Lorsque des informations révèlent qu’un produit est dangereux pour la santé humaine, normalement, cela a pour conséquence d’en interdire la commercialisation et la vente.
Au nom des libertés individuelles, dont ils se fichent éperdument, les politiciens ne se sont jamais attaqués au tabac et à l’alcool, pourtant directement impliqués dans l’apparition de cancer du poumon et du foie, mais ce ne serait pas contagieux nous disent-ils avec les fonctionnaires de la Santé publique, et cela relève donc de la liberté et de la responsabilité individuelle (sauf que les soins sont payés y compris par les non-fumeurs et les non-alcooliques).
Pourtant, il arrive aux politiciens d’interdire des produits, c’est par exemple le cas de la pâte à tartiner algérienne « El Mordjene », qui serait interdite d’importation en Europe pour « non-conformité aux normes européennes concernant les produits laitiers », alors que dans le même temps les poulets et les œufs venus d’Ukraine, où aucune norme de sécurité sanitaire ne serait réellement imposée et appliquée, peuvent inonder les pays de l’UE et mettre à mort nos éleveurs qui sombres sous les réglementations et les charges qu’elles impliquent.
Toutefois, ils peuvent également, parfois, interdire des produits dangereux, comme avec l’herbicide « Atrazine », interdit en 2003 dans les pays de l’UE, ou l’Hexahydrocannabinol, classé en France en 2023 comme « stupéfiant » et donc interdit à la production, à l’usage et à la commercialisation.
L’interdiction des « nitrazènes »
Après plusieurs décès provoqués par la consommation de « nitrazènes », le 5 juillet 2024, « considérant es effets pharmacologiques de certaines substances de la famille chimique 2-[(2-benzyl)-benzimidazole-1-yl] éthanamine également appelée nitazènes, les intoxications graves rapportées après consommation de ces substances pouvant nécessiter une prise en charge médicale en urgence, le risque élevé de surdose accidentelle, potentiellement mortelle ainsi que le risque d’abus et de dépendance », le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a considéré qu’« il y a lieu dans l’intérêt de la santé publique de classer sans délai ces substances » dans la catégorie des stupéfiants.
Cette décision a pour effet d’en interdire en France la production, la vente et la délivrance.
Comment savoir scientifiquement si les « va x ins » sont dangereux ou non ?
Si on applique les standards actuels de la « science » pharmacologique », il suffit de comparer une population « va xi née » à une population non-« va xi née ».
Mainteant, essayer de trouver une étude officielle au sujet de la comparaison de l’état de santé des enfants « va xi nés », par rapport à ceux qui ne le sont pas, vous n’y arriverez pas, car officiellement de telles études n’existeraient pas.
Pourtant, la comparaison est tout à possible, par exemple les enfants amish ne sont pas injectés, et l’on pourrait également comparés les enfants non-injectés de divers pays avec les enfants qui le sont.
Au sujet des Amish, j’ai dernièrement lu une anecdote rapportée, il me semble par Robert F. Kennedy Jr, selon laquelle statistiquement il y aurait dû y avoir 2 000 enfants atteints d’autisme parmi les Amish de Pennsylvanie, or il n’y en a eu que 3, et c’était des enfants adoptés, et injectés.
Au sujet de la comparaison de l’état de santé des enfants injectés avec celle de ceux qui ne le sont pas, le site « childrenshealthdefense.org », créé et dirigé par Robert F. Kennedy Jr vient de publier le résultat, catastrophique, d’études comparatives réalisées d’après les données gouvernementales.
10 fois plus de morts chez les filles « va xi nées » que chez celles qui ne le sont pas…
Cela fait froid dans le dos et cela a de quoi inquiéter tous les parents et futurs parents, et à juste titre.
Il faut savoir que jusqu’à présent, aux États-Unis, les autorités de santé affirmaient qu’il n’existait pas d’études comparatives entre les enfants injectés et ceux qui ne le sont pas.
C’est d’ailleurs ce que précise Robert F. Kennedy Jr dans l’article publié sur le site « childrenshealthdefense.org », article qui cite la déclaration faite lors d’une audience du Congrès des États-Unis en novembre 2012 par le docteur Coleen Boyle, toujours directrice du Centre national sur les malformations congénitales et les troubles du développement, qui déclara, acculée par les questions des membres du Comité de surveillance et de réforme gouvernementale de la Chambre des représentants : « Nous n’avons pas étudié les enfants vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés. »
C’était un mensonge, un parjure, car en fait « Boyle savait que le CDC avait chargé un chercheur interne, Thomas Verstraeten, de réaliser une étude sur les vaccinés et les non-vaccinés sur le gigantesque « Vaccine Safety Datalink du CDC en 1999 (…) Verstraeten a découvert un lien dramatique entre les vaccins contre l’hépatite B contenant du mercure et plusieurs lésions neurologiques, dont l’autisme, et a préparé l’étude pour publication. »
Des résultats qui devraient terrifier les parents et les futurs parents
Kennedy nous précise ensuite que d’autres études ont été réalisées pour comparer l’état de santé des enfants « va xi nés » avec celui des enfants qui ne le sont pas, et les résultats de ces études sont terrifiants (fichiers .pdf téléchargeables en « Sources », comme :
- DTP (Diphtérie Tétanos Polio) = mortalité multipliée par 10 chez les filles (« DTP Increase Mortality in Girls 10X »).
- « Va x ins » contre l’hépatite B = nécessité d’une éducation spécialisée multipliée par 8,63 (« Hepatistis B Vaccines Increase the Odds for Special Education by 8.63X »).
