13 MILLIONS DE MORTS dans le monde, pour l’instant. 700 000 morts aux États-Unis, également pour l’instant. 148 400 morts en France, également pour l’instant. Morts de quoi ? Des injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.
Deux fois plus de morts dus aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. que de morts dus au « C19 » d’après les chiffres gouvernementaux !
Selon les statistiques officielles et totalement fantaisistes des autorités occidentales et de l’OMS, le « C19 » aurait causé à ce jour dans le monde 6,850 millions de morts dans le Monde.
Donc, selon une étude très fine publiée par Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier même en faisant semblant de croire que ces statistiques reflètent la réalité, ce qui n’est absolument pas le cas, les « va x ins » censés protéger de la maladie, auraient provoqué deux fois plus de morts que la maladie elle-même. Belle réussite médicale mondiale… Les assassins des injectés volontaires peuvent être fiers d’eux et continuer à afficher leur suffisance et leurs sourires satisfaits.
Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier signent une étude accablante pour les Josef Mengele Boys.
Dans leur synthèse intitulée « Taux de mortalité par dose de vaccin COVID-19 stratifié selon l’âge pour Israël et l'Australie », les données que les trois auteurs ont étudiées leur permettent d’affirmer que les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co., révèlent un taux de mortalité de « 1 sur 1 000 [doses] pour un État occidental comme l'Australie, et de 10 sur 1 000 [doses] en Inde, à partir de données fiables sur la mortalité toutes causes confondues. ».
148 400 morts en France ?
Selon le site de l’Assurance maladie en France, 54,2 millions de personnes auraient été injectées avec une première dose, 53,4 millions avec une deuxième dose et 40,8 millions avec une troisième dose (aucune indication n’est donnée pour des doses supplémentaires). Selon ces chiffres, il y aurait donc eu 148,400 millions de doses injectées en France.
En appliquant le ratio révélé par l’étude de Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier (vDFR = 0,1 %, soit 0,001*# de dose, ou plus simplement 1 décès toutes les 1 000 doses), on obtient le chiffre de 148 000 morts en France.
Un ratio confirmé par le nombre de morts dus aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. aux États-Unis ?
Avant 2021, quasiment tout le monde s’accordait pour dire que les chiffres des déclarations du système VAERS aux États-Unis étaient très nettement sous-évalués, et qu’il y aurait en réalité entre 10 et 100 fois plus de victimes que celles qui sont déclarées dans le système.
Aux États-Unis, 670 millions de doses ont été injectées, ce qui nous donne une évaluation de 670 000 décès dus aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co., si l’on retient le ratio révélé par Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier.
Il y a actuellement un peu plus de 16 000 décès dus aux injections à ARNm dans le système VAERS. Si l’on divise 670 000 par 16 000, on obtient 41,875. En réalité, il y aurait donc 41,875 fois plus de décès que ceux signalés dans le système VAERS pour les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.. Cela correspond à ce qu’il était communément admis avant 2021 (entre 10 et 100 fois plus).
Les chiffres de l’INSEE confirmeraient les chiffres avancés par Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier !
Selon l’INSEE, en 2022 il y a eu en France 673 637 décès, toutes causes confondues, soit 9,8 % de plus qu’en 2019 (60 181 décès en plus).
Naturellement, l’augmentation des décès peut être due à la courbe des âges (plus une population comporte de personnes âgées, plus le nombre de décès augmente).
C’est pour cette raison que l’on étudie également ce que les statisticiens appellent « la surmortalité », c’est-à-dire, l’augmentation des décès qui n’est pas imputable au vieillissement de la population étudiée. Et là, toujours selon l’INSEE, on obtiendrait le chiffre de 46 000 décès dus à la « surmortalité »… Mais, ne faudrait-il pas inclure à cette surmortalité la baisse de la natalité, lorsque cette baisse est due à des fausses-couches provoquées par les injections des « va x ins » tueurs aux femmes enceintes (une fois nés, ces enfants auraient été comptés dans les statistiques comme des habitants) ?
Toujours est-il, et toujours selon l’INSEE, qu’il y a eu 15 000 naissances de moins en France en 2022 qu’en 2021. Et si on ajoute aux 46 000 décès, les 15 000 naissances de moins, on arrive à 61 000… Mais, 61 000 décès (si l’on compte les bébés morts dans le ventre de leur mère), ce n’est pas 148 000, il en manquerait 87 000 pour que le ratio retenu par les trois chercheurs soit valide en France.
525 637 décès en 2022 en France pour lesquels les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. n’étaient pas impliqués.
En fait, si le ratio révélé par l’étude citée est exact, ce que confirment d’autres informations en notre possession, cela signifierait tout simplement qu’en 2022, il y a eu 525 637 décès pour lesquels les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. n’étaient pas impliqués. Et pour les 148 000 autres, ils l’étaient (morts subites, péricardites, AVC, etc., provoqués par les injections d’ARNm).
Il n’y a donc aucune incompatibilité entre les chiffres publiés par l’INSEE et le ratio révélé par Denis G. Rancourt, Marine Baudin et Jérémie Mercier.
Les assassins cachent toujours comme ils le peuvent les preuves de leurs crimes.
Pour valider ou infirmer cette hypothèse, il faudrait que le gouvernement publie les chiffres du statut « va xi nal » des personnes décédées, par cause de décès et toutes causes confondues. Et surtout, il faudrait qu’il publie le statut « va xi nal » des femmes enceintes ayant subi une fausse-couche.
Mais les assassins cachent toujours, comme ils le peuvent, les preuves de leurs crimes. Et c’est ainsi que le gouvernement refuse de publier ces chiffres. |