. 

Les erreurs peuvent coûter cher», ajoute P.A Ricard qui apprécie de pouvoir travailler en confiance avec l’association.

Ils créent des emplois

Comme chaque année à la même époque, l’entreprise Entremont recrute, à partir de septembre et pour son site de Glomel (Côtes d’Armor), 80 intérimaires.

Dans le Pays de Ploërmel (Morbihan), le secteur agroalimentaire, après plusieurs mois difficiles, recrute (contacter l’agence Job&box).

Parcours – carrière

Isabelle David : "une carrière au service de l'agroalimentaire normand"

Lorsqu’elle intègre l’Agro de Rennes, Isabelle est loin d’imaginer qu’elle consacrera sa carrière professionnelle aux produits agroalimentaires de sa région d’origine. Certes, elle choisit en troisième année la spécialisation agroalimentaire, mais c’est seulement en entrant à la Chambre Régionale d’Agriculture de Normandie comme chargée de mission qu’elle découvre le potentiel de notoriété encore peu exploité des produits normands. Dès lors, vont se succéder les postes à responsabilités croissantes, essentiellement axés sur la qualité des produits et leur promotion.

En particulier, en tant que directrice d’IRQUA Normandie, Institut Régional de la QUAlité créé à l’initiative des Chambres d’Agriculture, des deux Régions et des filières,  elle prend une part déterminante au lancement de la marque collective régionale « Gourmandie » et consacre toute son énergie au sourcing et à l’animation des entreprises adhérentes. Plus récemment, la direction de l’AREA (Association Régionale des Entreprises Agroalimentaires)-Normandie lui assigne de nouveaux challenges comme la création d’un guichet unique pour toutes les entreprises régionales, la mise en place de stratégies de filières amont/aval pour un meilleur  partage de la valeur ajoutée, ainsi qu’une offre de services  multidisciplinaires aux entreprises. Aujourd’hui, avec le recul, Isabelle porte un regard lucide sur son secteur professionnel : « la filière est passionnante car porteuse de sens en raison de sa mission d’intérêt général, nourrir la population. Les métiers y sont divers, toujours avec un lien très affectif avec le produit. De plus, elle ne cesse d’évoluer, entre tradition et innovation, pour répondre aux enjeux sociétaux » indique-t-elle, sans oublier toutefois de reconnaitre certains handicaps : « l’image de l’agroalimentaire et surtout des métiers de production reste encore trop souvent négative, malgré les progrès réalisés en matière d’automatisation et d’ergonomie des postes de travail » précise-t-elle.

A l’école de l’IAA

Agroalimentaire : des masters très "développement durable"

Produire dans le respect des nouvelles normes environnementales est une des priorités du Contrat Stratégique de la filière agroalimentaire signé en 2018 entre les Ministères de l’Agriculture, de l’Economie et des finances, et les représentants du secteur. Cette orientation ne peut qu’attirer « des étudiants motivés par l’idée de produire les aliments de demain, sains et durables, qui composeront nos assiettes » explique cet article de Futura Planète consacré aux Bac +5 dédiés à l’agroalimentaire dans les grandes écoles ou à l’Université. Y sont notamment présentés les 5 meilleurs masters spécialisés dans le management des industries agroalimentaires, avec leurs débouchés on ne peut plus variés (commercial, R&D, qualité, environnement…).

Informations sociales

Evolution de l'indemnisation de l'activité partielle

Depuis le déconfinement la plupart des secteurs de l’économie ont pu reprendre une activité. Cette reprise ne pouvant être souvent que progressive, les pouvoirs publics ont maintenu le dispositif d’activité partielle, l’objectif étant de maintenir dans l’emploi tous les salariés. Ce dispositif permet aux entreprises de verser au salarié une indemnité prise en charge par l’Etat et l’Unedic. Depuis le 1er juin les conditions de cette prise en charge sont les suivantes : 

1/  L’indemnité versée au salarié est inchangée : pendant l’activité partielle, il perçoit 70 % de sa rémunération brute (environ 84% du salaire net), et au minimum le SMIC net.

