A l’école de l’IAA Webalim : des modules interactifs d'autoformation Développé par le réseau des six Ecoles Nationales d’Industrie Laitière (ENIL), Webalim est un dispositif d’autoformation accompagnée à distance en agroalimentaire et technologie laitière. Il comprend 90 modules de formation en ligne dédiés à la technologie de transformation laitière et à son environnement, un accès aux contenus pédagogiques et à des livrables associés, et même un accompagnement tout au long de la formation assuré par un tuteur d’entreprise et un référent Webalim. La formation peut se limiter à un cours de quelques heures, comprendre un parcours sur un thème donné, ou s’étaler sur un parcours global débouchant sur un diplôme. Il s’adresse à des particuliers, des apprentis ou des salariés qui souhaitent se perfectionner dans certains domaines, acquérir de nouvelles compétences ou obtenir une qualification de niveau V (CAP ou BP) ou de niveau IV (BAC). Ce mode de formation à distance complète plus que ne remplace la formation traditionnelle ; elle est notamment une solution lorsque les modalités de formation en centre ne peuvent pas être mises en œuvre. Pour en savoir plus Comment Maitre CoQ stimule l'innovation chez ses salairés ? Chez Maitre CoQ,le volailler propriété du groupe LDC, l’innovation n’est pas un vain mot mais une réalité à laquelle chaque salarié peut participer. Cela passe d’abord par des séances de créativité pluridisciplinaires, sur des thèmes préalablement choisis, et au cours desquelles les consignes sont ouverture bien sûr mais aussi obligation de rester centré sur le sujet. Les groupes, constitués d’une petite dizaine de salariés volontaires, donnent ainsi « des avis représentatifs des consommateurs ». Un concours de la meilleure photo des plats « sympas » découverts par les salariés pendant leurs vacances est également organisé ; « une façon de trouver de bonnes idées » confie Gaëlle Artur, chef de produits. Mais cela ne s’arrête pas là : tours du mondes d’équipes pluridisciplinaires et participation à des tests d’analyse sensorielle sont aussi « au menu ». Toutes ces idées, engrangées dans un logiciel de gestion de l’innovation (StartCoQ), sont ensuite reprises et les meilleures sont traitées par le service R&D, puis par la production. Résultat : le tiers du chiffre d’affaires de l’entreprise est réalisé sur des produits qui n’existaient pas en 2011. Pour en savoir plus (art RIA) |