Depuis des semaines les professionnels voient circuler sur les réseaux sociaux à un appel à ouvrir en février malgré la fermeture administrative des établissements.
L’UMIH en tant qu’organisation responsable ne peut soutenir une opération de désobéissance civile qui mettrait en péril les restaurateurs. Cet acte pourrait entraîner des amendes mais aussi des fermetures administratives plus longues que ce que la crise du covid-19 impose et la suppression des aides pour les établissements.
L’UMIH entend et partage la colère et le désespoir face à cette stigmatisation de nos métiers et continue de se mobiliser pour le maintien des aides jusqu’à la fin de l’épidémie mais aussi pour les faire évoluer afin de sauver un maximum d’entreprises et d’emplois.