Suite à son action en justice contre l’U.S. Department of Health and Human Services (Judicial Watch v. U.S. Department of Health and Human Services - No. 1:21-cv-02418), Judicial Watch a reçu du HHS des États-Unis (ministère de la Santé et des Services sociaux) la copie de 699 pages transmises par Moderna à la FDA pour obtenir l’autorisation de mettre sur le marché son « va x in » à ARNm.
« Faits non considérés comme néfastes »
Comme nous l’avons déjà évoqué dans une de nos lettres confidentielles en 2021, des études précliniques effectuées sur des rats ont révélé qu’un nombre « statistiquement significatif » de bébés rats sont nés avec des déformations squelettiques et/ou des nodules sur les côtes après l’injection du « va x in » à ARNm à leurs mères.
Précisément (et selon ce que nous avons compris) : des « mamans » rats ont été injectées avec les produits à ARNm de Moderna alors qu’elles étaient enceintes. Dans 18,2 % des portées (une portée représente les « bébés » rats nés d’une même « mère ») des déformations squelettiques et/ou des nodules sur les côtes ont été observées. Cela concernait 6 fœtus venant de 4 portées et cela représentait de 4,03 % des fœtus dont 5 sur les 6 fœtus avaient des nodules costaux).
Ces faits n’ont pas été pris en compte dans l’exposé et les conclusions de l’étude préclinique réalisée pour Moderna (souche ARNm-1273).
Ils ont été classés dans une rubrique « Faits non considérés comme néfastes ».
83 % d’avortements provoqués chez les femmes enceintes
Comment s’étonner que les injections des « va x ins » à ARNm de Pfizer auraient provoqué 83 % d’avortements chez les femmes enceintes lors des essais cliniques (données qui auraient été classées comme « non pertinentes » par Pfizer, tout comme Moderna a classé dans une rubrique « Faits non considérés comme néfastes » les déformations squelettiques et/ou des nodules apparus sur les côtes des bébés rats).
« Aucune étude de pharmacocinétique »
Par ailleurs, à la lecture des documents rendus publics on apprend qu’aucune étude pharmacocinétique avec l’ARNm-1273 utilisée par Moderna n’a été réalisée sur des animaux.
Cela confirme les dires de Patrick Ledrappier et de Pierre Lefevre, qui dans leur livre « C19 » UN COMPLOT MONDIAL CONTRE NOS DROITS D’ÊTRES HUMAINS, NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES, NOTRE SANTÉ ET NOS VIES, nous présentent ainsi les études sur la pharmacocinétique réalisées lors des essais précliniques :
« Les études sur la « pharmacodynamie » dont il est raisonnable de penser qu’elles n’ont pas été réalisées avec les « va x ins » à ARNm puisqu'ils auraient été développés en moins de 6 mois
» Ces études sont constituées d’une batterie de tests utilisant des modèles in vivo et in vitro afin de distinguer : • les effets propres au médicament (molécule) afin de détecter précisément les relations « effet-dose » et « effet-temps » du médicament ; • les effets généraux du médicament ; • les éventuelles interactions qui peuvent apparaître avec d’autres médicaments. »
« Les études sur la « pharmacocinétique
» Ces études permettent d’observer le « comportement » et le « devenir » du médicament dans l’organisme une fois qu’il est « absorbé » (la voie d’administration utilisée est celle qui le sera lors des tests cliniques). Il y a en effet 4 phases en pharmacocinétique et qui sont nommées « ADME » : • la phase « Absorption » ; • la phase « Distribution » ; • la phase « Métabolisme » ; • la phase « Élimination ».
» Vu les dizaines de millions d’événements indésirables graves, dont des centaines de milliers de décès, provoqués par les « va x ins » à ARNm, il est quasi certain que les études sur la « pharmacocinétique » n’ont pas été réalisées.
« Comment expliquer ?
» Comment expliquer que les autorités étatiques de Santé publique et les gouvernements occidentaux aient accepté de faire injecter dans les corps de leurs populations des produits à ARNm sans qu’ils aient préalablement subi ces tests, qui, généralement, prenaient plus de 10 ans ? [les auteurs font ici référence à l’ensemble des tests précliniques et cliniques qui sont d’ailleurs intégralement présentés dans le détail dans leur ouvrage]. »
« Ces tests étaient réalisés pour nous garantir que les médicaments (et les « va x ins ») qui nous étaient prescrits et délivrés ne pouvaient pas nous nuire.
Lorsqu’on les découvre, on se dit qu’en principe tout a été prévu, que rien ne peut échapper aux spécialistes qui supervisent tout cela, que la moindre anomalie va être nécessairement détectée, car « des hommes tout de blanc vêtus ont si bien veillé sur nous que nous sommes protégés ». Les déformations squelettiques et/ou des nodules apparus sur les côtes des bébés rats auraient dus faire stopper tous les essais précliniques menés avec les produits à ARNm qui n’auraient jamais dû être testés en phase clinique (sur des êtres humains), tout comme les 83 % d’avortements provoqués chez les femmes enceintes auraient dû faire cesser les essais cliniques de ces produits qui n’auraient jamais dû être autorisés par les autorités étatiques, que ce soit aux États-Unis, dans l’Union européenne, en France ou dans n'importe quel autre pays.
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« On se dit « des hommes tout de blanc vêtus ont si bien veillé sur nous que nous sommes protégés ».
On se dit cela, et on a vraiment tort ! |