- « Va x ins » contre l’hépatite B chez les nouveau-nés garçons (« mâles ») = autisme multiplié par 3 (« Hepatistis B Vaccines in Male Newborns Increase the Odds of autsim by 3X »)
- La vaccination des prématurés multiplie par 6,6 les risques de troubles du développement neurologique (« Vaccination of Prememies Increase Odds of Neurodevelopmental Disorders 6.6X »).
- La vaccination augmente le risque de rhinite allergique (30 fois), d'allergie (3,1 fois), de TDAH (4,2 fois), d'eczéma (2,9 fois), de troubles de l'apprentissage (5,2 fois) et de troubles du développement neurologique (3,7 fois).
Mike Tison questionne Robert F. Kennedy Jr : « Des criminels en série (…) ils ont tué 500 000 Américains »
Lors d’un entretien avec Mike Tyson, Robert F Kennedy Jr déclara :
« Quatre entreprises fabriquent les 72 vaccins, à savoir Pfizer, Glaxo, Merck et Sanofi. Toutes ces entreprises sont des criminels condamnés. »
» Et ce n'est pas tout, ce sont des criminels en série. Leur modèle économique consiste à commettre des délits. Au cours des 10 dernières années, ces entreprises ont collectivement payé 35 milliards de dollars de pénalités, de dommages et intérêts, d'amendes, pour avoir falsifié la science, pour avoir fraudé les régulateurs, pour avoir menti aux médecins et pour avoir tué des centaines de milliers de personnes. Le Vioxx, qui était le produit phare de Merck, a tué entre 120 000 et 500 000 Américains. C'était une pilule.
» Et Merck vendait des pilules contre les maux de tête. C'est vrai. Et Merck savait que cela provoquait des crises cardiaques et tuait des gens. Et ils n'en ont parlé à personne. Et ils savaient qu'il y avait un certain nombre de personnes tuées par dose. Nous pouvons toujours gagner plus d'argent même s'ils nous poursuivent tous en justice.
» Et au final, ils ont tué jusqu'à un demi-million d'Américains et ils s'en sont tirés. Ils ont payé sept milliards de dollars d'amendes. Personne n'est allé en prison.
» Il faut une sorte de dissonance cognitive pour croire que ces entreprises qui mentent et trichent sur tous les autres produits pharmaceutiques, tous les autres appareils médicaux qu'elles créent... sont en quelque sorte des « Jésus » avec les vaccins et qu’ils ne nous mentent pas [à leur sujet].
» Et le truc, c'est qu'avec les vaccins, c'est le seul domaine où ils ne pourraient jamais se faire prendre parce qu'il est illégal dans ce pays de poursuivre une entreprise de vaccins. »
Une réunion secrète des CDC pour cacher la terrible réalité sur la « va xi nation » contre l’hépatite B : un risque accru de 10 000 %
Dans une vidéo en ligne, Robert F Kennedy Jr révèle qu’il s’est tenu une réunion secrète organisée par les responsables des CDC sur les effets des « va x ins » contre l’hépatite B qui sont injectés aux nourrissons avec le 30e jour de leur naissance :
« Ils ont donc étudié un vaccin, celui contre l'hépatite B. Ils ont étudié les enfants qui l'avaient reçu dans les 30 premiers jours, puis les enfants qui ne l'avaient pas reçu dans les 30 jours. En d'autres termes, les enfants qui l'avaient reçu plus tard ou qui ne l'avaient pas reçu du tout. Ils ont comparé ces deux groupes. Parmi les enfants qui l'avaient reçu dans les 30 premiers jours, il y avait un risque accru de 10 000 % pour un diagnostic ultérieur d'autisme si vous l'aviez reçu dans les 30 premiers jours.
» Ils ont donc immédiatement su que c'était un « risque relatif de 11,35 » [nomenclature qui permet de déterminer une causalité].
» Si vous avez un risque relatif de deux, la causalité est présumée. C'était 11,35. Le lien entre la cigarette, fumer un paquet de cigarettes par jour pendant 20 ans et le cancer du poumon est un risque relatif de 10. C'était 11,35.
» Ils savaient donc de quoi il s'agissait et ils ont organisé une réunion d'urgence. Ils ne voulaient pas le faire sur le campus des CDC parce qu'ils pensaient que cela serait susceptible d'être soumis à des demandes d'accès à l'information.
» Ils l'ont donc fait dans un centre de retraite très isolé appelé Simpsonwood, un centre de retraite méthodiste situé sur les rives boisées de la rivière Chattahoochee, dans une région reculée de Géorgie.
» Et ils ont eu tous les grands « manitous » de l'industrie des vaccins, de l'industrie pharmaceutique, des universités, qui sont celles qui testent les vaccins, du NIH, du CDC, de la FDA, de l'Organisation mondiale de la santé, de l'Agence médicale européenne, et ils se sont tous réunis pendant deux jours pour parler de cette étude.
» Le premier jour, ils parlaient tous de ça, « Oh, mon Dieu, les avocats vont nous poursuivre. Personne ne peut le nier. C'est infaillible. Il n'y a aucun moyen de le contredire. C'est de la vraie science. Nous ne pouvons pas, que ferons-nous ?
» Le deuxième jour, ils ont parlé de comment cacher cela au public américain. Et j'ai publié ces choses. Puis j'ai essuyé beaucoup de critiques à ce moment-là. »
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Forts des résultats des études publiées par Robert F Kennedy Jr, plutôt que d’interdire la pâte à tartiner algérienne « El Mordjene », ne serait-il pas temps que nos politiciens interdisent les « va x ins » ?
