Le monde a changé. Notre monde, celui des Occidentaux, et particulièrement celui des Européens, a changé. Il a changé en quelques mois en 2020. En quelques mois seulement.
Le monde a changé, car car nous laissons des milliardaires mondialistes et adeptes de la dépopulation de la planète décider, entre eux, du sort de nos existences. Du sort de l’humanité.
Dans les années 1970, il y a bien eu quelques articles de publiés, de-ci de-là, pour présenter quelques communications du Club de Rome fondé en 1968 par Aurelio Peccei – industriel italien qui travailla pour Fiat – Alitalia et Olivetti (1908-1984), Alexander King, chimiste britannique (1909 2007) et David Rockefeller (1915-2017).
Ce fut en particulier le cas lors de la publication en 1972 d’un livre et qui a pour titre « The Limits to Growth » (« Les limites à la croissance ») et qui est généralement appelé le « Rapport Meadows ».
« Des véritables tueurs de centaines de milliers de personnes »
Ce fameux « Rapport Meadows », financé par le Club de Rome, c’est-à-dire par les milliardaires mondialistes adeptes de la dépopulation de la planète de l’époque, est toujours la bible des véritables tueurs de centaines de milliers de personnes, que sont Bill Gates, George Soros, Klaus Schwab, Ursula von der Leyen, ou encore Emmanuel Macron. Nous sommes en 1972, et ce rapport préconise la décroissance démographique, l’arrêt de la croissance économique (« la croissance zéro ») et le « gel » des inégalités économiques entre les pays riches et les pays pauvres (que les pauvres restent pauvres et tout ira bien dans le meilleur des mondes). C’était cela (la décroissance démographique, l’arrêt de la croissance économique) ou le monde courait à sa perte, car les modèles économétriques utilisés par Dennis Meadows étaient formels : en l’absence de décroissance démographique et économique, c’est la planète Terre qui disparaîtrait très rapidement, car elle ne pourrait en aucun cas supporter plus d’1 milliard d’êtres humains.
En 1972, il y avait officiellement 3,837 milliards d’êtres humains sur notre planète. En 2022, nous serions près de 7,8 milliards et la Terre est toujours là, et toujours aussi belle, vue de l’espace.
Comme avec les prévisions catastrophistes des parasites et pseudo-experts du GIEC, qui considèrent que les activités humaines sont à l’origine du réchauffement de la planète Terre, alors que son climat est en perpétuelle modification et qu’il dépend essentiellement des activités énergétiques du soleil et des courants marins, les prévisions du très dérangé Dennis Meadows furent naturellement, et comme prévu par les gens sains d’esprit, contredites par la réalité. Mais qu’importe, le rapport qui porte son nom est toujours la bible des milliardaires mondialistes génocidaires et de leurs sbires.
À l’époque, l’Europe vivait un « boom » économique. En France, ce « boom » était soutenu par les syndicats et le puissant Parti communiste français – c’est l’époque des grandes décisions pour la production des TGV, pour le projet franco-britannique le « Concorde » (premier vol d’essai le 2 mars 1969, premier vol commercial le 21 janvier 1976), et pour le choix des réacteurs à « eau pressurisée » (REP) pour le nucléaire civil français (1969).
En 1972, qui prenait au sérieux le Rapport Meadows ? Personne !
Qui imaginait que ce rapport financé par quelques milliardaires ennuyeux deviendrait, 50 ans plus tard, le « Petit livre rouge » de toute la classe politique occidentale ayant séjournée à Davos (en référence au livre « Citation du Président Mao Tsé-toung » également appelé « Les Plus Hautes Instructions ») ?
Personne. En tous les cas, les archives médiatiques consultables semblent vides sur cette question. Il faut dire qu’en France, conjointement au « boom » économique, nous avions droit à une célébration politique, médiatique – et continuelle – de l’État. L’État avec un immense É.
Cet État était comme une religion, une sorte « d’opium du peuple », pour reprendre les expressions de Kant, d’Hegel et de Marx.
Tous les politiciens et fonctionnaires français le célébraient en le nommant « État Providence » (comme la Providence divine), d’après une formule que l’on doit au pape Léon XIII, qui formalisa ainsi la doctrine sociale de l’Église catholique dans son encyclique Rerum novarum de 1891 ?
L’État, c’était en quelque sorte le bien commun matériel et spirituel des citoyens français. Cela leur appartenait, du moins l’illusion existait. Et cette illusion était entretenue par les élections qui permettait aux citoyens d’en élire les clercs et le chef.
Et c’est ainsi qu’il était très largement partagé l’idée que les milliardaires du Club de Rome pouvaient bien dire ce qu’ils voulaient, cela n’avait aucune sorte d’importance, puisqu’il revenait à l’État de décider en tout et pour tout !
Et en France, jamais l’État, propriété des citoyens, ne déciderait de mettre à la poubelle les progrès économiques et sociaux ! Jamais !
Ils ont fait mainmise sur les États occidentaux et sur les organisations publiques internationales
La fausse pandémie de « C19 » aura mis, un peu plus, en lumière, ce fait indiscutable : les milliardaires mondialistes, avec à leur tête Bill Gates et George Soros et leurs laquais de Davos, se sont appropriés les États occidentaux et la Commission européenne. Comment ? En achetant les politiciens et les hauts fonctionnaires de santé.
Ils se sont payé à coups de milliards des milliers de politiciens et de fonctionnaires de santé occidentaux, comme ils se payent des voitures de luxe, des jets privés, ou leur papier toilette. Résultats de leurs investissements, ce sont eux les « boss », les chefs, les décideurs, et nos chefs d’États et de gouvernements sont à leur service, comme le sont leurs femmes de ménage.
C’est ainsi qu’ils sont à l’origine, directement ou indirectement (par McKinsey interposé), de toutes les mesures prises par les politiciens occidentaux pour supprimer les droits fondamentaux de leurs citoyens au nom d’une prétendue lutte contre la fausse pandémie de « C19 », et afin d’exécuter en partie leur programme de dépopulation de la planète grâce aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co..
« Rencontrez le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates »
C’est ainsi que Natalie Huet et Carmen Paun titraient un article publié le 4 mai 2017 dans « Politico », quelques semaines avant la nomination à la tête de l’OMS de Tedros A. Ghebreyesus, ce technicien en avortements chimiques et en « va xi nation » forcée de Bill Gates.
L’article commence ainsi : « Certains milliardaires se contentent de s’acheter une île, alors que Bill Gates a pu obtenir aux Nations Unies, à Genève, une Agence entière dévolue à la santé » (« Some billionaires are satisfied with buying themselves an island. Bill Gates got a United Nations health agency in Geneva.»)
L’Agence entière dévolue à la santé s’appelle « OMS ». L’OMS que Bill Gates a transformée en organisation criminelle internationale. L’OMS qui est sans doute devenue la plus meurtrière des organisations criminelles internationales de tous les temps. |