2/ La prise en charge de cette indemnité par l’Etat et l’Unédic sera de 85 % de l’indemnité versée au salarié, dans la limite (inchangée) de 4,5 SMIC. Les entreprises seront ainsi remboursées de 60% du salaire brut, au lieu de 70% précédemment. Toutefois cette diminution épargne les secteurs très fortement impactés par la crise (tourisme, restauration, culture). 

Pour en savoir plus

Ressources Humaines

La gestion du confinement par les employeurs plébiscitée par les salariés

Le fait est suffisamment rare pour être signalé : 9 Français sur 10 sont satisfaits de leur employeur, du moins quant à la façon dont il a géré le confinement. C’est ce que nous apprend une enquête réalisée par House of Codesign, espace et méthode dédiés à l’innovation et l’intelligence collective des entreprises. L’étude nous révèle également qu’une majorité de salariés estime avoir gagné en autonomie grâce au travail à distance et que plus de trois sur quatre disent avoir travaillé dans de bonnes, voire très bonnes conditions. Pour les auteurs, ces informations ouvrent la voie à la pérennisation du télétravail dans les entreprises, 80 des personnes interrogées y voyant une solution au problème des transports pour se rendre au travail. Mais attention : tous s’accordent à reconnaitre qu’il faudra aussi vaincre le sentiment d’isolement que génère immanquablement le travail à distance.

Actualités

Economie : crise ou pas crise ?

Quels ont été les conséquences de la crise du coronavirus sur l’agroalimentaire ? 

Dans un premier article d’Ouest-France du 12 mai relatant les chiffres du baromètre de l’Ania, la baisse globale du chiffre d’affaires du secteur aurait été de 22 % pendant le confinement. Avec toutefois des situations très disparates suivant les produits : boissons et confiserie étant particulièrement impactées au profit des pâtes et des produits transformés. Les TPE et PME semblaient plus durement touchées. 

D’après un second article d’Ouestfrance- emploi de début juillet, les employeurs de l’agroalimentaire font « partie de ceux qui ont pu limiter la casse ».  La raison est simple : « les êtres humains ont et auront toujours, quoiqu’il arrive, le besoin de se nourrir »,  si bien que « la demande, pour les entreprises de production et de transformation des aliments, est restée relativement stable ». Cette demande s’est même affolée en début de confinement avec le comportement d’achats massifs de précaution chez de nombreux Français. A cela s’est ajoutée l’attitude exemplaire des salariés du secteur qui ont tenu à rester au service de leur clientèle et dont l’absentéisme est resté particulièrement faible au regard des autres secteurs.

Qu’en conclure, si ce n’est que l’agroalimentaire a incontestablement beaucoup moins souffert que d’autres (tourisme, transports…), mais que  certaines entreprises ont dû subir les conséquences de la chute de leurs commandes, dans la restauration ou à l’export notamment.

Sur internet

Une plateforme collaborative dédiée à l'agroécologie pour les filières agroalimentaires

Le mouvement associatif Pour une Agriculture du Vivant a été créé en 2018 pour favoriser l’évolution du modèle agricole et alimentaire français en accélérant le développement de pratiques vertueuses. Il représente aujourd’hui 33 filières et 14 catégories de produits. Il prévoit de créer une plateforme digitale destinée à devenir un espace d’information et de synergie pour les acteurs des différentes filières agroalimentaires désireux de s’investir dans une démarche de transition agroécologique. L’objectif est de répondre aux besoins précis de ces filières, d’accompagner leurs projets dans leur recherche de financement et dans leur phase de coconstruction. La plateforme, qui sera opérationnelle fin 2020, a obtenu une aide de l’Etat de plus d’un million d’euros via le PIA (Programme d’Investissement d’Avenir). 

Salons

Tech&Bio
Du 9 au 10 septembre à Villers Paters

La Terre est notre métier
Les 22 et 23 septembre à Retiers

CFIA
Du 29 septembre au 1er octobre à Rennes

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Rédacteur : Philippe PELVET
Contact : Stéphanie MEAUDE – Webmastrice de www.jobagroalimentaire.com
Tél : mail : contact@jobagroalimentaire.com

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