La terrifiante loi Gaillot revient 
au Parlement fin novembre

 

L'heure est grave. Une offensive sans précédent contre la vie humaine se trame à l'Assemblée Nationale. 

Certains politiques sont réellement obsédés par l'avortement. La "loi Gaillot" revient en effet sur le devant de la scène... 

Comptez sur nous pour nous mobiliser contre cette loi. 

Signez la pétition nationale demandant le retrait de cette loi prévoyant l'allongement du délai légal de l'avortement de 12 à 14 semaines.

 Plusieurs actions sont programmées en attendant la Marche pour la Vie qui aura lieu le 16 janvier prochain.

Nous vous encourageons à rejoindre la mobilisation : 

➡ Signez lapétition

➡ Partagez là à vos amis, dans vos groupes WhatsApp, sur Twitter...

➡ Suivez l'actualité de la Marche pour la vie, qui vous donne rendez-vous le dimanche 16 janvier 2022 à Paris !

Le président de la République et le syndicat national des gynécologues de France sont opposés à cette loi.

Si on se mobilise tous ensemble, il y a réellement des chances de gagner.

Maintenons la pression ! ✊

Contenu de la pétition

Il y a tout juste un an, en octobre 2020, la député Albane Gaillot présentait à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant, au lendemain de la crise sanitaire, à allonger le délai de l’avortement de 12 à 14 semaines.

« J’ai été alertée par de nombreuses femmes ainsi que par le Planning familial sur les difficiles conditions d’accès à l’IVG pendant l’épidémie de Covid-19 expliquait-elle à l’époque, nous nous sommes rendues compte que le problème n’était pas conjoncturel mais structurel ».

Validée par l’Assemblée, cette proposition de loi avait ensuite été présentée par la socialiste Laurence Rossignol au Sénat avant d’être rejetée.

Comme un train peut en cacher un autre, il en est de même pour les génies ou les barbares. L’ancien Ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, désormais chef de file de la majorité LREM à l’Assemblée nationale, encouragé par le Ministre de la Santé, Olivier Véran, vient d’annoncer l’inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale dans le cadre d’une niche parlementaire, d’une nouvelle proposition de loi pour allonger le délai de l’IVG.

« En France, l’avortement n’est pas menacé en droit, mais il l’est dans la pratique », affirme t-il. Pourtant 222.000 avortements ont été réalisés en France en 2020 soit plus de 600 par jour ! Faut-il encore et toujours ajouter de la souffrance à la souffrance, de la mort à la mort ? N’y a-t-il pas meilleure idée pour protéger les femmes que les encourager à avorter de plus en en plus tard, quitte à ressentir dans leurs chairs la dissection d’un petit être vivant ?

Nous rappelons que l’avortement à 14 semaines implique une dissection afin de faire sortir le bébé du ventre. L’enfant a un cœur qui bat dès six semaines ; à 14 semaines son visage est déjà bien dessiné, il a ses empreintes digitales… Il commence même à sucer son pouce !

Le Syndicat national des gynécologues-obstrétriciens de France (Syngof), affirme pour justifier son opposition à cette proposition, que l’ossification de l’embryon à ce stade de la grossesse impose une dilacération des chairs.

 

Ne les laissons pas faire !

 

Signez, diffusez, faites tourner cette pétition pour ordonner le retrait (sans délai) de cette proposition de loi.  

 

Signer la pétition

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