Vivre (dé)confiné: infos, témoignages et astuces
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Le virus circule toujours, cette newsletter aussi. Tous les soirs, retrouvez notre sélection d'infos pratiques, témoignages, conseils et astuces pour vous accompagner face à l'épidémie de coronavirus.
Cette lettre d'information s'est interrompue durant l'été. Face à la reprise épidémique, la rédaction a décidé de vous l'envoyer à nouveau du lundi au vendredi.
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 | Lyon et Nice vont devoir prendre de nouvelles restrictions contre le virus | Après Marseille, Bordeaux et la Guadeloupe, des mesures de restriction seront décidées localement d’ici samedi pour les villes de Lyon et Nice, où le coronavirus circule à un niveau inquiétant, a annoncé Olivier Véran ce jeudi lors d’une conférence de presse consacrée à l’évolution de l’épidémie de covid-19. “Si la situation sanitaire ne s’améliore pas” à Marseille et en Guadeloupe, où des mesures ont déjà été adoptées, “il faudra sans doute prendre des mesures encore plus fortes”, prévient le ministre. | |
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 | À quand les "premiers laissez-passer" pour les couples séparés par le Covid? | Bientôt la fin d’une longue attente pour les amoureux séparés par le Covid? Si les couples binationaux mariés, pacsés ou ayant signé une convention de concubinage ont pu bénéficier des mesures de rapatriement familial vers la France pour se retrouver malgré les fermetures des frontières, pour les amoureux sans statut marital, c’est une autre histoire. En effet, bon nombre d’entre eux se retrouvent séparés depuis des mois, notamment parce qu’ils n’entrent dans aucune case administrative. “J’espère, j’espère, qu’en fin de semaine, début de semaine prochaine, nous aurons les premiers laissez-passer”, a laissé entendre le secrétaire d'Etat Clément Beaune. | |
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 | Les soirées étudiantes, les nids à clusters de la rentrée universitaire | Weekends d'intégration, soirées après les cours... Plus d’une dizaine d'importants foyers de coronavirus ont été identifiés jusqu’ici dans le milieu étudiant. Ils sont majoritairement liés aux soirées étudiantes, organisées dans des lieux privés. Ces moments de détente sont en effet le parfait cocktail pour que le coronavirus s'invite à la fête. La promiscuité favorise non seulement la contamination. Mais on sait également que le virus peut se propager dans l’air ambiant. Un lieu clos et mal ventilé est donc le parfait vecteur pour un épisode de super-contamination. | |
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 | Il y a plus de personnes en réanimation qu'au premier jour du confinement mais... | 796 contre 771. C'est officiel: il y a aujourd’hui plus de cas de Covid-19 en réanimation en France que le jour du confinement, le 18 mars dernier. Ces données confirment bien que l’épidémie a repris en France et que les cas graves finissent souvent par suivre la courbe des cas. Pour autant, la tendance actuelle n’a -pour l'instant- rien à voir avec celle du confinement. Car si le virus progresse, c'est à un rythme bien moins soutenu qu'il y a six mois. Raison de plus pour se montrer encore plus vigilant sur le respect des gestes barrière. | |
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 | "Sous mon masque, l'impuissance pour enseigner et rassurer mes élèves" | "Si tu savais tout ce que ce masque masque. Tout ce que ce bout de tissu ne dit pas de moi", déplore Anouk F, auteure du blog Merci Maîtresse. Quinze jours après la rentrée, cette professeure des écoles en REP (Réseau d'Éducation Prioritaire) témoigne de l'obstacle que constitue le masque dans sa relation aux élèves et parents en difficulté. A cet enfant dont elle ne connait pas la langue maternelle, "je n’ai pas les mots pour lui promettre que la route sera balisée et qu’il y avancera bien plus vite qu’il peut l’imaginer. Tout ça, c’est mon visage entier qui le lui disait. Il n’en a vu que la moitié." | |
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