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Lesaffre, le leader mondial de la levure et des produits fermentés, investit dans une nouvelle unité de production à Denain (Nord) et annonce la création de 400 emplois.

Bonduelle recrute dès maintenant sur son site « salade traiteur » de Rosporden (29) une centaine de saisonniers, principalement des conducteurs de ligne et des conducteurs de machines, pour faire face au pic de production de mars à août.

La société Ynovéa, basée à Naves (Corrèze) et spécialisée dans la production, la transformation et la commercialisation de produits naturels à base d’insectes, compte réaliser des embauches dans les prochains mois.

Cité Marine, le leader français des poissons cuisinés, légumes élaborés et solutions végétariennes, recrute pour ses sites de production de Bretagne et Normandie, 150 salariés.

Cela lui permet d’accéder au poste de chef de projet avec le statut d’agent de maitrise, avant de devenir cadre grâce à un master II « Produits de Consommation Alimentaire » obtenu lui aussi par la VAE. « En tant que chef de projet, je travaille sous la responsabilité du responsable R&D. Je suis chargé de gérer des projets de recettes de caramel depuis le stade labo jusqu’au stade industriel », indique Ludovic qui précise : « C’est un travail dans lequel l’expérience est importante. Il faut s’appuyer sur l’existant pour imaginer de nouveaux produits. Il faut aussi avoir une bonne vision de la transposition industrielle ». Il apprécie de travailler en relation avec les autres équipes de l’entreprise (production, qualité, industrialisation…) mais aussi de devoir être lui même polyvalent : « La R&D, ce sont des métiers toujours très attractifs, où il faut avoir une grande ouverture d’esprit » conclut-il.

Le CFPPA des Pyrénées Atlantiques a ouvert le 1er octobre dernier une nouvelle session de formation aux métiers de l’agroalimentaire. Cette formation accueille des demandeurs d’emploi et des salariés en reconversion professionnelle Elle va permettre aux stagiaires d’acquérir un CAP « d’opérateur industrie agroalimentaire » couplé avec un certificat de qualification professionnelle de « conducteur d’équipements industriels ».

Les incertitudes économiques liées à la crise sanitaire n’incitent pas vraiment à quitter son emploi. Toutefois, pour certains salariés, le confinement a été l’occasion de faire le point sur leur carrière professionnelle et de se fixer de nouveaux horizons. Se pose alors la question de la démission de son travail, qu’il ne faudrait pas considérer comme une simple formalité. En effet pour être efficace, la procédure doit répondre à un certain nombre de règles à respecter, au risque d’être frappée de nullité. Comment rédiger la lettre de démission ? Comment, à qui et quand l’envoyer ? Quelle est la durée du préavis et comment en être dispensé ? Comment gérer les congés payés restants ? Autant de questions abordées dans ce dossier du site Juritravail dans lequel on trouve aussi différents modèles de lettres de démission.

Reconnaitre les mérites des collaborateurs ne passe pas seulement par des augmentations de salaire, même si cela ne peut pas nuire.

Il existe en effet beaucoup d’autres moyens de montrer sa reconnaissance envers un salarié, soit parce qu’il travaille bien, qu’il fait des efforts évidents, qu’il obtient de bons résultats ou tout simplement parce que sa seule présence dans l’entreprise est un sujet de satisfaction pour le manager.  Dans un article paru dernièrement sur la plateforme « Welcome to the travel », Julie Prayeur présente les nombreuses raisons qui doivent conduire les organisations à cultiver la reconnaissance non-monétaire. A plus d’un titre, celle-ci s’avère en effet particulièrement bénéfique à la fois pour l’entreprise elle-même mais aussi pour les salariés. Mais comme l’explique l’auteure, pour atteindre leur but, les marques de reconnaissance doivent répondre à différents critères (réactivité, équité, sincérité, personnalisation…).

Le dixième cahier expert de l’APECITA est en effet consacré à cette filière qui, à elle seule, représente en France 450 000 emplois. Des emplois qui se trouvent principalement dans la production, mais pas seulement ; le commerce, la qualité, l’hygiène, la sécurité, la robotique ainsi que la recherche proposent des métiers en appui à la production. 

Comme à l’accoutumée, ce cahier expert donne la parole aux conseillères de l’APECITA pour dévoiler les tendances lourdes de l’emploi dans le secteur (informatisation, robotisation, prise en compte de la transition écologique…). Les nombreuses formations spécialisées de tous niveaux sont également présentées. Enfin, des témoignages de professionnels ainsi que des offres d’emploi bien réelles apportent la touche concrète à ce cahier expert.

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