Pour Trump, l’agression sexuelle aurait eu lieu vers le milieu des années 1990, dans une cabine d’essayage de lingerie féminine du magasin Bergdorf Goodman (créé en 1901) à New York, écrit-elle. Je précise que Bergdorf Goodman à New York, c’est l’équivalent des Galeries Lafayette à Paris, c’est donc une véritable institution.
Une chose absolument impossible
L’agression se serait produite lors d’une rencontre fortuite entre Elizabeth Jean Carroll et Donald Trump dans le magasin, où ils auraient plaisanté sur l’essayage de lingerie féminine, avant de se retrouver ensemble dans une cabine d'essayage de… lingerie féminine. Trump aurait rapidement fermé la porte et commis l’agression sexuelle.
Il se trouve que je vivais à New York au milieu des années 1990 et que je fréquentais ce magasin. Sans même parler de la notoriété de Trump à l’époque, qui faisait qu’où qu’il soit, il captait l’attention de tout le monde, il me paraît impossible qu’un homme ait pu entrer dans une cabine d’essayage de lingerie féminine dans le Bergdorf Goodman, sans que le personnel ne s’en aperçoive et s’y oppose. Absolument impossible.
Pour ceux qui auraient un doute sur la question, pensez-vous que cela eut été possible à Paris à la même époque dans une cabine d’essayage de lingerie féminine aux Galeries Lafayette avec Alain Delon ?
Une « tarée », une histoire « bidon », racontée pour vendre un livre par une femme que je n’ai jamais rencontré de ma vie, une histoire racontée par une « malade »
À la sortie du livre, Donald Trump réagira en affirmant que tout cela était faux, qu’il n’avait jamais rencontré cette femme (il précisera qu’elle n’était vraiment pas son genre), et que ce n’était qu’une « tarée », une malade » qui invente une histoire bidon pour vendre un livre.
Suite aux déclarations publiques de Donald J. Trump, Carroll (elle a alors 78 ans) intenta en novembre 2019 une action judiciaire pour viol et diffamation auprès de la Cour suprême de New York.
Le juge rejette l’accusation de viol…
Saisi de l’affaire, le juge Lewis Kaplan rejeta l’accusation de viol et d’agression sexuelle, mais accepta celle de « diffamation ».
Lors du procès, Elizabeth Jean Carroll Carroll affirme qu’en niant et en commentant les accusations qu’elle lance contre lui, Trump a porté atteinte à sa réputation, qu’iil lui a causé un préjudice professionnel substantiel (elle a alors 78 ans) ainsi que d’importantes douleurs émotionnelles.
Pendant le procès, Carroll n’a présenté aucun témoin direct ou indirect de l’affaire de viol. Personne dans son entourage n’avait entendu parler de cette histoire avant la sortie du livre, et elle fut incapable de donner des précisions exactes. En revanche, plusieurs de ses proches confirmèrent qu’elle avait besoin d’argent et qu’elle leur avait dit qu’il fallait qu’elle s’attaque à des puissants pour en gagner.
Résultat : au final, Trump sera condamné à verser à Carroll, en manque d’argent, 83 millions de dollars pour l’avoir diffamée…
Donald J. Trump fera naturellement appel de cette impensable condamnation.
De 464 à 175 millions de dollars : la folle vraie affaire judiciaire d’une fausse fraude
Toujours à New York, ville qui est actuellement l’épicentre du wokisme judiciaire, dernièrement Donald J. Trump a été condamné à verser 464 millions de dollars de caution pour avoir le droit de faire appel d’un jugement rendu le 23 février 2024 par le « juge » Engoron et le condamnant pour « fraude ».
La fraude en question ?
Selon le procureur général de New York, la démocrate Letitia James, Donald J. Trump, ses sociétés et ses enfants se seraient rendus coupables de fraude à l’assurance en surévaluant leur patrimoine afin d’obtenir un prêt bancaire garanti par une compagnie d’assurance.
Le prêt a été intégralement remboursé en temps et en heure. Les banques ont affirmé qu’elles avaient leurs propres services d’évaluation des biens et que si elles avaient accordé le prêt, c’est parce que le patrimoine offert en garantie le permettait d’après leurs propres expertises. Les assureurs ont affirmé qu’ils avaient leurs propres services d’évaluation des biens et que s’ils avaient assuré le prêt, c’est parce que le patrimoine offert en garantie le permettait d’après leurs propres expertises. Personne n’a été lésé dans cette affaire de prêt intégralement remboursé. Il n’y a pas de victime, aucune. Résultat : Donald J. Trump est condamné par le juge wokiste Engoron à 464 millions de dollars d’amendes ! Somme qu’il devrait payer pour avoir le droit de faire appel…
En appel, les 464 millions de dollars à payer pour voir le droit de faire appel du jugement véritablement délirant du juge wokiste, ont été réduits à 175 millions. Ce qui reste une sacrée somme, mais que le Président Donald J. Trump pourra payer.
« Le monde entier regarde cela se dérouler »
« Le monde entier regarde cela se dérouler », a déclaré Eric Trump, l’un des fils de Donald J. Trump. Il a également déclaré : « L'idée de saisir les propriétés appartenant à l'ancien président des États-Unis (et favori pour la présidence en 2024) - des propriétés appartenant à une entreprise qui n'a JAMAIS manqué un paiement, n'a jamais été en défaut, n'a jamais violé un engagement, a construit les États-Unis. skylines, a fait gagner à plusieurs reprises des centaines de millions de dollars aux banques tout en employant des MILLIERS de New-Yorkais qui travaillent dur - brise la confiance non seulement de New York (qui est au mieux fragile), mais aussi de l'ensemble du système juridique des États-Unis. »
On ne pourrait mieux dire.
Vive la paix, vive nos libertés, vive Donald J. Trump ! |