Etude très problématique du Lancet sur l’hydroxychloroquineCette étude très problématique du Lancet sur l’hydroxychloroquine, (HCQ) pourrait jeter le trouble, ou la guerre contre tout ce qui remettrait en cause les profits futurs. A la première lecture du titre catégorique, vous pouvez vous dire que le Pr Raoult s’est trompé. Technique médiatique classique, un titre affirmatif, avec une réalité très différente. L’HCG associé ou non avec de l’Azythromycine serait inefficace voir dangereuse. Puis en allant plus loin, on voit bien les réserves émises par les auteurs eux-mêmes, il ne s’agit pas d’un essai randomisé, pourtant la bible des détracteurs de Raoult. On ne peut affirmer le lien traitement mortalité. Il existe des tas de facteurs confondants non mesurés. Cela ne s’applique qu’aux patients hospitalisés alors que l’on sait que le traitement du Pr Raoult ne fonctionne pas à ce stade. En gros à la fin il ne reste rien ou quasi rien, juste un titre racoleur et destructeur. Et la problématique difficile du Lancet qui publie une chose pareille. Regardons les faits objectivement. Dans le cycle d’évolution du coronavirus nous pouvons identifier trois phases. Une première qui va de la contamination et des premiers signes jusqu’à soit la guérison sans gravité, soit l’aggravation. C’est dans cette phase qu’agit bien le traitement de Didier Raoult. Il a été très clair depuis le début. C’est celle-là qu’il faut tester pour valider son traitement. Elle n’est pas dans l’étude publiée dans le Lancet qui est donc à côté du sujet et franchement malhonnête. Une étude honnête consisterait à prendre un groupe avec le traitement du Pr Raoult et un groupe témoin dans cette situation et à cette phase. A ce stade les études sont très claires un peu partout dans le monde ou en France. La mortalité globale est beaucoup plus faible dans tous les pays qui ont utilisé le traitement de du Pr Raoult. Et Marseille avec ses 0,7% de létalité versus les 14% de la France confirme bien cette réalité. Le traitement de Didier Raoult évite la multiplication du virus et son passage à des phases graves. Ça et rien d’autre. Il est préventif, ou curatif précoce. Osera-t-on vraiment faire une étude honnête ? Une seconde phase où la maladie s’aggrave et nécessite une hospitalisation. Là nous savons et le Pr Raoult le dit depuis le début, que son traitement n’est pas dans son champ d’action. C’est pourtant là qu’est testé le traitement. Tester un traitement à un moment où on sait qu’il ne fonctionne pas pour dire qu’il ne fonctionne pas. Non-sens ou malhonnêteté, à vous de choisir. L’étude est aussi entachée de très nombreuses erreurs, incertitudes, irrégularités et manipulations flagrantes, et de conflits d’intérêt évidents des auteurs. Dans le groupe HCQ on a mis des patients beaucoup plus graves avec de nombreuses comorbidités ce qui rend les résultats totalement non valides. Elle aurait mérité d’être de suite jetée à la poubelle par tout comité de lecture. Elle a dû couter quelques 50 millions d‘euros, qui a financé ? Voir le document joint en PDF qui énumère une liste non exhaustive des anomalies. C’est impressionnant, mais ça témoigne de la capacité de corruption et ce n’est pas rassurant. Au-delà de toutes ces irrégularités graves et inacceptables pour une étude internationale sensée faire référence, un point est important : on ne parle pas des contre-indications. Le Pr Raoult a été très clair, pour éviter tout problème il faut avant de donner les traitements, vérifier l’absence de contre-indication par deux éléments très simples. Une prise de sang pour doser le potassium ; et faire un électrocardiogramme pour vérifier le segment QT, totalement banal à faire. Ces deux précautions sont indispensables et encore plus faciles à faire en cas d’hospitalisation. Le Pr Raoult le fait systématiquement et n’a aucun effet secondaire cardiaque. Dans cette étude rien n’a été fait de cet ordre, c’est plus qu’incompétent : c’est quasiment criminel. La pénicilline a sauvé des millions de vies. Seulement voilà, elle a une contre-indication : l’allergie, qui peut être très grave. Imaginez qu’on ne recherche pas ce fait et qu’on ne respecte pas cette contre-indication, on pourrait logiquement dire qu’il faut interdire la pénicilline. Quand on n’est pas capable de respecter les contre-indications, on arrête la médecine. Dans la troisième phase grave presque finale, certaines actions positives de l’HCQ reviennent mais cela a peu été exploré, , sauf peut être par cette étude chinoise que nous citons plus haut. L’HCQ serait capable de calmer l’orage cytokinique (dosage des IL 6). En conclusion, cette étude manifestement très défectueuse et grevée de très nombreuses anomalies ne démontre qu’une chose : la guerre à outrance contre tout traitement simple qui mettrait en péril le jackpot financier annoncé. Pas très glorieux pour le Lancet. |