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Ils recherchent un animateur QHSE

Dans une entreprise agroalimentaire, l’animateur Qualité Hygiène Sécurité Environnement assure la qualité des produits, veille à l’amélioration des conditions de travail et à la réduction de l’impact de l’activité sur l’environnement. Rattaché au responsable du site (ou au responsable QHSE), il sensibilise tous les acteurs de l’entreprise au respect des standards internes, aux exigences clients et à la réglementation. Au-delà des compétences professionnelles qu’il exige, ce métier nécessite de grandes capacités d’écoute, de communication et de pédagogie. L’animateur QHSE doit aussi savoir faire preuve de réactivité face à un évènement imprévu. Les formations pour ce type de responsabilité sont multiples (du BTS à Ingénieur) mais il faut noter que certaines licences professionnelles préparent spécifiquement à ce métier. L’évolution de carrière dépend du contexte de l’entreprise, mais le poste de responsable QHSE est le plus fréquemment brigué. 

Plusieurs entreprises recherchent actuellement ce type de profil sur Jobagroalimentaire.

Ils créent des emplois

Parcours – carrière

Théodore Pionchon ; de la pâtisserie à l’amélioration continue en entreprise agroalimentaire

Puis ce sont différentes expériences en entreprises, pas toujours agroalimentaires, et même une activité de coaching en indépendant. Finalement il revient chez Danone, plus précisément dans une de ses filiales, la Société des Eaux de Volvic dans le Puy de Dôme. Il y occupe aujourd’hui un poste de chef d’équipe dans le secteur siroperie, avec l’espoir de revenir un jour à l’amélioration continue, le domaine de l’entreprise qui le passionne. « Cela consiste à chercher à faire mieux chaque jour, notamment pour réduire les pertes de matière, de temps et de compétences. Mais aussi à fluidifier les process, supprimer les à-coups, pour augmenter la rentabilité de l’entreprise bien sûr, mais aussi pour améliorer le bien-être des salariés », explique-t-il pour préciser ce qu’est l’amélioration continue. Un métier plutôt réservé aux ingénieurs, mais pour lequel il pourra bénéficier de son expérience terrain et qu’il espère pouvoir exercer dans l’agroalimentaire, car comme il le précise : « L’agroalimentaire fait partie de ma culture. J’aime la nourriture et les saveurs. Sans compter qu’on en aura toujours besoin ». 

Face aux évolutions du métier de fromager et aux difficultés de recrutement du secteur, la Fédération Nationale des Industries Laitières et Coop de France-Métiers du lait ont demandé à l’EnilBio de Poligny d’ouvrir une formation de fromager par alternance et pour adultes. Cette dernière prépare aux métiers de la fromagerie, aux différents stades du processus de fabrication des fromages (préparation des laits, fabrication fromagère, affinage) aussi bien dans des entreprises artisanales qu’industrielles. Le cycle, qui a démarré le 5 décembre dernier, est de niveau 4 (bac), dure un an et comprend 16 semaines en centre. La pédagogie, qui est basée sur la mise en situation, s’appuie sur la halle de fabrication et les laboratoires de l’école. Les stagiaires sont accompagnés par le centre, aussi bien pour leur recherche d’entreprise que pour leur insertion professionnelle.

Après la GPEC, la GEPP

La GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) était une méthode pour adapter les emplois, les effectifs et les compétences à la stratégie des entreprises et aux modifications de leurs environnements économique, technologique, social et juridique. Dans le nouveau contexte de pénurie de talents et de remise en cause des modes de travail, il devient de plus en plus difficile de réaliser des prévisions fiables. D’où l’apparition de la GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours professionnels) qui se veut une approche plus évolutive et met au centre le parcours professionnel des collaborateurs. On trouvera dans cet article de MY(RH)LINE les avantages de ce nouveau dispositif pour les employeurs et les salariés, ainsi que les outils nécessaires à la mise en place d’une GEPP et la méthode à utiliser.

Egalité salariale : quelles sont les obligations des entreprises ?

Les 12 et 13 octobre derniers, l’APECITA a organisé un jobdading virtuel ou E-jobdting à l’intention des recruteurs et des candidats de l’agriculture et de l’agroalimentaire. L’opération a rassemblé plus de 115 employeurs et près de 1300 candidats autour de 650 offres d’emploi à pourvoir. Sur les deux jours plus de 400 rencontres employeurs/candidats ont eu lieu.

En Occitanie, la Semaine de l’emploi agroalimentaire s’est achevée le 18 novembre. Sur les 8 000 projets de recrutement en 2022, les entreprises considèrent que plus de la moitié sera difficile à pourvoir. Même constat dans la plupart des autres régions françaises où les entreprises et les acteurs de l’emploi se sont mobilisés dans le cadre de cette semaine pour faire connaitre leurs besoins de recrutement et pour promouvoir les métiers.

Traduction de la norme ISO 26000, Bretagne 26000 est le nouveau référentiel créé par le réseau « Produit en Bretagne » et qui signe l’engagement des entreprises qui l’adoptent par rapport au développement économique local. Concrètement cela se traduit par des efforts accrus en faveur du recrutement, des achats locaux, des investissements au niveau local…

L’inflation des produits alimentaires (rapport public)

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